Les icebergs, quand ils sont constitués de glace « propre » ont une très belle couleur bleutée. Cette couleur est principalement due au propriété d'absorption différentielle de la molécule d'H2O, molécule qui absorbe davantage les longues longueurs d'onde (rouge) que les courtes (bleu).
La glace ancienne et compacte absorbe tous les rayons de lumière avec en priorité les rayons rouges et jaunes, excepté le bleu qui n'est pas totalement absorbé et qui est réfléchi. C'est cette réflexion qui donne sa couleur bleue à la glace.
À l'origine, l'iceberg est un morceau de glace qui s'est détaché d'un glacier continental. Ce glacier, situé au Sptitzberg en Norvège, se jette dans l'océan Arctique où il libère progressivement des icebergs. Les glaciers continentaux se forment dans les régions polaires ou montagneuses.
Car au moment de la formation de la glace de mer, il se forme des saumures – eau très salée – sous la glace proprement dite. Cette eau très salée et très froide est plus lourde que le reste de l'eau. Elle va donc s'enfoncer profondément et être remplacée par de l'eau moins froide et moins salée.
Résultant de la congélation d'eau de mer, la banquise est formée de glace salée, ce qui la distingue des icebergs, formés de glace continentale (eau douce des glaciers polaires). Son extension et sa répartition varient selon les océans (Arctique et Antarctique) et les années.
Au cœur de l'hiver, la banquise s'étend sur près de quinze millions de km², dont près de la moitié fondra durant l'été. Lorsqu'elle redevient sujette aux mouvements de la mer, elle se brise, s'ouvre, se chevauche en grandes plaques puis en morceaux de plus en plus petits.
La banquise pérenne diminue en superficie, en épaisseur, et donc en volume. Elle est de plus en plus vulnérable au réchauffement de l'Arctique, à l'érosion mécanique des vagues, et aux vents qui l'expulse vers l'océan Atlantique lors de situations météorologiques défavorables.
L'iceberg géant est connu sous le nom de A-76A. Il mesure 135 kilomètres de long et 26 kilomètres de large. Cela en fait le plus grand bloc de glace de notre planète.
Le plus gros iceberg du monde s'est détaché de la banquise en Antarctique. Jusque-là, le record du plus gros iceberg du monde était détenu par A-23A, un iceberg de plus de 3 300 km². Ce nouveau bloc de glace, baptisé A-76, a une surface de 4 320 km².
Dans le domaine relationnel, il s'agit souvent de sensations qui sont partiellement visibles telles que les mimiques, la gestique dans les domaines non-verbaux ou par le son resp. la tonalité de la voix d'une personne.
Oui c'est précisément ce bloc de glace là qui a fait couler le Titanic en avril 1912 et aujourd'hui il se balade du côté de Ferryland (au Canada).
L'iceberg, baptisé A-76, s'est séparé de la barrière de glace de Ronne en Antarctique selon des images d'un satellite du programme européen Copernicus. L'iceberg A-76 devrait dériver dans la mer de Weddel avant de se fractionner et fondre peu à peu.
Pourquoi ce chiffre " six " à chaque fois ? Les flocons de neige et les colonnettes sont tout simplement constitués d'eau qui a cristallisé à cause des basses températures. Et c'est la forme de la molécule d'eau qui nous permet d'expliquer la présence de six branches ou de six colonnes.
En moyenne, la température tombe de par 0.65 degrés par cent mètres d'altitude. Donc si les nuages sont, par exemple, avec un base de 300 mètres, il fait assez froid là-haut, que pour voir les flocons de neige se former.
Les Alpes sont le massif où la neige disparaît le plus vite
Cette diminution est liée au réchauffement atmosphérique, qui réduit la fraction des précipitations tombant sous forme de neige au profit de la pluie et renforce la fonte du manteau neigeux ».
Le retournement d'iceberg ou basculement d'iceberg est le réajustement de la position d'un iceberg lié au déplacement de son centre de gravité en raison d'une fonte différentielle entre ses différentes faces et entre ses parties immergées et émergées ou encore de sa fragmentation.
La partie immergée, ce sont les 7/8 de l'iceberg qui sont sous l'eau (en passant, les deux prononciations sont admises : "isberg" ou "aïceberg"). Donald Trump étant plutôt très visible, il représente la partie émergée, celle qui sort de l'eau.
Cette expression est née aux États-Unis en 1961. Il s'agit en fait de comparer la particularité de ce bloc dont on ne voit en réalité qu'un dixième de sa taille réelle à une situation complexe dont la partie cachée est bien souvent la plus importante.
La partie immergée d'un iceberg peut être 7 à 9 fois plus grande que la partie visible en surface.
Les intempéries et les tensions au sein de la glace provoquent des cassures, ce qui produit… des icebergs. Le problème, c'est qu'avec le réchauffement climatique, les chutes de neige ne compensent plus les pertes de glaces. Résultat, la calotte du Groenland fond.
Selon ce principe, « tout corps plongé dans un fluide subit une poussée verticale dirigée du bas vers le haut, égale au poids du volume de fluide déplacé ». Le poids de l'eau de mer déplacée étant supérieur au poids de la glace immergée, l'iceberg flotte.
La glace fond et ne se renouvelle pas. Une étude publiée cette semaine dans la revue Nature Climate Change soutient fortement l'hypothèse selon laquelle les étés en Arctique seront complètement dépourvus de glace d'ici 2035.
La banquise de l'Antarctique n'a jamais autant fondu qu'en 2022, selon une étude. M.L.