Au 1ᵉʳ août 2020, le prix du gaz augmente de 1,3%, première hausse du TRV du gaz depuis le mois de décembre 2019. La raison de cette augmentation est la hausse des coûts d'approvisionnement d'Engie de 0,06 c€/kWh, expliquée par la reprise d'activité après la crise du coronavirus.
Sans cette mesure, le niveau moyen des tarifs réglementés de vente au 1er juin 2022 aurait été supérieur de 54 % HT, soit 48,70 % TTC par rapport au niveau en vigueur depuis le 1er octobre 2021.
Pour rappel, la Première ministre Elisabeth Borne a confirmé une hausse assez inédite de 15% du prix du gaz, à partir de janvier 2023. Autrement dit, chaque mois, un foyer verra sa facture augmenter de 25 euros.
La demande, liée à la sortie de la crise économique due au Covid-19, tire les prix à la hausse depuis la fin de 2021. La guerre en Ukraine. Une part importante de l'électricité en Europe est produite à partir de gaz naturel, ce qui entraîne un couplage des prix entre le gaz et l'électricité.
Alors qu'en début de mois de septembre, Goldman Sachs s'attendait à un prix d'environ 213 euros le MWh pour l'hiver, sa nouvelle prévision fait état d'un prix en-deçà de 100 euros à horizon du premier trimestre 2023.
La guerre en Ukraine crée de l'incertitude et de la spéculation liées à de possibles sanctions économiques dans les secteurs du gaz naturel et du pétrole russe, et cela engendre une pression à la hausse sur le prix du baril de pétrole sur les marchés.
La hausse des prix va se poursuivre : comme la raréfaction du gaz devrait se poursuivre, les prix de l'énergie continueront d'augmenter en 2022, du moins jusqu'en été. Un hiver doux limiterait quelque peu la flambée des prix, mais il est bien sûr impossible de le prévoir.
Au 1ᵉʳ août 2020, le prix du gaz augmente de 1,3%, première hausse du TRV du gaz depuis le mois de décembre 2019. La raison de cette augmentation est la hausse des coûts d'approvisionnement d'Engie de 0,06 c€/kWh, expliquée par la reprise d'activité après la crise du coronavirus.
En 2018, elle valait 44,6 €/t. CO₂ en 2030. L'augmentation du prix du carbone va se faire graduellement, jusqu'à atteindre 100 €/t. CO₂ en 2030.
Le tarif réglementé du gaz est tout simplement le prix du gaz naturel fixé par l'État, après avis de la Commission de Régulation de l'Energie (CRE). Seuls ENGIE et les fournisseurs historiques ont l'autorisation de vendre du gaz naturel aux tarifs réglementés.
Comme expliqué précédemment, le tarif réglementé d'Engie est voué à disparaître. Les consommateurs étant encore au tarif réglementé du gaz ont donc jusqu'au 30 juin 2023 pour souscrire une offre chez un fournisseur alternatif, qui constituent les véritables acteurs du marché du gaz de demain.
Depuis le 1er janvier 2022, la Réglementation Environnementale RE 2020 interdit la pose de chaudière à gaz dans les bâtiments neufs. Sont concernés tous les modèles, y compris les chaudières gaz à condensation.
L'ensemble des tarifs réglementés de gaz naturel sera supprimé le 1er juillet 2023. Pour les clients résidentiels (et les copropriétés consommant moins de 150 000 kWh ), les tarifs réglementés de gaz naturel disparaitront le 1er juillet 2023.
L'exemple le plus frappant est celui de la température de votre logement. 1 °C de plus provoque une hausse du montant de votre facture d'énergie de 7 % ! Si vous vous chauffez au gaz, cela a donc une incidence très forte sur votre consommation.
? Quel est l'abonnement le moins cher pour le gaz ? En octobre 2022, c'est Energem qui propose l'abonnement TTC le moins cher pour le gaz avec un prix de 246.60 € par an, contre 249.72 € avec le tarif réglementé.
Toutefois, l'électricité est plus chère que le gaz, et de nouvelles hausses des tarifs réglementés sont à prévoir. La valeur de référence pour calculer la consommation moyenne en chauffage électrique est de 110 kWh par mètre carré et par an.
Environ 45% des importations du gaz naturel proviennent de Russie, c'est-à-dire 155 milliards de m3. L'invasion de l'Ukraine par la Russie menace la sécurité d'approvisionnement en gaz et fait grimper les prix de l'énergie à des niveaux sans précédent.
39,10% d'augmentation évitée au 1er octobre La CRE (Commission de Régulation de l'Energie) continue de publier les barèmes hypothétiques du tarif réglementé de vente du gaz. On apprend ainsi qu'une hausse de 39,10% HT aurait été appliquée aux TRV en octobre (par rapport au barème hypothétique de septembre 2022).
Si les prix du gros du gaz flambent de nouveau (plus 20% en une seule journée !) c'est justement parce que le géant russe Gazprom prévoit encore d'interrompre les livraisons de gaz vers le Vieux Continent, via le gazoduc Nord Stream 1, pendant trois jours, du 31 août au 2 septembre, pour des raisons de « maintenance ».
L'augmentation des cours provient donc d'abord de deux phénomènes, qui se sont alimentés l'un l'autre dans une spirale infernale : les coûts de mise en route des centrales à gaz (qui font l'équilibre de ce marché) se sont envolés, en même temps que les capacités physiques de génération d'électricité se sont rétractées.
Novembre 2021 - Octobre 2022
Cette hausse est de 4,5% pour les clients qui utilisent le gaz pour la cuisson, de 9,1% pour ceux qui ont un double usage, cuisson et eau chaude, et de 14,3% pour les foyers qui se chauffent au gaz.
Isolation thermique des parois : toiture, murs, planchers, fenêtres ; Remplacement du système de chauffage d'ancienne génération ; Remplacement du système de production d'eau chaude sanitaire ; Amélioration de la ventilation.
En 2023, les prix du gaz et de l'électricité devraient augmenter d'au moins 10% en France. La Première ministre Elisabeth Borne devrait officiellement annoncer cette hausse ce mercredi après-midi, selon France Info mercredi.
Selon le simulateur comparatif Engie ou EDF ci-dessus, pour une puissance de compteur de 6 kVA en option base, l'offre d'électricité Happ-e by Engie est moins chère qu'EDF. Même si le prix de l'abonnement annuel est plus élevé chez Engie que chez EDF, le prix du kWh est plus avantageux chez Engie.