Symbole culturel originaire du Japon, les trois singes de la Sagesse s'appellent Mizaru, Kikazaru et Iwazaru. Ils symbolisent le dicton "Ne pas voir le Mal. Ne pas entendre le Mal. Ne pas dire le Mal".
Les singes de la sagesse (aussi appelés « les trois petits singes ») sont un symbole d'origine est-asiatique constitué de trois singes dont chacun se couvre un orifice différent de la face avec les mains : le premier les yeux, le deuxième les oreilles et le troisième la bouche.
Conçues en résine et peintes à la main, ces statuettes, d'une hauteur de 8cm, représentent la maxime confucéenne : « Ne vois pas le mal, n'entends pas le mal, ne parle plus du mal ».
Les singes de la sagesse sont un symbole d'origine asiatique constitué de 3 singes, chacun se couvrant une partie du visage soit, les yeux, la bouche et les oreilles, avec les mains.
Les 3 singes de la Sagesse dans l'histoire
Il a vu le jour dans la Chine ancienne au VIIème siècle, introduit par le moine Xuanzang, puis a trouvé sa représentation animale au Japon, avant de devenir populaire en Occident.
Souvent sans penser le moins du monde aux trois singes de la sagesse qu'ils représentent: Kikazaru (le sourd), Iwazaru (le muet) et Mizaru (l'aveugle).
En français, les différentes sortes de singes sont désignées par des noms plus ou moins précis comme babouin, chimpanzé, gibbon, gorille, macaque, orang-outan, ouistiti, etc. Contrairement aux oiseaux, il n'existe pas, en français, d'organisme reconnu qui propose des noms uniques pour les espèces de singe.
Hypothèse « arboricole »
Selon cette première théorie, la plus ancienne, l'origine des primates représenterait une radiation évolutive à partir de mammifères arboricoles ancestraux. L'impulsion de ce virage évolutif serait le changement entre un régime alimentaire insectivore et un régime principalement herbivore.
Les singes ont une stratégie de reproduction basée sur la qualité plutôt que la quantité. Les portées sont en général d'un à deux petits. La gestation dure plusieurs mois et le sevrage est tardif. La gestion des petits est différente d'une espèce à l'autre.
les cercopithécidés : famille des macaques, des babouins, du mandrill, du drill, du gélada, des mangabeys, des entèles, et, bien sûr, des cercopithèques. les hylobatidés : famille des gibbons et du siamang. les hominidés : famille de l'homme, du chimpanzé, du bonobo, du gorille et de l'orang-outan.
Le plus petit singe de la planète est le ouistiti pygmé, appelé aussi marmouset ou ouistiti mignon. Les scientifiques le nomme Calithrix pygmea.
Il existe deux super-familles de singes : les hominoïdes, ou "grands singes", et les cercopithécidés. Parmi les cercopithécidés, on trouve notamment les babouins, les mandrills, les macaques ou encore les rhinopithèques. Les grands singes se distinguent avant tout des "petits singes" par une absence de queue.
De tous les primates, seuls les humains et les bonobos s'accouplent couramment face à face et non en position dorso-ventrale. A quelques rares occasions cependant, ce fait avait été rapporté pour des gorilles de montagne, mais jamais photographié.
Le terme de “guenon” désigne la femelle du singe, quelle que soit son espèce. Les singes désignent des mammifères de l'ordre des primates dont la caractéristique commune est de posséder une main avec un pouce opposable aux autres doigts.
Singes. Les singes voient presque comme les humains – ils sont trichomates, ce qui veut dire qu'ils voient le rouge, le vert et le bleu. Il n'y a pas de variation importante entre les espèces.
Les premiers singes modernes apparaissent il y a environ 35 millions d'années. De là sont apparus les hominoïdes, ancêtres communs aux Hommes, aux chimpanzés et aux gorilles.
En réalité, humains et chimpanzés ont un ancêtre commun, un singe hominoïde vieux de 5 à 10 millions d'années. Des lignées divergentes, celle de l'Homme, et celle du chimpanzé ont ensuite évolué chacune de leur côté pour donner des résultats différents.
Les bonobos partagent 98,7% de son ADN avec l'être humain. En raison de sa forte ressemblance avec le chimpanzé, il n'a été reconnu comme espèce à part entière qu'en 1929. Il est généralement plus petit, plus svelte et plus sombre que le chimpanzé. A ce jour, nous ne savons que peu de choses sur ce fascinant hominidé.
C'est le plus grand singe connu ayant existé. Haut de plus de trois mètres, pesant plus de 250 kg, le "Gigantopithecus Blacki" a pourtant disparu il y a 250.000 ans, en raison du changement climatique, et de son incapacité à s'y adapter.
Les chimpanzés consomment principalement des végétaux avec une préférence pour les fruits et, en plus faible part, de la matière animale.
D'autres petits singes, comme les tamarins, profitent également de ces blessures pour consommer la gomme qui en coule. Le ouistiti pygmée est le plus petit singe connu (12 à 15 cm sans la queue pour 120 g environ).
20 millions d'années
C'est le début du Miocène (22 à 5,5 millions d'années), on commence à retrouver des fossiles de primates. On peut les séparer en deux lignées bien spécifiques : – les cercopithécoïdés qui forment un petit groupe (ancêtres des babouins et des macaques).
blacki dans une forêt du sud de la Chine. C'était le plus grand primate de la planète et son extinction est un mystère depuis des décennies. Gigantopithcus blacki, ou Gigantopithecus blacki, mesurait environ trois mètres et pesait quelque 250 kilogrammes.
Ils utilisent souvent des gestes comme se regarder et se toucher, se tenir la main ou hocher la tête. Ces actions se faisaient avant et après des rencontres telles que le toilettage ou le jeu. Les chercheurs britanniques assimilent ces gestes à des salutations. Le comportement est plus fréquent chez les bonobos.
Les bonobos (appelés également chimpanzés nains ou chimpanzés pygmées) sont les animaux les plus connus pour utiliser les relations sexuelles dans le but d'apaiser les tensions, de renforcer les alliances entre individus et de réduire l'agressivité entre les membres du groupe.