Réalisé par Leonard de Vinci, peintre le plus célèbre de son époque, à partir de 1503, le tableau aurait été commandé par un riche marchand Italien, Francesco del Giocondo, qui souhaitait installer un portrait de son épouse, Lisa, dans leur nouvelle demeure.
L'énigmatique sourire de la Joconde est celui d'une femme "heureuse", ont tranché des scientifiques après avoir analysé la perception de son expression par un échantillon de personnes.
Il exprime la sérénité heureuse (en italien: Giocondo signifie heureux, serein), la féminité, la Maternité. (…) La technique du sfumato permet de peindre l'âme en noyant les contours derrière une "vapeur" de couleur, et idéalise ainsi le visage humain.
La Joconde de Léonard de Vinci dépasse la seule figuration : elle nous livre son âme. Le peintre italien invente la peinture "organique", ce que l'immersion sensorielle de l'exposition fait ressentir.
Léonard de Vinci a bouleversé ça. Il voulait montrer le caractère des gens et peignait ses portraits de profil ou de trois quarts, comme s'ils venaient de tourner la tête. Il a apporté à la peinture «une forme de liberté et quelque chose qui ne se voit pas : le mouvement de la vie, explique Louis Frank.
Le QI de Léonard de Vinci est estimé entre 130 et 220 (la moyenne est à 100).
Son objectif est donc de devenir ingénieur et de tout savoir sur tout. Léonard commença à rédiger son "Codex Atlanticus" (nom attribué par référence à sa grande taille), un livre manuscrit de 1119 feuilles organisé en 12 volumes et conservé à la Bibliothèque Ambrosiana de Milan.
Une première explication désignait la mode de l'époque comme responsable de cette épilation exagérée. La jeune femme serait née à Florence, en mai 1479. Or, à la Renaissance, le haut front se veut chic, poussant les femmes à s'arracher une partie des cheveux, les sourcils et les cils.
Quel est le secret de la Joconde ? Son sourire ! À peine exprimé, il se révèle insaisissable… La jeune femme, en 1503, esquisse un sourire dissymétrique, ses lèvres remontant légèrement vers la gauche.
Qui se cache derrière le tableau de La Joconde ? Derrière la star du Louvre se cache le portrait de Florentine Lisa Gherardini, épouse de Francesco del Giocondo, un riche marchand d'étoffes Florentin.
"Les yeux se suivent toujours" explique l'Historien d'art Pascal Torres. Dans le monde réel, les regards s'échangent entre les personnes. Lorsque quatre yeux se croisent, une sorte d'harmonie idéale se forme.
L'identité du modèle est régulièrement remise en question, mais on admet généralement qu'il s'agit d'une dame florentine, prénommée Lisa, épouse de Francesco del Giocondo. Le nom Giocondo a été très tôt francisé en La Joconde. Mais en Angleterre ou aux Etats-Unis, on préfère l'appeler par son prénom : Mona Lisa .
C'est dans la salle des États qu'est exposé le tableau le plus célèbre du monde : La Joconde. Cette vaste salle, la plus grande du musée, permet d'accueillir de nombreux visiteurs. C'est aussi là que sont présentées d'autres œuvres très connues de l'école vénitienne, comme Les Noces de Cana de Véronèse.
L'épouse d'un florentin peinte par Léonard de Vinci
Ce marchand d'étoffes de Florence aurait fait appel au célèbre Léonard de Vinci pour que le maître du sfumato immortalise sa belle, Lisa Gherardini. Alors au sommet de son oeuvre, le peintre réalise la commande entre 1503 et 1506.
D'après les cabinets d'expertise, sa valeur est évidemment "incommensurable". La Joconde n'a pas de prix. Mais s'il fallait néanmoins en donner un, le cabinet Expertissim, spécialisé dans l'antiquité et les œuvres, l'a estimé en 2015 à... 2 milliards d'euros, faisant de l'huile de Vinci l'œuvre la plus chère au monde.
L'étrange sourire de La Joconde trouve une triste explication. Les imperfections relevées sur son portrait ont poussé des médecins à faire un diagnostic sévère : elle souffrirait d'une maladie de la thyroïde.
Vincenzo Peruggia était l'artisan qui avait travaillé au Louvre pour mettre le tableau sous verre. Il s'était fait enfermer dans le musée de nuit pour dérober la toile. Une histoire qui finit bien, le 4 janvier 1914, la Joconde retrouve enfin sa place au Louvre !
Selon un historien de l'art italien, Léonard de Vinci aurait peint deux visages, l'un féminin et l'autre masculin, pour réaliser La Joconde.
Il s'agit d'un ouvrier vitrier italien, Vincenzo Peruggia. Il confesse qu'ayant eu à travailler au Louvre, il a volé le tableau pour le restituer à sa patrie, l'Italie ! Il n'a eu rien d'autre à faire qu'à attendre la fermeture du musée, décrocher le tableau, enlever la vitre et le cacher sous sa blouse.
Selon une source, Francesco est mort lors de la peste de 1538. Lisa est tombée malade et est prise en charge par sa fille Ludovica au couvent de Sant'Orsola, où elle est morte quatre ans plus tard, à l'âge de 63 ans.
Les yeux de La Joconde sont orientés vers sa gauche, car la ligne de regard forme un angle de 15,4° à droite du spectateur. « Il n'y a aucun doute sur l'existence de l'effet Mona Lisa — cela ne se produit tout simplement pas avec Mona Lisa elle-même », concluent les auteurs.
Sa provenance est royale.
La popularité de La Joconde tient aussi de sa trajectoire dans les collections françaises. À l'origine, le tableau a suivi Léonard de Vinci, invité auprès du roi François Ier à Amboise, où le peintre passera ses dernières années.
Parmi les éléments de la composition, il faut aussi considérer le cadrage, l'unité, l'équilibre , le mouvement, le rythme, le point focal, les proportions, les lignes de force, et chacun joue un rôle important dans chaque peinture.
La Joconde : le tableau le plus connu au monde
Exposé au musée du Louvre de Paris en France, le célèbre tableau de la Joconde de Léonard de Vinci est l'œuvre d'art la plus célèbre sur la planète.
Il s'appelle Terence Tao. Son nom ne vous dit sans doute pas grand-chose et pourtant ce mathématicien australien de 42 ans est considéré comme l'homme le plus intelligent du monde, eu égard à un QI stratosphérique qui atteint les 230, du jamais vu dans l'histoire de l'humanité.