Lorsque commence, en 1946, la guerre d'Indochine, le déséquilibre des forces est flagrant. Le corps expéditionnaire français est important, doté de matériel moderne, face à des nationalistes sans grands moyens. Pourtant, la guerre révolutionnaire menée par le général Giap a conduit la France à la défaite.
La cause la plus fondamentale était l'infériorité démographique. En 1938, après l'annexion du pays des Sudètes, le Reich comptait 79 millions d'habitants, presque deux fois plus que la France (41,5) ! L'infériorité numérique s'était aggravée depuis 1914 (68 millions contre 39,6).
La fin des hostilités entre le FLN et la France fut la conséquence des accords d'Evian signés le 18 mars 1962 par les représentants du gouvernement français et ceux du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA).
Mai-juin 1940 : La France défaite.
Le 26 août 1944, acclamé par les Parisiens, le général de Gaulle descend les Champs-Élysées avec, derrière lui, ses fidèles de la première heure. Des combattants appartenant à la Résistance française luttent dans les rues de Paris, en 1944, pour libérer la ville après quatre années d'occupation allemande.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
Une explication plus simple est que la conquête de la Suisse n'aurait guère apporté d'avantages stratégiques, alors qu'une longue et coûteuse guerre des montagnes aurait pu s'ensuivre. Bien que la Wehrmacht ait simulé des manœuvres contre la Suisse dans ses offensives, elle n'a jamais tenté d'envahir.
En guerre depuis deux jours déjà contre la Russie, elle veut prévenir une attaque conjointe de la Russie et de la France contre son territoire et met en oeuvre sans attendre le plan ébauché vingt ans plus tôt par un officier d'état-major (le plan Schlieffen).
Le Président du Conseil français Édouard Daladier et son ministre des affaires étrangères Georges Bonnet demandent au président de la République Albert Lebrun de déclarer à son tour la guerre au nom des engagements internationaux de la France (et sans consulter le Parlement).
Quelques jours après la signature de la paix, le 28 juin, la cérémonie est à la fois un hommage aux 1 400 000 hommes tombés en quatre ans et une célébration de la victoire, celle de la France. L'armée française a joué un rôle capital dans la victoire sur l'Allemagne durant la Première Guerre mondiale.
En français, le pays est désigné, avant 1830, par les expressions les plus diverses : « Barbarie », « El Djezair », « Numidie », « Africa », « Ifrikyia », « Royaume d'Alger », etc..
A partir de 1959, si sa politique connaît encore des zigzags - il lâche en mars 1960 devant les militaires en Algérie que l'indépendance, "c'est une fumisterie" - le général de Gaulle chemine vers l'acceptation d'une Algérie algérienne. En essayant de préserver au mieux les intérêts français, notamment au Sahara.
C'est en effet une colonie de peuplement avec près d'un million de Français, surnommés les « pieds-noirs », sur un total de dix millions d'habitants. Malgré sa supériorité militaire, la métropole perd l'Algérie qui obtient son indépendance en 1962.
L'Allemagne a déposé les armes deux fois en raison des idéologies belligérantes, des conflits entre l'Union soviétique et ses alliés, ainsi que de l'héritage de la Première Guerre mondiale. Nous sommes en 1945. La victoire des Alliés semble de plus en plus évidente.
Le 5 juin 1940, l'armée allemande lance l'invasion de la France (Fall Rot), que les restes de l'armée française ont du mal à empêcher. Le 10 juin, le front est percé sur la Somme. Les Allemands prennent Paris le 14 juin, puis Orléans le 16 juin.
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Chute de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis.
En chiffres absolus, c'est l'Union soviétique qui a subi les pertes humaines les plus élevées, aussi bien en ce qui concerne les civils que les militaires : environ 21 millions de morts, c'est-à-dire 70 fois plus qu'aux Etats-Unis.
Les guerres traditionnelles ont généralement pour effet d'affermir le pouvoir de l'État, temporairement ou de manière durable. Elles ont même contribué à la naissance de ce dernier. Dès le début des conflits armés, le pouvoir de décider et de mener la guerre a permis l'affermissement du pouvoir des dirigeants.
De nombreuses privations et actions violentes ont rythmé la vie de la France durant la seconde guerre mondiale (1939-1945). Rationnement, déportation de travailleurs, exactions allemandes et bombardements ont profondément marqué la population française.
Ainsi, selon le think tank Institute for Economics and Peace, auteur du classement depuis dix ans, seuls le Botswana, le Chili, le Costa Rica, le Japon, l'île Maurice, le Panama, le Qatar, la Suisse, l'Uruguay et le Vietnam vivent en totale paix.
La guerre franco-allemande de 1870 est un conflit entre la France de Napoléon III et la Prusse de Guillaume Ier. Résumé de cette lourde défaite française.
Assassinat à Sarajevo
La cause immédiate de la Première Guerre mondiale fut l'assassinat de l'héritier du trône d'Autriche, l'archiduc Franz Ferdinand, le 28 juin 1914 à Sarajevo. L'assassin était Gavrilo Princip, membre de la société de la Main Noire.
Le gouvernement suédois souhaitait maintenir la Suède en dehors du conflit et, au début de la guerre, la Suède a accepté beaucoup d'exigences de l'Allemagne nazie. Le gouvernement suédois a par exemple interdit l'entrée de son territoire à des Juifs allemands qui tentaient de fuir vers la Suède.
Lorsque les puissances victorieuses des guerres napoléoniennes ont accordé à la Suisse la neutralité perpétuelle au Congrès de Vienne en 1815, l'accord stipulait que la Suisse ne participerait pas aux conflits et ne fournirait pas de mercenaires ; en contrepartie, aucune guerre ne serait plus menée sur son territoire.
L'industrialisation de la seconde moitié du XIXe siècle a donné nais- sance aux grandes banques, aux banques cantonales et aux compagnies d'assurance. La diversification de l'économie suisse et l'insignifiance du secteur des matières pre- mières ont été des facteurs primordiaux.