Le baclofène se présente sous forme de comprimés à avaler. Il est prescrit en traitement prolongé jusqu'à obtenir un contrôle de sa consommation d'alcool, pouvant aller jusqu'à l'abstinence. Il réduit également les risques de rechute chez les personnes abstinentes.
Avec ses feuilles rondes et vertes, l'oseille aigre ressemble fortement à l'épinard, mais possède un goût extrêmement amer. Son goût particulier la rendrait efficace pour dégoûter de l'alcool et en finir avec l'alcoolisme. Comme le gingembre, cette plante favorise la détoxification de l'organisme.
décider de boire de l'alcool uniquement le week-end ou certains jours ; tenir un agenda de sa consommation d'alcool ; certains médicaments dits “anti-craving” aident à boire de façon plus modérée ; l'hypnose peut représenter une aide pour sortir de son addiction à l'alcool.
Tenter de quitter l'alcool pour céder à la pression mise par sa conjointe, ses enfants ou ses collègues est voué à l'échec. La guérison démarre le jour où l'on se dit “cette fois, c'est terminé, ce verre c'était le dernier –à vie”. On appelle cela “le déclic”.
Pour aider cette personne, proposer lui d'autres manières de prendre soin d'elle. Il peut s'agir d'un moment de détente (massage, yoga), de plaisir gustatif (un plat qu'il/elle affectionne), d'une balade dans la nature : tout ce qui peut lui faire du bien sans avoir recours à l'alcool.
Les dimensions de personnalité les plus souvent associées à l'alcoolodépendance sont la recherche de sensations, la personnalité antisociale et la recherche de nouveautés. La recherche de sensations apparaît comme un déterminant particulièrement important.
Heureusement, il y a de bonnes nouvelles. Chez les personnes souffrant de stéatose hépatique, après seulement deux à trois semaines d'arrêt de consommation d'alcool, le foie peut guérir et semble fonctionner aussi bien que s'il était tout neuf.
Ces symptômes en eux-mêmes ne sont pas dangereux et disparaissent généralement après 7 à 10 jours d'abstinence. Après 24 heures, les symptômes de sevrage sont à leur paroxysme, après trois jours le pire est passé. Cependant, les sentiments de tristesse et l'insomnie peuvent durer plusieurs semaines.
« L'alcoolisme est une maladie que l'on peut soigner. Le chemin pour le patient est long et difficile, avec des rechutes et des moments de découragement, mais il peut s'en sortir », explique le Dr Bernard Basset de l'Association nationale de prévention en alcoolisme et addictologie (Anpaa).
La carence en vitamine B6 peut également favoriser les convulsions en période de sevrage. La prise des vitamines B1 B6 permet de combler ces carences, de prévenir le risque de convulsions et de soutenir le fonctionnement du foie.
Les symptômes physiques
D'un point de vue physique, un sevrage de l'alcool peut entraîner des sueurs, des tremblements, de la transpiration, des nausées/vomissements, une grosse fatigue, de possibles vertiges, des maux de tête, de la tachycardie…
1- Kudzu : plante très intéressante, car puissant modérateur des sensations de manque. Le Kudzu a fait l'objet de nombreuses études pour ses effets intéressants en cas d'addiction à l'alcool ou au tabac. En cure régulière, la racine de Kudzu favorise la désaccoutumance aux drogues. On peut l'associer à l'aubépine.
Dans les motifs de « coping », l'individu boit pour faire face à une situation perçue comme stressante, afin de gérer des émotions internes négatives, comme la peur, le sentiment d'anxiété ou de tristesse.
Si lorsque vous commencez à boire vous n'arrivez pas à vous arrêter sachez que vous n'êtes pas seul(e) ! Il s'agit d'une forme particulière d'addiction où l'alcool n'est pas un besoin quotidien mais où il est associé à un besoin de lâcher prise. Cela est dû en partie aux effets de l'alcool lui-même : Relaxation.
Un arrêt des consommations après des années d'usage excessif engendre assez inévitablement un certain nombre de désordres physiologiques, parfois psychiques. Une fois le syndrome de sevrage passé (7 à 10 jours en moyenne), il est possible en effet que certains symptômes persistent, la fatigue en premier lieu.
Après 24 heures, les symptômes du sevrage atteignent un pic et, après trois jours, le pire est passé. Cependant, les idées noires et l'insomnie peuvent persister pendant plusieurs semaines. Dans certains cas se produisent également des crises d'épilepsie ou apparaît un delirium tremens.
l'arrêt de l'alcool vous aide à dormir beaucoup mieux, à ressentir moins de fatigue, et à récupérer votre énergie ; vous améliorez également votre capacité de concentration, vous êtes plus attentif ; les bienfaits de l'arrêt de l'alcool se voient même sur le visage !
Le citron stimule la production de bile et régénère les fonctions purificatrices du foie. Pour profiter au maximum de ses bienfaits pour le foie, on peut faire une cure de jus de citron de 10 à 15 jours, en le consommant chaque matin au réveil, avec un peu d'eau tiède (ou à température ambiante).
Après un excès, le foie fonctionne à plein régime et va donc puiser dans nos réserves d'eau afin d'effectuer son travail d'élimination. Il est donc important de bien boire, à savoir entre 1,5L et 2L d'eau par jour, pour que le foie puisse faire son travail correctement et éliminer les déchets.
La consommation excessive d'alcool provoque une atrophie du cervelet ; celui-ci n'est donc pas capable de remplir sa fonction correctement. Les troubles sont généralement limités aux jambes. La personne a une démarche irrégulière et saccadée, elle écarte les jambes, et a des difficulté à marcher en ligne droite.
Marqueur d'abstinence :Phosphatidylethanol ( PEth) dans le sang. La concentration de phosphatidylethanol dans le sang est un marqueur direct et spécifique d'une consommation d'alcool. Le PEth est un marqueur d'abstinence.
Il a été dit que l'alcoolisme ne peut être considéré comme une maladie mentale. Il n'en demeure pas moins qu'il existe une clinique de l'alcoolisme, avec ses classifications, ses typologies multidimensionnelles, très comparables à celles des pathologies mentales caractérisées…