Pendant l'amour, les récepteurs sensoriels et les neurones sont fortement stimulés. Mais après l'atteinte du plaisir, le corps et le cerveau se détendent progressivement. En quelques minutes, certains ont une capacité à rejoindre les bras de Morphée en un claquement de doigts. Les hommes sont davantage concernés.
La "dysphorie post-coïtale", aussi appelée "sex blues", est un puissant sentiment de mélancolie qui survient entre cinq minutes et deux heures après un rapport sexuel. Selon le degré de tristesse, il peut entraîner une irritabilité, un besoin de fuir se réfugier, voire des sanglots.
Enfin, un psychiatre américain a évoqué dans la presse le rôle de l'amygdale, région du cerveau impliquée dans la perception émotionnelle. Selon lui, les individus souffrant de DPC présenteraient, après avoir atteint l'orgasme, un rebond d'activité de l'amygdale, ce qui provoquerait les symptômes observés.
Selon une étude révélée par le Daily Mail, la raison essentielle serait que la partie «réflexion» du cerveau se met en veille. Un phénomène accentué par deux hormones - la sérotonine et l'ocytocine – qui se libèrent après le rapport sexuel.
Dans ce cas, Caroline Michel conseille : « Il suffit simplement d'expliquer à l'autre qu'on a besoin d'être encouragée. A priori, s'il nous remercie à chaque fois qu'on se dépasse, on se dépassera les prochaines fois avec plaisir. » C'est une véritable déclaration d'amour, d'où notre pudeur à le lâcher parfois.
En effet, après l'orgasme, les hommes traversent une période de récupération. C'est-à-dire qu'ils subissent une éteinte mécanique, chimique du désir sexuel. Et, cela n'a rien avoir avec toi ou votre relation amoureuse. En effet, les hormones libérées pendant cette période agissent sur la testostérone.
Après l'orgasme, il existe une période réfractaire. C'est un moment pendant lequel l'excitation sexuelle est impossible physiquement, un peu comme si l'organisme avait besoin de recharger ses batteries. Ce phénomène existe chez tous les hommes, et la durée de cette période réfractaire augmente avec l'âge.
Du grec 'dysphoros' (qui supporte difficilement), la dysphorie correspond à un « état psychique généralement durable, marqué par la présence de sentiments d'insatisfaction, d'ennui, de mal-être diffus, de goût amer de la vie et de dépression », décrit l'Académie nationale de médecine.
Ces tremblements se produisent après l'orgasme, dans une phase de détente. Voilà une explication possible! Nous vous proposons d'être attentive à la tension de vos muscles pendant le rapport, à la relâcher par moments, à bouger. Vous pourrez ainsi laisser circuler les sensations dans tout le corps.
La décharge hormonale que libère l'orgasme peut provoquer des réactions inattendues, comme des larmes, qui dans ce cas sont généralement l'expression d'une joie très intense.
Ce terme anglophone contraction des mots "cry" (pleurer) et "climax" (soit le niveau de jouissance ultime), désigne simplement le fait de fondre en larmes juste après avoir atteint le septième ciel.
Vous dormez face à votre homme, votre visage tourné vers le sien. Cette position vous permet de vous toucher le corps. Vous pouvez le toucher avec les pieds, les jambes, les genoux, le torse, la poitrine. Quand il ouvrira les yeux, votre amoureux vous verra abandonnée au sommeil.
L'orgasme et l'éjaculation demande un lâcher-prise. Il existe également hommes qui n'y parviennent pas. Là aussi les raisons sont multiples : la peur de devenir père, la peur du vagin, un trop grand contrôle de son plaisir mais aussi parfois un plaisir sadique de se refuser à la femme.
"La grande majorité des couples ne pourra dans la durée accepter de vivre dans une forme d'abstinence sexuelle sans conséquences pour leur union. La sexualité restera un élément indispensable et indissociable du couple et de l'amour favorisant leur épanouissement et bien être mutuel.
Le monde devient merveilleux et lumineux quand je suis avec toi. J'ai besoin d'être avec toi, de vivre et de jouir de notre si bel amour. Sans toi, il n'y a pas d'amour, sans toi, je n'existe pas. Sans toi, le monde est vide et n'a aucun sens, je te demande de rester à mes côtés, car j'aurai toujours besoin de toi.
Pour certains ce sont des "expressions dimorphes" de l'émotion. Nous pleurerions quand nous ririons autant parce que le corps essaie de s'autoréguler en réponse à des émotions fortes. Certains indices suggèrent également que la même partie du cerveau contrôle à la fois les pleurs et le rire.
(Transitif) (Sexualité) Stimuler le vagin, le clitoris ou l'anus en y introduisant un ou plusieurs doigts ou en caressant en surface.
Encore peu documenté, le sex blues serait lié aux hormones. Lors d'un rapport sexuel ou d'un orgasme, le corps libère l'hormone ocytocine, surtout chez les femmes, qui facilite l'attachement et la connexion.
Donnant des conseils pour rester en bonne santé, un médecin a affirmé à la télévision que les femmes ne devaient pas pleurer devant un homme, sous peine d'altérer sa libido.
La femme parfaite est entreprenante et cool
Saviez-vous que 94% des hommes aiment que l'autre fasse le premier pas ? Alors on met sa timidité de côté et on se lance. Surtout qu'on ne risque pas grand chose même si on est un peu maladroite : le sens de l'humour est un atout qui fait fondre plus d'1 homme sur 3 !
Je peux errer dans mes pensées avec toi, je peux pleurer et rire avec toi, mais je peux aussi faire des choses totalement folles. Je t'aime de tout mon cœur, s'il te plait, ne me fais jamais de mal. Tu es la plus grande personne sur terre, je veux être heureuse avec toi !