En latin classique, les lettres B et V (alors non distingué de U) correspondaient à des sons distincts : le B représentait la consonne occlusive bilabiale voisée [b] en toute position, tandis que V consonne représentait la semi-voyelle labio-vélaire [w], pareille au ou français dans "ouate".
–Les consonnes B, D, F, H, K, L, M, N, P, Q, T et X se prononcent comme en français. Du coup, le H ne se prononce pas ! -A noter, le cas particulier du W qui n'est pas une consonne espagnole mais anglaise. Il n'existe aucun mot en espagnol pur commençant par W.
Tout naturellement parce que le latin l'a piquée à l'alphabet grec, pour représenter un son, le [u], qu'il n'avait pas dans son alphabet. Voilà qui nous rappelle au passage que ce que nous appelons "i-grec" s'appelle "upsilon" en grec.
L'alphabet espagnol ne compte donc qu'une seule lettre en plus par rapport à l'alphabet français : il s'agit de la lettre ñ. Le CH est considéré comme un C suivi d'un H et le LL comme la succession de deux L.
Ainsi le nom wagon s'est d'abord prononcé avec un <w> conforme à la prononciation anglaise d'origine, auquel un <v> s'est substitué dans la seconde moitié du 19e siècle, sans doute sous l'influence de l'allemand Wagen – ce qui explique la variante graphique vagon que l'on trouve tant chez Littré que chez Larousse.
C'est une ancienne ligature datant du Moyen Âge, réunion de deux V (d'où le nom en français, double v) ou de deux U (en anglais : double u). Chilpéric ajouta à l'alphabet quatre caractères de son invention, parmi lesquels un affecté à la prononciation qu'on a depuis rendue par le double v.
¡Vamos! Allons-y !, On y va !, C'est parti !
Chanson et danse populaires espagnoles, de rythme ternaire (3/4, 3/8), de tempo vif et trépidant (moins rapide cependant quand elle est seulement chantée). Elle est fort répandue en Espagne, au Portugal, aux Baléares et aux Canaries (isa).
Le Ñ, ñ, egne, ou ene tilde (en espagnol la eñe, nom féminin) est une consonne utilisée en aragonais, asturien, basque, breton, espagnol, galicien, guarani, hassanya, karone, portugais tagalog, wamey, wolof, etc.
En espagnol, la lettre Z se dit la Z (à prononcer « CÉTA »). Lorsqu'il y a un Z dans un mot, la prononciation en espagnol s'apparente au son « TH » anglais, comme dans le mot « thing » par exemple.
La prononciation est normalement \v\ dans les mots venant de l'allemand ou de l'alsacien (ou quand la prononciation a été influencée par l'allemand) : walkyrie, Wagner, wagnérien, Lech Walesa, warrant, weltanschauung, wergeld, winstub, woïwodie, wisigoth, wolfram, wormien, würmien, wyandotte…
Une anecdote attribue au sénateur romain Appius Claudius la suppression dans l'alphabet latin du Z, 6e lettre de l'alphabet grec, car il la trouvait maléfique !
Enfin il existe deux assemblages de lettres : le e dans l'a (« æ ») et la a dans l'o (« œ »). À noter qu'en français, les voyelles accentuées ainsi que le c cédille et les deux assemblages de lettres ne sont pas comptés dans l'ordre alphabétique.
Ce caractère contient la partie prononciation [wú] et une clé de "herbe", donc il se prononce [wú] et la clé de "herbe" lui donne la signification de "terre sauvage".
D'al-barquq, le portugais tirera le nom albricoque et l'espagnol albaricoque qui sont à l'origine de notre abricot, et c'est du catalan albercoc que viendra le provençal aubercot.
Le mot week-end a aussi plusieurs prononciations. La plus courante est [ wikɛnd ] (« oui-kennd »). Dans le Nord de la France, on prononce aussi [ ɥikɛnd ] (« ui-kennd »).
Lettre minuscule latine n tilde . Elle est utilisée en aragonais, asturien, basque, breton, espagnol, galicien, guarani, hassanya, tagalog, wolof, etc. Elle est aussi utilisée dans le digramme ‹ ñg › de l'alphabet des langues d'Angola.
nombre y apellido n.