Ceci est à rapprocher de « bosch », bois en bas allemand et néerlandais : « 's-Hertogenbosch » aux Pays-Bas, se traduit en français par « Bois-le-Duc ». Donc, tête de « bosch » = tête de bois, et l'expression vient peut-être des Allemands eux-mêmes qui l'auraient employée en 1870.
Les Allemands ont ainsi été surnommés “alboches”. Puis, en quelques mois, le préfixe “al-” est tombé (il a disparu) et il n'est resté que “boche” (mot utilisé aussi ensuite durant la guerre de 1939-1945). »
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
Étymologie. De Chleuh, un peuple amazighe du sud marocain. Lors de la Première Guerre mondiale, le mot apparait avec le sens de « soldat des troupes territoriales » dans l'argot des soldats combattant au Maroc. (1936) Avec le sens de « frontalier parlant une langue autre que le français : comtois ou alsacien ».
Terme utilisé par les Français pour désigner les Allemands pendant la période conflictuelle entre les deux pays qui a débuté en 1870 et s'est terminée en 1945. Les Belges et les Québécois ont repris par la suite ce terme.
Boche est un terme péjoratif pour désigner un soldat allemand ou une personne d'origine allemande, mot qui a été utilisé pendant la guerre franco-allemande de 1870 puis plus largement par les Français, les Belges et les Luxembourgeois de la Première Guerre mondiale jusque bien après la Seconde Guerre mondiale.
"les Français" c'est "die Franzosen". Il y'a un mot péjoratif, "die Franzaken", l'équivalent de "schleu" en français pour désigner les allemands. Mais "Franzaken" est plutôt rare, et à ma connaissance le seul mot péjoratif pour désigner les Français.
Les Chleuhs (chleuh : ⵉⵛⵍⵃⵉⵢⵏ Icelḥiyen) sont un groupe ethnique berbère de langue chleuhe, variante du berbère, et majoritairement de confession musulmane sunnite qui représentent 55% des berbères marocains (8 à 10 millions de personnes) et vivant surtout dans le centre et le sud du Maroc.
Le tachelhit, ou chleuh (en berbère : ⵜⴰⵛⵍⵃⵉⵜ tacelḥit) est une langue berbère parlée par les Chleuhs au Maroc. Avec 8 à 10 millions de locuteurs, le tachelhit est la plus importante langue berbère du monde, par le nombre de locuteurs et par l'ampleur de son extension.
Mein Engel : mon ange ; Mein Herz : mon cœur, mon amour ; Meine Maus : ma souris ; Mein Liebling : mon amour.
Chleuh est un terme argotique notamment employé en France, autour de la Seconde Guerre mondiale, détournement du nom d'un peuple berbère du Maroc, les Chleuhs, pour désigner de manière péjorative les Allemands dont l'efficacité sur le champ de bataille était semblable à celle des Berbères qui composaient l'essentiel de ...
La Bundeswehr (traduit en français par « Force de Défense fédérale » mais littéralement « Défense fédérale ») est l'armée nationale de la République fédérale d'Allemagne depuis 1955. Les forces armées de la République fédérale sont contrôlées en temps de paix par le ministère de la Défense (Verteidigungsministerium).
Un terme péjoratif
C'est aussi un surnom donné par certains aux soldats allemands après la Seconde guerre mondiale, notamment en raison de leur nombre et des pénuries causées par les réquisitions. Le doryphore ayant détruit les cultures de pommes de terre juste après la guerre, il y a eu une assimilation.
Le dérivé fridolin apparaît en 1917, mais il aurait été présent dès 1880 selon Chautard. Une variante frigolin aurait été plus fréquente entre les deux guerres selon Esnault. La construction de ce nom est complexe. Le nom frigolin peut se référer au froid, au frigo, et donc au caractère présumé des Allemands.
Au Moyen Âge, les Teutons inspirent le nom français des chevaliers Teutoniques (Deutscher Orden en allemand) et plus tard, le nom de Teutons désignera les Allemands avec des connotations ironiques ou péjoratives.
L'islam s'est installé au Moyen Âge et il constitue la religion majoritaire des Kabyles. Son influence sur la culture, la société est majeure ; et ce à travers diverses périodes historiques. Au début de la conquête musulmane du Maghreb, la population berbère se convertissait massivement.
Les “Berbères” ou “Amazigh” (en berbère: pl. ⵉⵎⴰⵣⵉⵖⵏ /Imaziɣen/, sing. ⴰⵎⴰⵣⵉⵖ /Amaziɣ/) sont un groupe ethnique autochtone d'Afrique du Nord. Aussi connus dans l'Antiquité sous les noms de Libyens, Mauri, Numides, Gétules, Garamantes.
C'est pourquoi les Berbères se désignent eux-mêmes par le terme Imazighen (au pluriel); au singulier, c'est le terme Amazigh qui est employé. Le mot tamazight désigne leur langue (berbère), mais on écrit aussi «langue amazighe»; le mot Tamazgha désigne le territoire auquel ils appartiennent (la Berbérie).
Et que faire si vous souhaitez déclarer votre flamme à votre chéri(e) ? Dites-lui « Hemlegh-kem », qui est la traduction de « Je t'aime » en berbère kabyle, lorsqu'on s'adresse à une femme, et « Hemlegh-k hemlegh-k », lorsqu'il s'agit d'un homme.
"Oui" en kabyle peut être traduit soit par "ih" ou bien par "wah". Par exemple, "oui, je t'aime" se dit "ih, hemlegh-kem", si il s'agit d'une femme. Et "ih, hemlegh-k", si c'est un homme. Bien-sûr, cela marche aussi avec "wah".
Assieds-toi et tais-toi ! Qqim tessusmeḍ!
La mentalité germanique est plus nordique et les salariés sont habitués à un management horizontal, participatif et collaboratif. Les dirigeants d'une entreprise allemande n'imposent pas leurs décisions de manière autoritaire mais les discutent avec les salariés.
dérivé de allemand , avec le suffixe -boche ; la déformation de altdeutsch (« vieux allemand ») selon une enquête et un article de L'Est républicain datant de 1914 ; altdeutsch était entendu par les Français comme Alldoche devenu Alboche.
C'est vrai que les Allemands ont une sympathie pour les Français ; ils aiment le style de vie à la française ; ils aiment leur rapport à la vie. Alors bien sûr dans le boulot ils prennent des précautions parce qu'ils ne sont pas totalement rassurés, mais ils aiment vraiment les Français.