Une vieille croyance veut que les Autochtones soient moins tolérants à l'alcool comparativement aux «Blancs». Or, de manière générale, la sensibilité ou la dépendance ont une forte composante génétique.
Tout d'abord, il est généralement préférable d'éviter d'utiliser les termes « Indien » et « Amérindien ». C'était ainsi que Christophe Colomb appelait les peuples autochtones lorsqu'il est arrivé en Amérique en 1492, croyant à tort qu'il avait touché terre en Inde.
La Cour suprême du Canada a déclaré que cette exemption visait à protéger les terres et les biens situés dans les réserves. La Cour a conclu que l'exemption avait pour but de s'assurer que l'impôt et les taxes ne compromettent pas l'usage que les Indiens font de leurs biens situés dans des réserves.
Le gène ADH1B, par exemple, est impliqué dans la fabrication d'une enzyme dans le foie chargée de métaboliser l'alcool. Et le gène DRD2, lié aux récepteurs à la dopamine (un neurotransmetteur du cerveau), influe sur la vulnérabilité à la dépendance.
En ce qui concerne le trouble lié à l'usage de l'alcool (ou TLUA, autrefois appelé alcoolisme), les plus récentes données démontrent que la génétique explique environ 50 % du risque de développer ce trouble, alors que les comportements acquis, surtout issus de l'environnement familial et social, expliquent l'autre 50 % ...
Une déficience génétique
Il s'agit en fait d'une mutation génétique qui touche jusqu'à 1/3 de certaines populations asiatiques, chez qui le gène permettant de métaboliser l'alcool est déficient. « Au départ, on a tous un gène qui permet de se débarrasser de l'alcool, qu'on appelle déshydrogénase (ADH).
« L'alcoolisme est une maladie que l'on peut soigner. Le chemin pour le patient est long et difficile, avec des rechutes et des moments de découragement, mais il peut s'en sortir », explique le Dr Bernard Basset de l'Association nationale de prévention en alcoolisme et addictologie (Anpaa).
Quel comportement l'alcool engendre-t-il ? La personne alcoolique, même dans les moments où elle est sobre, montre peu de dynamisme, pas d'envie de sortir, de se promener, de prévoir des vacances… voire un désintérêt total pour la vie quotidienne.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
La pauvreté, l'isolation sociale, une éducation déficiente et la timidité peuvent aussi constituer des facteurs de risque. En outre, la façon dont le corps d'une personne traite l'alcool peut avoir des répercussions sur le risque de dépendance à l'alcool.
(A) Si votre ancêtre amérindien est en lignée directe des mères, à savoir en matrilignage (lignage aussi désigné par descendance utérine), un test portant sur votre ADN mitochondrial (ADN-mt) est tout indiqué et sera en mesure de vérifier que votre matriarche était bien une amérindienne.
Les Inuits et les Métis ne sont pas régis par cette loi. Dans ses versions antérieures, la Loi sur les Indiens visait clairement à assimiler les Amérindiens. Ainsi, un diplômé universitaire perdait automatiquement son statut d'Indien, de même qu'une femme indienne qui épousait un non-Indien.
Le terme « Autochtones » désigne les premiers peuples d'Amérique du Nord et leurs descendants. La Constitution canadienne reconnaît 3 groupes de peuples autochtones : les Indiens (plus souvent appelés les « Premières Nations »), les Inuit et les Métis.
Il n'y a pas de différence entre Autochtone et « Amérindien ». Par contre, il est préférable d'utiliser le terme « Autochtone » pour parler d'une personne…. autochtone! Dans le passé, et malheureusement encore aujourd'hui, les Autochtones vivent encore beaucoup de discrimination et de racisme au Québec.
On retiendra donc que l'autochtone vit dans le pays depuis l'origine de son peuplement (en tant que premier occupant du territoire), alors que l'indigène est simplement né sur place, c'est une personne qui habite dans le pays où elle est née.
Malgré certains aspects négatifs, les réserves ont des aspects positifs en ce qu'elles conservent l'unité de la communauté. Ensuite, les réserves ont renforcé l'identité distincte des Premières Nations, leur culture, leur langue, leurs traditions spirituelles et la pratique des activités ancestrales.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Il se pourrait que l'alcool cause chez vous une hypoglycémie, c'est à dire une baisse du taux de sucre dans le sang. Les symptômes sont les sueurs, les tremblements, des palpitations, de la faim, etc. Pour éviter cela, modérez votre consommation d'alcool et ne buvez surtout pas en étant à jeun (estomac vide).
Plus de la moitié des participants à l'enquête associent la consommation de liqueurs fortes comme le gin, la vodka et le whisky à un sentiment d'énergie et de confiance, et 42% déclarent se sentir sexy après en avoir bu. Mais ce type d'alcool est également associé à des sentiments agressifs et négatifs.
Les personnes qui ont bu de l'alcool avant d'aller se coucher ronflent plus fréquemment. En effet, la consommation d'alcool provoque un relâchement de la musculature des voies respiratoires.
Un verre d'alcool fort, comme la vodka, le gin ou le rhum, permettait de gagner en énergie et aiderait à se sentir "plus sexy" et désirable… Mais ce type d'alcool augmenterait les risques d'agressivité chez celui qui en consomme.
L'asaret est généralement utilisé comme émétique (qui provoque des vomissements). Grâce à son odeur nauséabonde d'éthanol, il donne une sensation de dégout de l'alcool. L'asaret provoque non seulement des nausées en contact avec l'alcool, mais comme les autres remèdes de grand-mère.
Grâce à Al‑Anon, j'ai appris que l'alcoolisme est une maladie et que je peux aimer la personne, tout en détestant la maladie. J'ai également appris que j'avais moi aussi été affectée par la maladie et que j'avais le droit d'éprouver de la colère à cause de cela.
Depuis février 2013, le nalméfène (Selincro®) dispose d'une autorisation européenne de mise sur le marché pour le traitement de la dépendance à l'alcool. Il est remboursé par la Sécurité sociale depuis septembre 2014. Ce médicament agit sur le système de récompense en diminuant l'envie irrépressible de boire.