"Cela peut s'expliquer par l'éducation, l'environnement, la peur du manque, mais aussi la représentation de l'argent pour eux. Souvent les gens radins ne comprennent pas que l'argent est seulement un véhicule qui permet d'avancer. Pour eux c'est une sécurité, garder leur argent les sécurise", précise Pascal Anger.
En psychologie, l'avarice reflète souvent une angoisse du manque. L'avare se réconforte avec son argent et ses biens. De plus, il exerce une certaine manipulation envers l'autre, puisqu'il décide de garder ou de donner.
Une personne radine ramène toutes ses activités à l'argent de façon à en dépenser le moins possible. C'est une obsession pour elle, ce qui peut gâcher sa vie en société, avec des proches ou des collègues. L'avare, quant à lui, n'a qu'une idée en tête : accumuler encore et encore plus d'argent.
"Cela peut s'expliquer par l'éducation, l'environnement, la peur du manque, mais aussi la représentation de l'argent pour eux. Souvent les gens radins ne comprennent pas que l'argent est seulement un véhicule qui permet d'avancer. Pour eux c'est une sécurité, garder leur argent les sécurise", précise Pascal Anger.
L'imagination en berne
Car l'addiction à l'argent entraîne souvent une autre modification psychologique, visible chez Harpagon : une atrophie de l'imagination. L'avare, selon Rogues de Fursac, souffre d'un défaut d'imagination, dont il est la plupart du temps victime depuis son enfance.
radin adj. et n. Qui est d'une avarice mesquine.
Les phrases les plus gentilles pour rompre
« Te quitter est la chose la plus difficile que je n'ai jamais faite dans ma vie. » « Je ne regrette pas notre relation, mais nous ne sommes plus heureuses/heureux ensemble... » « Je t'aime, mais quelque chose a changé entre nous et je n'arrive plus à vivre avec toi... »
La radinerie n'est pas une maladie à proprement parler. Voilà une bonne… et une mauvaise nouvelle ! Car, si elle n'est pas contagieuse, elle est en revanche quasi incurable. De plus, si vous vivez avec un radin, il est d'autant plus difficile d'ignorer ce phénomène.
Ils cherchent dans l'argent ce qu'ils ne trouvent pas dans leurs rapports sociaux", avec un sentiment de malaise parmi leurs semblables.
A la question "comment vivre avec un(e) radin(e)", les témoins que nous avons interrogés sont assez unanimes: "La solution? Fuir!", répond Stéphanie. "Franchement, rien ni personne ne peut changer un radin, j'ai vécu avec un tel spécimen pendant sept ans, c'est juste l'horreur.
avare adj. et n. Qui se plaît à accumuler l'argent en restreignant ses dépenses.
Personne d'une avarice sordide ; ladre.
vénale. vénaux. Qui n'agit que pour l'argent, qui n'est intéressé que par le gain matériel et financier d'une action. Exemple : Un amour vénal, un homme vénal, etc.
Individualiste, qui ne pense qu'à soi, qui rapporte tout à soi.
le comique de mœurs / de caractère : L'Avare, dans son ensemble est une comédie de mœurs : il s'agit pour Molière de critiquer et de dénoncer, de façon légère, la caste des bourgeois, attirés par leur fortune.
L'Avare est une comédie de Molière en cinq actes et en prose, adaptée de La Marmite (Aulularia) de Plaute et représentée pour la première fois sur la scène du Palais-Royal le 9 septembre 1668. Il s'agit d'une comédie de caractère dont le personnage principal, Harpagon, est caractérisé par son avarice caricaturale.
Dans l'Avare, Molière met simultanément en jeu les thèmes de l'amour, les conflits interrelationnels et les obstacles familiaux. Néanmoins, on maintient tout de même l'idée principale de cette pièce : elle est une comédie. L'Avare de Molière est une pièce qui amuse, elle fait rire.
Une personne cupide peut ressentir un sentiment d'avarice envers l'argent, le sexe, le pouvoir, la nourriture, l'attention des autres, la connaissance… Elle peut se sentir cupide de presque n'importe quoi. Ce peut être envers quelque chose de concret comme envers quelque chose d'abstrait, de réel ou de symbolique.
Intéressé, avide d'argent, vénal, qui ne pense qu'à des préoccupations financières. Exemple : C'est une personne cupide qui a pour habitude de sélectionner ses amis selon leurs finances. Étymologie : du latin cupidus (qui désire).