Les CFC sont responsables de la dégradation de l'ozone qui protège la Terre à haute altitude (stratosphère) et absorbent les rayonnements ultraviolets de haute énergie, contribuant ainsi activement à l'augmentation de l'Effet de serre.
Les CFC sont à la fois des gaz à effet de serre très puissants (ils interceptent efficacement les infrarouges émis par la surface de la terre, et ont une durée de vie dans l'atmosphère de plusieurs siècles), et surtout des précurseurs de la destruction de l'ozone stratosphérique.
Les CFC sont les SACO les plus connues et les plus abondantes. Un seul atome de chlore issu d'un CFC peut détruire au moins 100 000 molécules d'ozone. La destruction de l'ozone ne s'arrête que lorsque l'atome de chlore réagit avec une autre molécule pour formé une substance stable et ayant une longue durée de vie.
Sous l'action des rayons ultraviolets du soleil, les molécules de CFC-11 se brisent et libèrent leur atome de chlore. Un seul atome de chlore peut détruire plus de 100 000 molécules d'ozone avant de composer une molécule plus stable et de disparaître de la stratosphère*.
Dérivé chloré et fluoré d'hydrocarbure, utilisé notamment dans les bombes aérosols, les isolants, les réfrigérateurs, et qui a la propriété de dissocier les molécules d'ozone. (On emploie plus fréquemment l'abréviation C.F.C.) [Synonyme : chlorofluorocarbone.]
Les CFC sont responsables de la dégradation de l'ozone qui protège la Terre à haute altitude (stratosphère) et absorbent les rayonnements ultraviolets de haute énergie, contribuant ainsi activement à l'augmentation de l'Effet de serre.
Les chlorofluorocarbones (CFC) sont des produits chimiques organiques et synthétiques (c. -à-d. d'origine anthropique) composés de carbone, de chlore et de fluor. Ce sont des dérivés des hydrocarbures dont les atomes d'hydrogène sont tous remplacés par des atomes de chlore et de fluor.
Toute vie sur Terre est protégée par la couche d'ozone. Celle-ci agit comme un filtre invisible qui protège toutes les formes de vie contre une surexposition aux rayons UV nocifs du Soleil. La plus grande partie du rayonnement UV est absorbée par l'ozone et ne peut ainsi atteindre la surface de la Terre.
Dispersion des CFC dans la stratosphère
Les gaz tels que les CFC, insolubles dans l'eau et relativement peu actifs dans la basse atmosphère (en dessous de 10 km d'altitude) sont rapidement mélangés et atteignent ainsi la stratosphère, indépendamment de leur masse.
Conséquences de la dégradation de la couche d'ozone
La dégradation de la couche d'ozone engendre une augmentation des rayons ultraviolets qui vont atteindre la Terre, ces rayons sont nocifs pour tous les êtres vivants sur Terre.
En plus d'être un polluant, l'ozone a des propriétés radiatives qui lui confèrent un rôle de gaz à effet de serre en troposphère. D'après le Giec, l'ozone troposphérique aurait un forçage radiatif de 0,35 W/m2 en moyenne (compris dans un intervalle de 0,25 à 0,65 W/m2).
L'effet de serre est originellement un phénomène naturel qui vise à résorber le rayonnement infrarouge émis par la surface de la Terre et maintenu sous forme de chaleur dans la partie inférieure de l'atmosphère.
Les chlorofluorocarbures sont synthétisés à partir d'alcanes, par substitution des atomes d'hydrogène par des atomes de chlore et de fluor.
À haute altitude, la couche d'ozone est utile : elle absorbe la plus grande partie du rayonnement solaire ultraviolet dangereux pour les organismes. Elle a donc un rôle protecteur pour les êtres vivants et les écosystèmes.
C'est la combustion du gaz, du charbon, du pétrole qui entraîne l'augmentation de la température. Ces gaz, comme le CO2 issu des fumées des voitures, captent l'énergie du Soleil. Cette énergie se transforme en chaleur qui réchauffe l'atmosphère, puis l'atmosphère réchauffe les océans.
Question 1 : pourquoi un CFC
Il permet d'entrer directement dans la vie active ou de poursuivre vers une maturité ou vers tout autre cursus à finalité professionnelle. Il constitue un socle de connaissances utiles et utilisables quelles que soient les orientations futures des diplômés.
Vous pouvez donc débuter un apprentissage à 24 ans ou plus tard. Il y a plusieurs filières différentes pour obtenir un certificat fédéral de capacité (CFC).
La raison est simple : les CFC sont de puissants gaz à effet de serre. Ainsi, le protocole de Montréal aura permis de retirer de l'atmosphère cinq milliards de tonnes de gaz à effet de serre (en équivalents de CO2), soit cinq fois plus que ce qui était prévu dans la première phase du protocole de Kyoto.
L'air contient un gaz indispensable à la vie : le dioxygène (O2). Les êtres humains, les animaux et les végétaux l'absorbent et rejettent du dioxyde de carbone. Un humain consomme en moyenne, chaque jour, environ 15 000 l d'air et 1,5 l d'eau.
Une brève exposition peut causer, entre autres, une irritation des yeux, des voies nasales et de la gorge, une toux et des maux de tête. Une exposition à une forte concentration peut causer une diminution des fonctions pulmonaires. L'ozone est fortement relié à l'asthme et peut en aggraver les symptômes.
Les causes des trous dans la couche d'Ozone
Les produits chimiques conduits par le vent ont une influence considérable sur la structure de la couche. L'émission de gaz à effet de sert par l'Homme est un des facteurs qui détruisent l'équilibre stratosphérique.
Le Protocole de Montréal, signé à Montréal par 24 pays, dont le Canada, est considéré comme étant l'un des accords multilatéraux les plus fructueux. Il a permis d'éliminer la grande majorité des SACO et, par conséquent, la couche d'ozone est en voie de rétablissement.
Les hydrochlorofluorocarbones ou HCFC sont des gaz fluorés c'est à dire contenant du fluor. Les HCFC sont des gaz frigorigènes très utilisés dans les machines frigorifiques, climatiseurs ou pompes à chaleur. Les "HCFC" sont nocifs pour la couche d'ozone et leur émission dans l'atmosphère a un effet destructif.