Alors qu'un Français dinera vers 19h ou 20h, les Américains passent à table un peu plus tôt, bien souvent entre 17h et 19h. Cela s'explique tout simplement par les horaires de travail.
Le nutritionniste E. V. McCollum affirmait ainsi dans les années 1920 que les peuples qui consommaient beaucoup de lait étaient ceux qui avaient la meilleure santé, mais aussi la plus grande puissance économique, et pouvaient compter sur leur supériorité culturelle et intellectuelle.
Les grands classiques
Jus de fruits, smoothies, fruits frais coupés, yaourts, céréales (corn flakes avec du lait froid, flocons d'avoine cuits avec du lait…), pâtisseries, saucisses et œufs, hash browns (pommes de terre mijotées)… Chacun choisit son petit-déjeuner en fonction de ses goûts et de son appétit.
Le breakfast, le repas le plus importants aux Etats Unis
Il est composé des fameux pancakes que l'on déguste souvent avec des myrtilles, de French toast, de céréales, de hash browns (pommes de terre grillées), sans oublier les oeufs et le bacon.
Les Américains le prennent copieux et riche, sucré ou salé suivant leurs envies. Un Américain moyen prend régulièrement au petit déjeuner des pommes de terre grillées, des céréales, du bacon, des œufs et des pancakes. On peut aussi retrouver des fruits comme des myrtilles ou des toasts français.
Au même moment, l'essor de broyeurs, qui permet la production de masse de farine blanche raffinée à moindre coût, installe le pain de mie dans les assiettes et la tête des Américains. « Ce pain moderne, blanc, mou incarnait un futur sain, produit avec une efficacité industrielle, poursuit Aaron Bobrow-Strain.
mais du pain non, il mangent plutot une sorte de pain brioché degueu... Du pain de mie. Il ne mange pas de pain non mais plutot de la brioche . C'est pareil au Canada.
Le goût des aliments n'est pas tout à fait le même : trop sucrés, pas bons… L'autre grande surprise est le rapport à l'espace de la cuisine : les Américains ont de très belles cuisines, mais ne cuisinent pas. Les enfants mangent quand ils en ont envie, et les familles prennent rarement leurs repas à table ensemble.
Pays de la liberté, les États-Unis cultivent un style de vie, « l'American way of life », qui privilégie l'épanouissement et le bonheur de chacun. La prise d'initiative, le fameux « do it yourself », y est encore très présente dans la façon de penser et de vivre. Le contact humain y semble facile et souvent amical.
La cuisine américaine
- Le hamburger (ou burger) : une institution aux États-Unis, et pour cause, c'est le plat national !
Les épinard. C'est tout bête mais je n'ai jamais vu autant de gens manger de pousses d'épinards (sauted spinach) que les américains !
De la cuisine française…
Dans le même style, les Américains aiment consommer du brie (en apéro, donc), mais il sera généralement servi sur des crackers et parfois avec de la confiture ! On peut également parler des croissants français qui sont souvent dégustés comme des sandwichs agrémentés de jambon et de fromage.
L'Américain est serviable, sympathique et aime faire plaisir. C'est un tradition américaine, tout simplement. Être sympathique fait partie de la mentalité comme vouloir aider l'autre. C'est une des institutions culturelles en Amérique !
La productivité. Les Américains sont les rois de la productivité. Et avec ces ouvertures, les toilettes sont plus faciles à nettoyer. Le coup de serpillère est bien plus rapide.
Le fait qu'une nouvelle population s'installe sur le territoire impliquait donc de construire de nouvelles maisons. Et puisque le pays possède de nombreuses forêts et qu'il fallait agir rapidement, le bois a été le matériau le plus rapide et le plus simple à manipuler.
Le saucisson est mondialement connu pour être un nid à bactéries. On comprend donc complètement son interdiction. Il peut d'ailleurs servir de gourdin, et pire encore, de drogue. On dit donc non au saucisson.
Domi Vélez de Lebrija, meilleur boulanger au monde
L'Union internationale de la boulangerie et de la confiserie l'a récompensé pour la qualité de son produit, qui allie tradition et innovation. Domi Vélez a battu les trois autres finalistes, originaires de Taiwan, de Chine et d'Islande.
C'est en effet l'équipe chinoise qui s'est classée en première position de l'événement, devançant les Japonais. En troisième position, le Danemark réussit à sauver l'honneur européen. La Coupe du monde de la boulangerie a vu le jour en 1992, à l'initiative de Christian Vabret, Meilleur Ouvrier de France.
1. Les Turques : 120 kg/personne et par an.
Les mange-tard
Les Argentins sont les derniers à passer à table, après 22h. Leurs voisins brésiliens, mexicains et uruguayens dînent à 22h précises. Dans l'hémisphère nord, les Espagnols sont connus pour compléter leur soirée tapas avec un dîner à 21h passé, tout comme les Egyptiens d'ailleurs.
La colonisation de l'Amérique du Nord par les Européens commença dès la fin du XVIe siècle. Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, elle était menée essentiellement par trois pays, l'Espagne, la France et l'Angleterre, mais également, dans une moindre mesure, par la Hollande et la Suède.
Le territoire américain fut ensuite colonisé à partir du XVII e siècle par différentes puissances européennes (Espagne, Royaume-Uni, France (Nouvelle-France). Désireux de s'affranchir de la métropole britannique et de gouverner par eux-mêmes, les colons des Treize colonies proclamèrent leur indépendance en 1776.