Tout d'abord, le vin blanc contient de l'alcool, ce qui est un stimulant. L'alcool peut perturber le sommeil en augmentant les mouvements corporels et en réduisant la production de sommeil profond. De plus, l'alcool peut provoquer des ronflements et des apnées du sommeil.
Vous allez sûrement bien dormir ce soir. Mais il se trouve que le vin rouge pourrait en fait saboter vos beaux rêves. Selon le rapport Prevention, l'alcool augmente la probabilité que vous vous réveilliez au milieu de la nuit.
Sous l'effet de l'alcool, le cerveau libère de l'adrénaline, une hormone qui stimule le cerveau plutôt que de l'endormir. Pire encore, l'alcool empêche la production de mélatonine, l'hormone du sommeil. Résultat : A 3h du matin, on se réveille et c'est très compliqué de se rendormir.
Selon le Dr Rashmi Byakodi, dentiste, expert en santé et bien-être, et rédacteur en chef de Best for Nutrition, les phénols du vin blanc - appelés acide caféique - ont une capacité antioxydante comparable à celle du vin rouge. Ils peuvent contribuer à limiter la progression des maladies cardiovasculaires et rénales.
Les personnes qui ont bu de l'alcool avant d'aller se coucher ronflent plus fréquemment. En effet, la consommation d'alcool provoque un relâchement de la musculature des voies respiratoires. De ce fait, l'air inspiré a plus de difficultés à se frayer un chemin vers les poumons.
Il existe de nombreuses études qui ont montré que l'alcool a un effet négatif sur cerveau. L'excitation provoqué par le vin blanc est dû à la caféine, la même substance qui se trouve dans le café, le thé et le chocolat. La caféine est un stimulant du système nerveux central.
Le vin, la bière et les spiritueux contribuent tous à un endormissement rapide (en termes plus techniques, ils "réduisent la latence d'endormissement") mais les experts sont unanimes: en buvant avant le coucher, on risque de se réveiller au milieu de la nuit et de dormir moins profondément.
Avec modération…
Pour les cardiologues, le vin est l'ami de nos artères… à condition d'être consommé avec modération. En effet, n'oublions pas qu'un verre de vin apporte 100 kcal et 10 g d'alcool en moyenne et une alimentation trop riche en vin avec des excès chroniques favorise au contraire l'hypertension artérielle.
Le vin rouge a des vertus santé que le blanc ou le rosé n'ont pas. On parle souvent des antioxydants qui contribuent à la prévention de certaines maladies cardio-vasculaires.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
En consommant un verre de vin rouge par jour, on peut considérer qu'il n'y a pas de danger pour la santé, car peu d'alcool consommé et qu'une telle consommation (sans la dépasser) peut être bénéfique pour le cœur.
Quelle est la bonne température pour servir un vin blanc ? Parce que l'on pense qu'il faut boire le vin blanc le plus frais possible, on a tendance à le servir à la minute où on le sort du frigo. Or c'est bien trop frais, mieux vaut le sortir du frigo 20 minutes avant de le boire.
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3 – Les hommes qui veulent boire de façon modérée devraient se limiter à 3 verres par jour et à un maximum de 15 verres par semaine. 3 – Afin d'éviter l'intoxication et les complications qui l'accompagnent, les femmes ne devraient pas prendre plus de 3 verres en une même occasion.
Le Code de la route en France interdit de conduire à partir d'une dose de 0,5 gramme, ce qui signifie donc que cette limite est atteinte au bout de deux verres.
Les réponses avec le Dr Laurence Plumey, nutritionniste :
"Le lendemain des fêtes, non seulement on est fatigué mais souvent on a mal à la tête parce qu'en fait, l'alcool est un diurétique. Et quand les personnes ont mal à la tête (la fameuse gueule de bois), cela s'explique par la déshydratation du corps.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Une consommation d'alcool trop abusive dérègle le système immunitaire et vient renforcer les problèmes d'arthrite. Face à une maladie chronique articulaire, comme l'arthrose, il est déconseillé de boire de l'alcool.
Cependant, si tous les alcools protègent le cœur à faible dose, c'est bien le vin rouge qui concentre les vertus, car il est riche en polyphénols, des molécules antioxydantes, anti-inflammatoires et antiagrégantes (qui réduisent le risque de formation de caillots sanguins).
Le vin protégerait ainsi le mauvais cholestérol de l'oxydation, le rendant ainsi moins toxique. Par ailleurs, il pourrait diminuer la formation des caillots sanguins et fluidifier le sang, à la manière de l'aspirine.
Une consommation excessive d'alcool restreint l'oxygène dans les globules rouges, ce qui provoque la dilatation de minuscules vaisseaux sanguins à la surface de votre œil (la sclère). Ceci entraîne ensuite un plus grand flot de sang dans ces vaisseaux, ce qui donne à vos yeux cette apparence rouge et enflammée.
Buvez du vin, rouge de préférence et à dose modérée ! Pour la première fois, une équipe française a montré que le vin diminuait sensiblement le risque de mortalité chez les patients hypertendus.
Selon une nouvelle étude publiée dans le Journal of the American Heart Association, un exercice de respiration appelé "entraînement de la force musculaire inspiratoire" permettrait aussi de réduire la pression artérielle en le pratiquant 5 minutes par jours.
L'alcool est connu pour son effet relaxant et désinhibiteur dans les premiers temps. Mais lorsque sa consommation devient chronique, il altère la qualité et la quantité de mélatonine, l'hormone du sommeil.
L'alcool provoque l'« insomnie à rebond ». Après avoir aidé à l'endormissement, il entraîne des sécrétions d'adrénaline qui stimule le cerveau. Ces 2 facteurs empêchent le sommeil de passer à la phase profonde. L'alcool fait aussi chuter le taux de mélatonine, hormone nécessaire au sommeil.