Dans l'Ancien Testament, le porc est impur, car il se nourrit d'immondices, voire mange ses propres excréments. En conséquence, il est interdit aux juifs par la loi de Moïse, qui rejette tous les usages de sa chair, son cuir, ses entrailles, ses sécrétions.
Dans l'islam, le porc est considéré comme impur (haram) en raison de son statut théologique. Selon les enseignements islamiques, le porc est associé à des caractéristiques négatives et est considéré comme un animal impur. L'interdiction de sa consommation est donc une façon de se purifier spirituellement.
Le porc est interdit à la consommation dans l'islam et le judaïsme.
Les Egyptiens anciens, qui n'en sont pas à un paradoxe près, élèvent des porcs qu'ils sacrifient au temple tout en le considérant comme un animal maudit que Pharaon se garde bien de consommer. Chargé de tous les maux, il est censé transmettre la lèpre.
On ne mange pas de porc dans la religion musulmane, pour des questions d'hygiène mais aussi pour obéir à l'ordre divin.
Explications. "Sont interdits pour vous les animaux qui meurent d'eux-mêmes, le sang, la viande de porc et les animaux dédiés à d'autres qu'Allah." Ainsi parle le Coran. « Sont interdits pour vous les animaux qui meurent d'eux-mêmes, le sang, la viande de porc et les animaux dédiés à d'autres qu'Allah.
De manière générale, les chrétiens ne sont pas tenus de s'abstenir de manger du porc en vertu de leur foi, mais ils peuvent choisir de le faire ou de ne pas le faire en fonction de leurs convictions personnelles.
L'interdiction de consommer de la viande de porc remonte aux textes bibliques fondateurs, communs aux trois grandes religions du Livre ; elle est explicite dans le Pentateuque, que les Juifs nomment la Torah (rédigée entre le IXe et le ivc siècle avant J. -C), et plus précisément dans le Lévitique et le Deutéro-nome.
Dans la religion orthodoxe orientale, il est interdit de consommer du porc. Pour les Erythréen-nes et Ethiopien-nes qui vivent en Valais, les cérémonies ont lieu à Saint-Maurice.
Et les versets 90 et 91 du cha¬ pitre V concluent : "Vous qui croyez, l'alcool, le jeu d'argent, les bétyles \ les flèches (divinatoires ) ne sont que souillures machinées de Satan. . .
En théorie, aucun aliment n'est interdit dans l'absolu au fidèle : les tabous concernant le porc ou d'autres espèces animales que définissait l'Ancien Testament ont été abolis depuis longtemps et la papauté a fini par abandonner aussi la prohibition du sang et des viandes dans lesquelles le sang est resté.
La loi halal exige que l'on prie à Allah avant ou pendant l'abattage de chaque animal, mais la loi kasher ne requiert pas de prière avant chaque abattage. Un shochet, ou un rabbin spécialement formé, doit abattre l'animal, tandis que tout adulte musulman, chrétien ou juif peut l'abattre en vertu de la loi halal.
Le mot "porc" vient du latin "porcus". En revanche, l'origine du mot "cochon" est incertaine et son utilisation est plus récente. Pour parler de la viande de cet animal, on utilise le mot "porc" ou "viande de porc", mais pas "cochon", qui est réservé à l'animal vivant.
Contrairement aux idées reçues, les cochons sont des animaux très propres. Les bains de boue leur servent à se protéger des puces et des coups de soleil, et à réguler leur température corporelle (dépourvus de glandes sudoripares, ils ne transpirent pas4).
Des adeptes de la propreté
Contrairement aux idées reçues, les cochons sont des animaux très propres. Sachez que, s'ils se baignent dans la boue, c'est pour protéger leur peau fragile contre les parasites et les rayons du soleil, comme le font les sangliers.
Pour les musulmans sunnites non-hanafites, soit près de la moitié de la population musulmane, le poisson et les produits de la mer sont halal en soi, sans restrictions particulières : « Le gibier de la mer et la nourriture qui s'y trouve vous sont permis : c'est une jouissance pour vous et les voyageurs » (Coran, V, 96 ...
Contrairement au judaïsme et à l'islam, le christianisme n'a pas défini d'interdits quant à la consommation de viande. Retour sur une exception alimentaire et ses hésitations depuis l'Antiquité.
Les catholiques et les orthodoxes prient les Saints. Ils croient au Purgatoire et vénèrent la Vierge Marie comme figure sainte. Cela constitue une autre différence importante avec l'Eglise protestante qui refuse les Saints et ne voue aucun culte à Marie.
Pour ce jour de la mort du Christ, l'Église demande à ses fidèles de “faire maigre” lors des repas le vendredi et plus particulièrement le Vendredi saint. Ils doivent donc s'abstenir d'aliments riches comme la viande en mémoire du sacrifice de Jésus et dans une démarche de pénitence.
« Esaïe 66 : 17 : Ceux qui se sanctifient et se purifient, Pour aller dans les jardins, Au milieu (desquels ils vont l'un) après l'autre, Qui mangent de la viande de porc, Des choses abominables, des souris, Tous ceux-là périront,- Oracle de l'Eternel. »
Elles peuvent enfin concerner le rapport à soi et correspondre à des valeurs sanitaires (Matteo Ricci prétend que la viande rend fort et viril ; les adventistes ne mangent pas de porc parce qu'ils le jugent nuisible pour leur santé).
Et pour cause, 25% des Français de 18 à 34 ans en arborent désormais. Et pourtant, le tatouage a longtemps été une pratique marginale dans nos sociétés judéo-chrétiennes ; il est en effet interdit par la Bible.
Dans l'Ancien Testament, le porc est impur, car il se nourrit d'immondices, voire mange ses propres excréments. En conséquence, il est interdit aux juifs par la loi de Moïse, qui rejette tous les usages de sa chair, son cuir, ses entrailles, ses sécrétions.
" Jésus se nourrissait de poissons, d'oeufs et de laitages. Il n'a jamais mangé l'agneau pascal ", assure l'abbé Pierre des animaux.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.