Au départ, ils coiffaient le bâtonnet d'un trait. Mais avec le temps, pour simplifier et rendre la retranscription plus rapide, ils ont transformé le trait en point. L'usage de ce point s'est ensuite pérennisé avec l'invention de l'imprimerie.
Ï (minuscule : ï), appelé I tréma, est une lettre additionnelle latine, utilisée dans l'écriture de l'afrikaans, du beli, du bété, du catalan, du dinka, du français, du gallois, du godié, du modo, du mondo, du néerlandais, du nuer, de l'occitan et dans certaines romanisations ALA-LC ou BGN/PCGN.
Le point (du latin punctum, d'où ponctuation) est un signe de ponctuation qui sert à marquer la fin d'une phrase, d'un syntagme, d'un groupe de sens important, et peut donc marquer graphiquement une pause relativement longue dans un énoncé. Le point, sauf abréviatif, doit être suivi d'une majuscule en capitale.
En observant l'alphabet braille, on peut remarquer qu'il a été divisé en quatre lignes de 10 lettres, incluant aussi les lettres accentuées. Pour former les lettres de a à j, soit la première ligne de l'alphabet, on utilise uniquement les quatre points supérieurs (1, 2, 4 et 5).
Le point suscrit ou point en chef est un diacritique de l'alphabet latin. Le signe est utilisé de manière non diacritique sur i et j. En turc, cependant, le point sur le i se comporte bien comme un diacritique. Il s'utilise aussi en arabe.
Au XIe siècle, les moines copistes, qui utilisent l'écriture gothique, apposèrent un trait oblique au-dessus des "i" afin de pouvoir les distinguer des lettres voisines. En effet, jusqu'ici le "i" était difficile à différencier des autres lettres à jambages courts, tels que le "m" ou le "n".
- Le point (final) se place à la fin d'une phrase et en marque ainsi la limite droite, la limite gauche étant marquée par la majuscule. Le point final est directement placé après le dernier mot. Pour commencer une autre phrase, il faut une espace entre le point final et la majuscule de la phrase suivante.
1. Élément d'espace, de dimension très réduite, qui est ou qui peut être figuré par l'intersection de deux droites : Par deux points distincts ne peut passer qu'une seule droite. 2.
Le point d'exclamation peut être doublé, triplé et même combiné au point d'interrogation pour exprimer l'incrédulité, l'étonnement.
Le tréma est un signe qu'on place sur certaines voyelles. Il vient d'un mot grec qui veut dire "trou". En règle générale, le tréma se place sur les voyelles ï, plus rarement sur ë, ü, pour signaler que la voyelle précédente doit être prononcée séparément.
y tréma, lettre utilisée pour prononcer le y seul, et non en tant que membre d'un digramme avec la lettre qui le précède (un a ou un o). Il est à noter que le ÿ ne se retrouve que dans des noms propres (et leurs dérivés).
Le tréma est appelé aussi un diactrique ou un signe diactrique parce qu'il accompagne une lettre ou un graphème. Certains grammairiens emploient la dénomination diérèse (mot qui signifie division) pour désigner ce signe orthographique.
Le point d'exclamation termine une phrase exclamative et permet d'indiquer une impression comme la colère, la surprise, l'admiration, l'étonnement etc. Pourquoi mettre un point ? La ponctuation précise le sens de la phrase. Elle sert à fixer les rapports entre les propositions et les idées.
Ils peuvent être le signe d'une certaine hésitation, d'une indécision ou d'une réticence. Ils peuvent aussi symboliser une situation ou une action inachevée. Dans tous les cas, il sera fait appel à l'imagination du lecteur pour deviner quel est le sens le plus probable dans le contexte de la conversation.
"Les trois petits points peuvent être un marqueur d'opposition que l'on n'est pas capable d'exprimer directement. En réalité, l'interlocuteur bouillonne et peut finir par exprimer son mécontentement ailleurs, en ne faisant pas correctement ce qui lui est demandé, par exemple", décrypte la psychologue Vanessa Lalo.
On n'écrira jamais « poid » sans « s », c'est une faute d'orthographe. « Poids » est un nom masculin et sa particularité, il est invariable et s'emploie toujours au pluriel. Au singulier, comme au pluriel, il garde la même orthographe et on écrit « un poids ou des poids ».
Guère s'emploie avec ne et avec ne plus : on ne le voit guère, en ce moment ; je n'en ai plus guère ; elle n'a guère plus de vingt ans. Guère peut également être employé de manière autonome dans les tournures où le verbe est sous-entendu, notamment dans une réponse à une question : « En avez-vous encore ? - Guère ».
— Qui dit Noël dit dépenses ! Qui dit (un mot) dit (un autre mot) est une expression en français qui veut dire qu'une chose mène à une autre ou qu'une chose est toujours accompagnée par une autre chose.
Bonsoir, Il est de tradition de placer une virgule, et non un point, après Bonjour.
Il signifie "Laughing Out Loud" (traduction littérale : rire à gorge déployée). Il était utilisé à l'origine dans le contexte bien spécifique d'une blague jugée comme très bonne, d'une situation cocasse, ou de toute autre circonstance où l'hilarité était générale derrière l'écran.
(Typographie) Ellipse, signe typographique composé de trois points, « … » : indiquant une incomplétude de la phrase ; Les points de suspension ont la même signification grammaticale que les points si l'on s'arrête après eux, et sont donc suivi d'une majuscule.
/r ou /reply permet de répondre à un message privé dans le jeu. /w ou /whisper « Nom de l'invocateur » permet de démarrer une conversation avec un ami en ligne.
Une orthographe en fête
Modifiée et raccourcie en français, elle devient un mot avec trop de voyelles pour si peu de syllabe ! Le tréma, lui, vient en aide au XVIIIe siècle. Son rôle ? Indiquer la diérèse, c'est-à-dire la prononciation en deux syllabes : no – ël.