L'écriture du prisonnier peut également avoir une autre fonction : thérapeutique elle l'aide à moins s'ennuyer, didactique , elle délivre un enseignement et enfin, elle lui permet de mieux se comprendre; elle a ainsi une fonction d' expliquer ce qu'il ressent; L'écriture intime fixe ainsi les changements qui se font en ...
Genre : Récit à la première personne ; adoption des techniques de l'autobiographie, le journal intime en particulier. Histoire : Le livre est l'histoire d'un homme qui a été condamné a mort et, il raconte ce qu'il vit pendant les dernières semaines de sa vie.
La morale de cette histoire : Victor Hugo choisit, en toute conscience, de ne pas donner de nom à son personnage ni de donner de détails sur le crime pour lequel le prisonnier est condamné.
La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie. (Mouvement.) Partout où la peine de mort est prodiguée, la barbarie domine ; partout où la peine de mort est rare, la civilisation règne.
une idée de justice, de réparation pour les victimes ; la nécessaire protection de la société contre un individu dangereux que l'on met hors d'état de nuire ; son effet dissuasif ; un argument économique : la mise à mort coûte moins cher à la société que la prison à vie.
Biographie courte de Victor Hugo - Victor Hugo est l'un des plus grands poètes, écrivains et dramaturges du XIXème siècle. Il est l'illustre auteur des Misérables, de Notre-Dame de Paris, d'Hernani et des Contemplations.
Les raisons pour écrire
L'homme écrit pour parler de ce qu'il y a à l'intérieur de lui, son angoisse de vivre : "en moi", "tempête", "lutte", "tragédie", "violent et inconnu"," tortures", "angoisses", "terreurs". Chaque homme porte en lui la condition humaine et peut raconter quelque chose.
5) Marie : fille du condamné, elle a trois ans ; son père lui voue un amour absolu ; mais elle ne reconnaît pas son père dans ce barbu qui l'embrasse. Elle est persuadée que son père est mort. 6) La foule : compatissante et cruelle à la fois, elle assiste à une exécution capitale comme à un spectacle.
Il est le seul narrateur, et toute l'œuvre se vit à travers son regard. On ne sait pas grand-chose de lui : on ne connaît ni son nom, ni sa classe sociale, ni son crime, ni son mobile, ni sa ou ses victimes.
Les personnages principaux sont le condamné -le narrateur-. Marie, la fille du narrateur. Les magistrats: Le narrateur les décrit de manière caricaturale. Les gardes-chiourmes: Geôlier sans instruction et sans éducation qui rudoient le narrateur.
Le texte commence par l'affirmation de la thèse (Opinion que l'on veut promouvoir). Les auteurs cherchent à faire adhérer le lecteur de ceux qui soutienne la peine de mort. V. Hugo défend la thèse contraire, c'est-à-dire qu'il réfute la peine de mort.
L'écriture favorise la reconnaissance et la mémorisation
L'écriture renforce l'attention portée aux informations, ce qui permet au cerveau de mieux évaluer et organiser les données reçues. Les idées et les concepts sont mieux assimilés et la mémorisation facilitée.
Autre bienfait cognitif, l'écriture renforce notre "mémoire de travail", cette mémoire à court terme qui nous permet de stocker et d'analyser des informations. En mettant ces informations à distance grâce à l'écriture, il est plus facile de les intégrer.
Les gouvernements ont souvent recours à la peine de mort à la suite de violentes attaques pour démontrer qu'ils font quelque chose pour « protéger » la sécurité nationale. Mais il est peu probable que la menace d'exécution arrête les hommes et les femmes prêts à mourir pour leurs convictions – comme les kamikazes.
Les abolitionnistes se font entendre ; le poète Lamartine écrit l'ode « Contre la peine de mort ». C'est dans ce contexte que Hugo publie, en 1829, Le Dernier Jour d'un condamné et, en 1834, Claude Gueux, l'histoire d'un prisonnier condamné à mort pour avoir tué le gardien de la prison.
Victor Hugo a vingt-six ans quand il écrit, en deux mois et demi, "Le Dernier Jour d'un Condamné", roman qui constitue sans doute le réquisitoire le plus véhément jamais prononcé contre la peine de mort. Il n'a ni nom , ni crime défini mais dans six semaines , il sera guillotiné .
1) Où le condamné commence-t-il à écrire ? A Bicêtre. 3) Quelle sorte de langage le jeune homme apprend-il en prison ? L'argot.
Bien que l'écriture soit un moyen de transmission de savoir, elle est aussi un soulagement. D'abord, elle est indispensable pour expulser nos peines et nos tourments. Elle est essentielle pour colorer nos joies et nos plaisirs. Chaque mot prend alors une véritable dimension.
Il argumente point par point et construit un véritable réquisitoire contre la peine de mort en prenant soin de ménager des transitions : " la raison est pour nous, le sentiment est pour nous, l'expérience est aussi pour nous " écrit-il avant de commencer à évoquer les pays qui ont déjà aboli la peine capitale et qui ...
Condamné dans de bonnes conditions pour le recevoir car prêtre=espoir d'accepter ce qui lui arrive mais assez vite laisse part au désespoir… Rôle du prêtre= consolateur + confesseur. Mais cette présence va accabler le narrateur -> dialogue de sourd, sujet de la religion perturbe le condamné (paroles inadaptés).
1. "Demain, dès l'aube", Victor Hugo.
Demain, dès l'aube de Victor Hugo est possiblement le plus beau poème de l'histoire. Publié dans le recueil Les Contemplations (1856), il se compose de trois quatrains d'alexandrins en rimes croisées.
Victor-Marie Hugo dit Victor Hugo, considéré comme l'un des plus importants poètes et écrivains de tous les temps, est né à Besançon en 1802.