On va au cinéma pour vivre dans un univers de fiction qui illuminera notre quotidien. On n'échappe pas à nos vies, on retrouve la vie en expérimentant, en jouant avec nos émotions, en apprenant et en ajoutant de la profondeur à nos vies. On écoute des films pour découvrir notre propre humanité.
Le cinéma me permet de m'aimer.
Faire les choses que vous appréciez le plus, qui vous nourrissent le plus en tant que personne, et qui vous rendent simplement heureux. Il faut s'aimer. Commence dès aujourd'hui à vous donner ce que vous méritez, en regardant tous ces films que vous n'avez jamais vus par manque de temps.
Aller au cinéma permet de renouer avec la tradition cinématographique qui remonte au début du XXème siècle. A cette époque, il n'existait pas d'autre système de diffusion que celui des salles obscures. Ainsi un grand écran permet de mieux ressentir l'émotion d'une oeuvre. Et le jeu des acteurs se trouve démultiplié.
Le cinéphile est un amateur de cinéma. Il s'agit d'un passionné de cinéma, quelle que soit son organisation et quelle que soit son expression. Nom relatif à la cinéphilie, qui signifie amour du cinéma.
Il peut être une véritable source d'apprentissage et de stimulation. Pour les enfants, mais aussi pour les adultes. Les films nous transportent dans des univers différents, nous font découvrir des cultures, des histoires et nous font prendre du recul sur les problèmes du quotidien.
Depuis son invention, le cinéma est devenu à la fois un art populaire, un divertissement, une industrie et un média. Il peut aussi être utilisé à des fins publicitaires, de propagande, de pédagogie ou de recherche scientifique ou relever d'une pratique artistique personnelle et singulière.
L'enjeu est ce qui anime le protagoniste. Il le motive tout au long du scénario et en fin de compte fait avancer l'histoire (c'est d'ailleurs ce que l'on attend d'un protagoniste).
On appelle cinéphile un passionné du 7ème art. Un "filmovore" capable de regarder un film par jour pour rêver et développer un peu plus son imaginaire.
Une scène post-générique est une courte séquence qui apparaît après la totalité de clôture d'un film.
Le POV, aussi appelé la vue subjective, est un plan qui permet d'adopter le point de vue d'un personnage ou d'un objet grâce à la caméra qui filme une scène, comme si l'on voyait à travers les yeux du personnage.
Cinq principales justifications expliquent leur désertion : tout d'abord « une perte d'habitude d'aller au cinéma » (pour 38 % des sondés), puis « la perception du prix du billet » (36 %), « le port du masque » (33 %), « la préférence pour regarder des films sur d'autres supports » (26 %) et enfin « le manque d'intérêt ...
"Lorsqu'on aime la vie, on va au cinéma" alors que c'est le contraire : Quand la vie nous déçoit on regarde des films. Le titre est une citation paraphrasée de François Truffaut.
Influence du cinéma sur la société : éveiller les consciences. Certains films jouent un rôle sensibilisateur et offrent une véritable prise de conscience sur certains éléments socio-économiques. Ils influencent la société car ils portent un message, des valeurs à défendre ou prennent des positions politiques.
Les gens vont privilégier les séries car elles sont chapitrées et normalement moins longues que les films. Chaque fin d'épisode est une voie de sortie. Il est donc plus facile d'arrêter de regarder une série qu'un film. Les voies de sorties sont plus aisées, c'est moins long que pour un film.
Regarder quelqu'un droit dans les yeux entraîne ce que l'on appelle une activation. Cette personne va augmenter son niveau d'excitation émotive. Elle se sent plus impliquée, comme si on allait lui poser une question ou lui demander quelque chose.
Avant d'arriver sur nos écrans, une série est le fruit d'un long chemin de création collective née d'une idée souvent personnelle, elle s'épanouit dans l'esprit de ses créateurs, se nourrit de leurs accords et désaccords, franchit nombre d'étapes et d'obstacles jusqu'à sa conclusion.
D'un point de vue commercial, un échec cinématographique, couramment appelé bide, raté, fiasco, flop ou four, se dit d'un film dont le succès ne couvre pas suffisamment les dépenses engagées pour sa production, sa distribution et sa promotion.
Un pré-générique est une courte scène d'introduction durant environ cinq minutes qui précède le générique d'un film. Cette pratique plutôt courante dans le cinéma est la marque de fabrique de la série des James Bond.
Le cinéma muet se caractérise par l'absence de dialogues enregistrés sur un support mécanique (disque ou pellicule) qui permettrait leur transport dans une salle et leur audition par un public en même temps qu'il regarderait les images, et par l'absence sur le même support de musique et de bruits ou d'ambiances sonores ...
Autant en emporte le vent, qui est sorti pour la première fois en 1939, est généralement considéré comme étant le film ayant eu le plus de succès. L'édition 2014 du Livre Guinness des records estime après ajustement par rapport à l'inflation que ses recettes sont de 3,4 milliards $ .
En somme, c'est peut-être cela que nous apprécions, plus globalement, dans les films d'amour : parce qu'ils esthétisent une rencontre amoureuse, ils nous rappellent que désirer quelqu'un, c'est en quelque sorte voir cette personne comme dans un film.
Un bon film est une réussite technique, dans un sens à la fois négatif, il ne comporte pas de ratés (son, image, jeu d'acteurs) et positif, il impressionne par sa réalisation technique. Ce critère doit être, lui aussi, relativisé.
Il constitue un outil puissant de communication, de divertissement et d'éducation. Grâce à la narration visuelle, le cinéma peut façonner et refléter la société, influencer les attitudes culturelles ou encore affecter les systèmes politiques et économiques.
Le fait de jouer le rôle d'un personnage de film augmente l'empathie, et permet au spectateur de vivre les expériences du personnage sans avoir à subir des conséquences dans la vraie vie.