C'est un excellent moyen de s'évader.
La lecture nous fait voyager et même si l'histoire qu'on lit ne se passe pas à l'autre bout du monde, elle aide notre esprit à oublier les tracas du quotidien !
Les chercheurs ont avancé que lire des livres améliore le vocabulaire, le raisonnement, la concentration et la pensée critique, et que la littérature stimule les processus cognitifs comme la perception sociale et l'intelligence émotionnelle* qui peuvent contribuer à prolonger la vie.
Lire permet de lutter contre le vieillissement du cerveau, d'améliorer sa mémoire, son empathie, son imagination mais aussi de prendre une pause.
La lecture nous procure un plaisir, permet de nous évader, favorisant ainsi l'oubli des soucis et du stress du quotidien. Les bienfaits de la lecture. La lecture favorise l'apprentissage, elle permet le développement mental et l'expression orale. Elle développe les fonctions cognitives (fonctions intellectuelles).
La lecture permet de s'ouvrir au monde, de comprendre et de communiquer avec ce qui nous entoure (et donc de se déplacer, se nourrir, se soigner, apprendre des choses…). Elle permet aussi de se divertir, de rêver…
Pourquoi lit-on? Les réponses des bibliothécaires sont presque unanimes à le souligner : on lit pour se distraire, beaucoup plus qu'avec le souci de s'instruire. Ce besoin de distraction correspond également à un besoin d'évasion.
BIBLIOPHILE : Définition de BIBLIOPHILE.
Dès que commence l'adolescence, l'enfant n'a plus envie de lire. Jusqu'au lycée, les professeurs de français imposent la lecture, souvent des ouvrages qui ne traitent pas de leurs différents centres d'intérêts, ce qui décourage l'ado à ouvrir un livre.
La lecture permet de partager les émotions investies dans les livres. D'après Pierre Sève « la lecture reste une activité intime, réellement subjective » mais elle est en même temps une pratique sociale.
La lecture joue un rôle très important dans le développement de l'enfant car elle permet d'éveiller ses sens, de développer son imagination et stimuler son cerveau. Qu'une histoire soit écoutée ou lue, c'est une expérience incroyable qui nous embarque dans un voyage extraordinaire.
C'est vous dire combien la lecture est un puissant moyen de développement de l'esprit humain. En la pratiquant, elle vous procure non seulement du bonheur sur le plan psychique mais aussi sur le plan social. Dans le premier cas on assiste à la détente du cerveau et à son ouverture intellectuelle.
Tout comme le sport par exemple, la lecture procure du plaisir, aide à oublier les problèmes du quotidien et nous éloigne du stress. Comprendre un livre nécessite de retenir une grande quantité d'informations.
Les habitudes des plus fortunés
Les personnes très aisées optent pour du contenu leur permettant de s'améliorer ou de continuer à apprendre. Cet objectif est également retrouvé dans leurs autres occupations. "Les riches sont des lecteurs avides lorsqu'il s'agit d'apprendre à progresser.
Liseur, euse n. et adj. = personne qui aime lire, qui lit beaucoup. Un grand liseur.
1 – La lecture stimule le cerveau
Et non seulement cette activité est bonne pour le moral, elle permet aussi de booster notre cerveau. Tout comme le tricot qui stimule les connexions neuronales et leur permet de fonctionner plus efficacement, la lecture fait travailler la mémoire et aide à garder l'esprit plus clair.
Définitions de « liseur »
Analphabète = qui ne sait ni lire ni écrire. Illettré = qui est incapable de maîtriser la lecture d'un texte simple. Illettré a longtemps signifié « inculte, ignorant, qui n'a pas de lettres » (= de connaissances générales).
Les lecteurs exercent souvent un autre métier à côté : écrivains, souvent, étudiants souhaitant mettre un pied dans l'édition, ou même, comme Virginie Arthus-Bertrand, coach sportif à domicile. Il faut dire que l'activité n'est pas très rémunératrice. Un lecteur est payé entre 30 et 90 euros.
Premier enseignement : la lecture reste une activité « importante » chez les jeunes, qu'elle soit prescrite dans le cadre scolaire (89%) ou librement choisie dans celui des loisirs (78%). En moyenne, les jeunes lisent six livres par an, dont deux dans le cadre scolaire et quatre dans celui des loisirs.
Certains disent que les livres font plus travailler l'imaginaire. D'autres pensent que les films repoussent plus les limites de notre cerveau que les lignes tracées sur du papier. Je vous propose donc de faire le point sur cette compétition. C'est un fait historique avéré, le livre a précédé le cinéma.
Les habiletés en lecture (la conscience phonologique, l'entrée graphophonétique, la fluidité, le développement de vocabulaire et la compréhension) sont des habiletés qui doivent être enseignées en contexte et non en isolement.
l'acte de lire, une situation de communication avant tout
Quelle qu'en soit donc la définition, l'acte de lire se situe toujours dans une situation de communication. Il est clair que lorsque l'enfant lit, il cherche à comprendre la pensée d'autrui à travers un intermédiaire : le langage écrit.
Le livre est l'ami de la solitude. Il nourrit l'individualisme libérateur. Dans la lecture solitaire, l'homme qui se cherche lui-même a quelque chance de se rencontrer.