« La formation en V permet en effet de profiter de l'aérodynamisme, d'éviter la résistance au vent : les oiseaux se placent dans le sillage de celui qui les précède pour ne pas être gênés par les courants et tourbillons d'air.
Tous les oiseaux ne volent pas en V
En préambule, il faut savoir que les oiseaux qui volent en V sont uniquement les espèces migratrices parmi lesquelles on peut citer les oies, les canards, les grues, les cygnes, les cormorans ou encore les pélicans.
Le record de hauteur de vol détenu par un oiseau – un vautour de Rüppel sans doute – est de 11 300 mètres ! On le sait car il a détruit le moteur d'un avion en Afrique de l'Ouest lors d'une collision !
forme des groupes de vol direct en forme de V ou de ligne. a de grandes ailes, avec une envergure de 2,40 m. a les pattes et le bec gris. a la tête grise et blanche.
Ce qui permet de les localiser rapidement dans le ciel. Un long vol en V ou en Y. Pas de doute, ce sont des grues. Les cyclistes vous le diront, ces bêtes là ont tout compris de l'aérodynamisme en se positionnant ainsi, sans avoir besoin de test en soufflerie.
Certains oiseaux sont des professionnels de l'aérodynamisme. En se déplaçant en V ou en flèche, chaque oiseau du groupe, sauf le premier, profite de l'aspiration générée par le vol de l'oiseau placé devant lui. En effet, le vol provoque au bout des ailes des tourbillons d'air qui génèrent des courants ascendants.
« La formation en V permet en effet de profiter de l'aérodynamisme, d'éviter la résistance au vent : les oiseaux se placent dans le sillage de celui qui les précède pour ne pas être gênés par les courants et tourbillons d'air.
Quant à sa chair, vous la moulinez pour obtenir une viande hachée, que vous transformerez en terrine. Mais la façon que je préfère c'est la cuisson à la broche. Vous invitez quelques amis, vous servez quelques amer-bières accompagnés de bretzels.
Enfin, les cygnes ont les pieds palmés et, quand ils sont adultes, ils ont une marque caractéristique (une partie de peau déplumée) entre les yeux et sur le bec. Malgré sa taille imposante, le cygne a la capacité de voler, jusqu'à une vitesse de 65 km/heure. En vol, son envergure est impressionnante.
La longévité maximale observée est d'environ 39 ans [bg59]. Le régime alimentaire de la Cigogne blanche est strictement animal. Il se compose d'une grande variété de proies. Parmi les invertébrés, les insectes sont très recherchés, en particulier les coléoptères et les orthoptères.
Le martinet noir est très différent des hirondelles. D'ailleurs, génétiquement, il s'approche plus des colibris que de ces dernières. Cet oiseau ne se pose pratiquement jamais et passe sa vie en vol.
Avec son corps fuselé et sa large poitrine, le faucon pèlerin bat tous les records de vitesse… lorsqu'il est motivé. En moyenne, il plane à 90 km/h, ce qui n'est pas très spectaculaire, mais, quand il effectue des descentes en piqué pour attraper des proies en vol, il est capable de doubler voire quadrupler sa vitesse.
Doté de la meilleure vue du règne animal, un aigle peut distinguer un objet de 10 cm depuis 1 km de hauteur. À pareille distance, les yeux humains ne perçoivent que des objets de 26 cm. Cet oiseau voit donc 2,5 fois mieux que nous !
#1 L'hirondelle rustique.
Pour s'économiser durant le trajet, elles adoptent une formation en V. En économisant leur énergie, elles peuvent parcourir de plus longues distances. Les oiseaux adoptant cette formation de vol peuvent en réalité économiser 70 % de leur énergie sur leur parcours de migration.
Selon des spécialistes britanniques du comportement animal, non seulement l'oiseau n'est pas attiré par ce qui brille, mais il s'en méfie. Ce malheureux oiseau souffrait d'une mauvaise réputation. Des légendes rurales l'accusaient de voler des clés, des bijoux, ou des bibelots dorés...
Les petits du cygne sont appelés cygneaux, mais aussi parfois cygnets ou cygnons.
Il compte de nombreux prédateurs tels que les renards et les corneilles, mais les poussins peuvent également être la proie des tortues serpentines et des brochets. Le nid du cygne tuberculé est construit par les deux parents.
Les canards, les oies et les cygnes dorment en flottant sur l'eau. Lorsque les eaux sont gelées, ils passent la nuit sur la glace ou le long des berges. Les hérons se tiennent debout dans l'eau, la plupart du temps sur une patte.
Lorsqu'elle tourne en volant, elle fait des cercles les plus petits possibles, afin de tirer le meilleur parti des colonnes d'air ascendant. Quand elle passe en vol plané, la troupe s'étale dans l'espace et avance sur un large front.
La cigogne n'émet pas de cris ni de chants car elle est dépourvue d'un muscle autour de l'organe qui lui permet d'émettre des sons. Les bruits qu'elle émet sont des claquements de bec qui lui permettent de communiquer avec ses congénères. On dit alors que la cigogne craquète.
Dormir, c'est économiser de l'énergie
En rétractant alternativement les pattes, il y en a toujours au moins une qui est maintenue à la bonne température. Mais dormir sur une jambe permet également d'économiser de l'énergie d'une tout autre manière.
De nombreux oiseaux lancent de simples « cris en vol ». Ceux-ci permettent sans doute d'informer les autres oiseaux de l'endroit où ils se trouvent pour éviter les collisions.
Les grues cendrées, comme les cigognes, ont l'habitude d'utiliser les ascendances thermiques pour s'élever en planant et migrer en se déplaçant d'un thermique à l'autre en évitant le vol battu. Ainsi, elles planent et économisent leur énergie.
« Elles remontent vers le nord-est de l'Europe. Leur migration de printemps a été favorisée par un vent de sud », observe Aurélien Deschatres, chargé de mission à la Ligue pour la protection des oiseaux Champagne-Ardenne (LPO).