Contrairement aux idées reçues, le sucre favorise la somnolence et non l'hyperactivité. En effet, de récentes études montrent que le glucose est une substance pro-sommeil car il possède des effets hypnogènes sur ceux qui le consomment.
Vous vous sentez fatigué
On vous explique : lorsque vous en consommez, le pancréas va secréter de l'insuline en grande quantité, afin d'absorber l'excès de sucre dans le sang et stabiliser la glycémie. Ce pic d'insuline va ensuite redescendre aussi vite et provoquer un état de fatigue général.
Consommer beaucoup de bonbons en quantité n'est certainement pas bon pour l'équilibre alimentaire et les caries. Toutefois, "le sucre n'est pas un excitant mais un glucide rapide qui apporte de l'énergie directement disponible", rappelle l'experte.
Manger du chocolat avant de dormir permet d'augmenter le taux de sucre dans le sang. Ce taux de sucre stimule les hormones du sommeil et donc favorise l'endormissement. Le Magnésium, présent dans le chocolat, favorise la régulation des périodes sommeil et éveil.
Contrairement aux idées reçues, le sucre favorise la somnolence et non l'hyperactivité. En effet, de récentes études montrent que le glucose est une substance pro-sommeil car il possède des effets hypnogènes sur ceux qui le consomment.
L'hyperglycémie, lorsqu'elle est transitoire, peut passer inaperçue. Elle peut toutefois engendrer les symptômes suivants : de la fatigue et une somnolence, une soif intense, un amaigrissement malgré un appétit conservé et un besoin fréquent d'uriner.
Plus que le sommeil, c'est donc l'ensemble de l'organisme qui est affecté. L'expérience a également montré qu'un apport en sucre trop important perturbe le sommeil en entraînant des réveils nocturnes fréquents.
Il peut entraîner un état dépressif ou de stress
Mais les aliments riches en sucre et en glucides stimulent aussi la production de sérotonine, un neurotransmetteur qui améliore le moral.
Normal qu'on se pose la question! Eh bien, la réponse est... non! Les nombreuses études qui ont été réalisées sur le sujet démontrent toutes que le sucre n'est pas un excitant, pas plus pour les enfants, que pour les adultes.
Le soir, le corps va stocker les graisses et même, transformer le sucre en gras au niveau du ventre, des hanches et des fesses. Logique, car il n'a pas besoin de beaucoup d'énergie pendant le sommeil.
Sucre : des risques pour la santé
De multiples études ont démontré que le sucre favorisait, outre le diabète et l'obésité, de nombreuses autres maladies. En augmentant le taux de triglycérides et de cholestérol, le sucre fait le lit de l'hypertension et des maladies cardiovasculaires.
Les Etats Unis et les pays européens sont le plus gros consomateurs de sucre et de graisse, alors qu'en bas du classement on trouve les pays asiatiques, surtout l'Inde qui a la plus faible consommation des deux produits. Les États-Unis sont le premier pays consommateur de sucre, avec 126 grammes par jour et par tête.
Réduire ou arrêter la consommation de produits sucrés permet de retrouver une peau souple et lumineuse, de stabiliser son humeur, de perdre quelques kilos, de renforcer son système immunitaire, de protéger nos dents et d'éliminer la mauvaise haleine.
La consommation mondiale de sucre a chuté en 2020 pour la première fois depuis 40 ans, selon le cabinet d'analystes Czarnikow. C'est une bonne nouvelle car cet "or blanc" n'est pas sans conséquence pour la santé. Nombre de nutritionnistes préconisent d'ailleurs de le bannir désormais presque totalement de nos menus.
Il entraîne une dégradation des protéines et des lipides qui entrent dans la constitution de nos cellules. Cette réaction s'appelle la glycation. Mais si le glucose est indispensable à notre métabolisme, il peut aussi être nocif pour nos cellules et l'excès de sucre dans le sang entraîne des dégâts.
"Quand on mange du sucre, le pancréas secrète de l'insuline trop rapidement, et quand ce taux baisse on se retrouve en hypoglycémie et donc fatigué", précise la médecin nutritionniste.
Un cerveau en manque de sucre peut même engendrer des comportements violents. Mais, là encore, des études récentes ont montré que l'agressivité peut cesser aussitôt après la prise de boissons sucrées (Aggressive Behaviour, janvier-février 2001).
Consommation excessive de sucre et dépression saisonnière
D'après une équipe de chercheurs américains, la consommation excessive de produits bourrés de sucres serait pourtant loin d'être anodine car elle affecterait notre moral en jouant un rôle dans le déclenchement de la dépression saisonnière.
Parmi elles, le jus de citron, le jus de pamplemousse pressé ou encore le thé matcha ou le chia fresca. Certains breuvages froids ou chauds naturels sont anti-fatigue et bons pour la santé. Le matin, par exemple, le jus de citron à jeun dans de l'eau est l'allié parfait pour bien commencer la journée.
Au goûter, du plaisir tu auras
Effectivement, que vous mangiez ou non, le pic d'insuline sera présent donc autant en profiter ! C'est le moment idéal pour manger du sucré, pour vos aliments à IG haut, et surtout pour notre chocolat ! Votre corps « fermera les yeux » sur ce qui entre à ce moment là en matière de sucre.
Par conséquent, si vous avez un reflux, il est préférable d'éviter de manger pendant au moins 3 heures avant de vous coucher. En outre, vous pouvez éviter de boire ou de manger des aliments contenant de la caféine, de l'alcool, du thé, du chocolat ou des épices chaudes. Tous ces aliments peuvent aggraver les symptômes.
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
Maintenir une bonne hydratation grâce à l'eau peut vous aider à contrôler le taux de glycémie dans le sang, d'après une étude citée par Best Health Mag (Source 1). En cause, une hormone appelée vasopressine, qui augmente lorsqu'une personne est déshydratée, et qui stimule le foie afin qu'il produise plus de sucre.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.