Si votre bébé lutte pour s'endormir, cela peut-être dû à une ou plusieurs causes, notamment : Un de ses besoins physiologiques n'est pas satisfait. Il a peut-être faim ou a besoin d'affection.
La cortisol est aussi l'hormone du stress. Donc moins bébé dort, plus il va être stressé… La cortisol déclenche la production d'adrénaline et de noradrénaline. Et elle va empêcher la production de mélatonine, l'hormone du sommeil.
Fièvre, maux de ventre, poussée de dents : si bébé est malade ou ne se sent pas bien, il aura logiquement besoin d'être rassuré et de rester près de vous pour s'endormir. Essayez autant que possible de le soulager et offrez-lui le maximum de confort pour qu'il puisse s'endormir malgré ses douleurs.
En grandissant, le cycle de sommeil évolue. Vers l'âge de 9 mois, la structure du sommeil commence un peu plus à ressembler à celle de l'adulte. Il est donc nécessaire que le bébé dépense de l'énergie en journée et fasse sa sieste pour ne pas retarder l'endormissement et favoriser les pleurs à cause de la fatigue.
Très souvent, les difficultés d'endormissement sont liées à un coucher trop tôt ou trop tardif. Il est important de trouver le bon moment pour coucher votre bébé afin de lui donner toutes les chances de s'endormir le plus paisiblement possible. Un bébé couché trop tôt n'arrivera pas à s'endormir et c'est bien normal !
Faire des câlins
Vous pouvez aussi, pourquoi pas, mettre une musique douce qui va l'aider à s'endormir et l'habituer à avoir un peu de bruit autour de lui. La musique (classique de préférence !) va entraîner votre bébé à rêver, comme les boîtes à musique qui peuvent être un bon moyen pour y parvenir.
Quand bébé pleure pour être dans les bras, c'est qu'il réagit simplement sous l'impulsion d'un besoin primaire; besoin de sécurité.
Lorsque bébé se réveille après 30 minutes de sieste, c'est qu'il est peut être soit trop fatigué lorsqu'il est couché, ou au contraire que la pression sommeil n'est pas tout à fait assez importante. Le noir complet va aider votre bébé à enchainer ses cycles, ses phases de sommeil lors de sa sieste.
Il peut arriver que votre bébé pleure de fatigue mais ne veuille pas dormir pendant la journée, ou qu'il continue à pleurer une fois dans son lit. Plus il grandit, plus son rythme de sommeil évolue : il peut donc rencontrer plus de difficultés pour s'endormir, ou dormir moins que la normale.
Un changement temporaire et passager
Le terme "régression du sommeil" est utilisé pour décrire les périodes pendant lesquelles votre bébé, qui dormait normalement toute la nuit, commence soudainement à se réveiller fréquemment la nuit, et peut même avoir des problèmes de sieste.
Contrairement aux idées reçues, un enfant ne risque pas de « s'habituer aux bras », c'est à dire de réclamer davantage les bras de l'adulte si celui-ci le prend plus souvent dans les bras.
Si votre enfant semble inconsolable en soirée, au moment du coucher, il est bien possible qu'il s'agisse de pleurs de décharge. Ceux-ci portent bien leur nom ! Pour schématiser, deux hormones régulent nos cycles éveil/sommeil : le cortisol, hormone de l'éveil et du stress, et la mélatonine, hormone du sommeil.
Si les parents ne sont pas prêts, le bébé le sent. Si cela vous convient d'être impliqué dans l'endormissement de votre enfant, il n'y a pas de problème. Il n'y a pas d'âge magique. Cependant, cela devient généralement plus simple vers 7-10 mois, une fois la première angoisse de la séparation terminée.
Donc il n'y a pas d'autre solution que de lui apprendre à s'endormir aux siestes et le soir seule sans le sein, par exemple le soir dans les bras du papa et la journée dans vos bras. Ainsi peu à peu, elle se rendormira seule lors des réveils nocturnes et peu à peu ne se réveillera même pas.
Mettre en place des rituels est important pour parents et enfants, cela rassure : raconter une histoire, faire un câlin en la prenant tout contre vous, lui donner son doudou. Et bien sûr lui expliquer que vous ne lui donnez plus le sein pour l'endormir.
Les scientifiques ont aussi la réponse : rester assis pendant 5 à 8 minutes. En résumé, 5 min de portage en marchant et ensuite 5 à 8 minutes assis avant de le reposer dans son lit endormi.
Un bébé hypertonique est un bébé aux besoins intenses (BABI) d'attentions de la part des parents.
Les premiers pics de croissance apparaissent en général entre le 7ème et le 10e jour de la vie de bébé. Puis, ils interviennent à 3 semaines et à la 6e semaine. Normalement les prochains pics de croissance se situent au 3 mois, 6 mois et 12 mois.
Certains enfants crient et ont des crises de colère, refusent de quitter le giron de leurs parents et/ou se réveillent la nuit. La peur de la séparation est une étape normale du développement et débute typiquement vers 8 mois, elle atteint une intensité maximale entre 10 et 18 mois et disparaît généralement à 24 mois.
Il bouge beaucoup, a des mouvements des yeux nombreux, son visage est expressif (il peut sourire ou grimacer), pousse de petits cris et parfois pleure.
Ce qui change dans cette tranche d'âge est la durée du cycle de sommeil : elle commence à s'allonger à 2 ans et atteint 90 à 120 minutes à l'âge de 3-4 ans. On observe aussi une augmentation du sommeil lent profond qui atteint 36% du temps de sommeil total à 3 ans.
Le manque de sommeil ne se manifeste pas de la même manière chez l'enfant d'âge préscolaire et chez l'adulte. Alors que l'adulte montre de l'apathie et des bâillements, le jeune enfant présentera plutôt de l'hyperactivité, de l'irritabilité et un seuil de tolérance abaissé.
Il arrive qu'entre 6 et 12 mois, certains bébés recommencent à se réveiller la nuit. C'est la période normale d'angoisse de séparation. Vous aurez peut-être aussi observé que le jour, il réagit plus fortement lorsque vous le quittez, lorsque vous changez de pièce ou lorsque vous le mettez au lit.
Certains parents ont constaté une régression du sommeil de l'âge de 4 mois jusqu'à 6 ou 7 mois, ce qui correspond à une période où le nouveau-né devient plus actif. Par exemple, le fait d'avoir appris à marcher à quatre pattes peut donner à votre bébé envie d'aller explorer le monde plutôt que d'aller au lit.