La liberté, c'est la capacité qu'a l'homme à choisir entre le bien et le mal. Une fois qu'on a dit cela, on ne sait plus trop quoi ajouter ! Pourtant, la liberté est ce qui fait l'homme ; la liberté est considérée par John Locke comme étant l'un des droits fondamentaux de l'homme.
La liberté vous donne l'occasion de ressembler à ce que vous voulez être. Ou faire ce que vous voulez faire - comme le modèle David. Parfois, vous vous sentez obligé de faire des choses ou d'adopter une apparence que vous n'aimez pas, mais la liberté signifie aussi la liberté de choisir et la liberté de dire non!
Lorsque vous êtes libre, vous pouvez vivre selon vos convictions, vos croyances et votre opinion, sans que personne ne vous l'impose. Être libre, c'est affirmer ses valeurs et ne pas avoir peur du regard des autres ni du jugement d'autrui.
La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui; elle a pour principe la nature, pour règle la justice, pour sauvegarde la loi; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.
Locution nominale
Homme qui n'est pas soumis au servage ou à l'esclavage.
La liberté, le plus simplement possible peut-être définie par l'absence de chaînes. Un esclave par exemple est un homme qui n'est pas libre. L'homme libre ne peut être soumis, c'est celui qui fait ce qu'il veut, qui ne souffre d'aucune contrainte.
La liberté s'acquiert par la connaissance de soi, tant du soi rationnel que du soi irrationnel et inconscient. La raison lève de nombreuses servitudes, et nous rend humains ; sans elle, nous ne serions guère plus que des animaux.
Individuellement comme collectivement, l'on ne peut exercer sa liberté sans assumer la responsabilité qui va avec, à l'égard de soi-même et des autres. C'est pourquoi la liberté, qui donne à la vie sa saveur, lui donne aussi sa dignité.
Qui a le pouvoir d'agir, de se déterminer à sa guise : Être libre de ses décisions. 5. Qui n'est soumis à aucune contrainte, à aucun contrôle, à aucune restriction : Avoir la libre disposition d'un bien.
La liberté est la valeur première et le corollaire absolu de l'être humain. Elle a donc, comme lui, un passé, un présent et un avenir, même si, selon les époques et les géographies, elle connaît des sorts divers.
Liberté d'opinion, liberté d'aller et venir, liberté syndicale… Le droit français comprend des "droits-libertés" consacrés par les textes. L'État peut les restreindre, notamment pour des raisons de sécurité.
La liberté est une notion clé en philosophie, au programme de terminale. Elle se définit, négativement, comme l'absence de contrainte; positivement comme l'état de celui qui fait ce qu'il veut.
Pour moi, la liberté, c'est d'être libre de faire ce qu'on veut tout en respectant la loi. Si je veux faire quelque chose, je suis libre de le faire toute seule. La liberté, c'est aussi de ne pas avoir quelqu'un qui nous suit partout. Il y a aussi la liberté d'expression, c'est de parler et dire nos problèmes.
Faire son devoir, c'est accepter sa nature suprasensible d'être libre. Agir par devoir et agir librement/être libre sont une seule et même chose aux yeux de Kant car la liberté est autonomie, c'est-à-dire capacité à se prescrire à soi-même sa règle.
Il y aurait une liberté naturelle de l'homme – puisque les hommes naissent libres. c'est encore cette liberté naturelle que Rousseau attribue à son sauvage et qui est tellement consubstantielle l'homme que renoncer à sa liberté ce serait renoncer à sa qualité d'homme.
C'est ce qu'on appelle en philosophie la liberté d'indifférence, et Descartes disait « c'est le plus bas degré de la liberté de l'Homme ». L'Homme est effectivement libre, il se détermine à choisir quitte à ce que ces choix là se révèlent être des erreurs. Mais il ne faut pas s'engager pour s'engager.
Pourquoi voulons nous être libres? Pour de nombreuses personnes la liberté représente l'abscence de contrainte, c'est pouvoir faire ce qui nous plait vous répondrons en majorité les individus. La liberté absolue, la liberté illimitée, le libre arbitre c'est certes le plus grand désir de l'homme.
Souvent, on assimile la liberté à la possibilité de faire tout ce que l'on veut sans limite naturelle ou conventionnelle. Ainsi, être libre signifie ne pas être soumis à une volonté autre, ni à une contrainte extérieure. L'esclave n'est pas libre, car tout ce qu'il peut faire dépend de la volonté de son maître.
Sachez qu'être libre c'est se donner le droit d'être soi-même. C'est oser écouter ses besoins même s'ils ne correspondent pas aux attentes des autres. C'est sentir que nous sommes le seul maître de notre vie.
Une liberté sans bornes ne peut aboutir qu'à la loi du plus fort. Si la liberté de chacun est sans limite, une personne ne tardera pas, au nom de sa propre liberté, à empiéter sur celle des autres.
« je ne suis vraiment libre que lorsque tous les autres humains qui m'entourent sont également libres. La liberté d'autrui loin d'être une limite ou négation de ma liberté en est au contraire la condition nécessaire et la confirmation », selon Bakounine.
« La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres » est un célèbre adage qui signifie, en général, qu'un individu doit pouvoir faire l'exercice de sa liberté sans que celui-ci limite la liberté des autres ou soit nuisible aux autres.
Epictète, qui était né esclave, formule, peut-être le premier, une théorie de la liberté : « ce qui dépend de nous est libre, ce qui ne dépend pas de notre volonté est asservi ». Autrement dit, nous sommes totalement libres de notre imagination, de nos idées, de nos rêves, même si nous sommes empêchés d'agir.
On peut définir la liberté comme la capacité de faire ses propres choix et d'agir selon ceux-ci. C'est donc la faculté de nous autodéterminer en nous appuyant seulement sur notre libre-arbitre. La liberté semble être, pour l'homme, une évidence.
L'incitation à la discrimination, à la haine, à la violence ou à la ségrégation* à l'égard d'autrui, en public, intentionnellement et pour une raison précise.