Leur fort impact carbone participe à l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre. Pour cette raison, l'installation des chaudières à gaz dans les constructions neuves est interdite depuis le 1er janvier 2022, pour les permis de construire déposés à partir de cette date.
Les chaudières gaz seront bien interdites — finalement en 2022 et non en 2021 comme cela était prévu aux prémices du projet —, mais seulement dans des conditions bien précises qui n'ont pas d'impact sur la consommation des ménages.
Le gaz étant une énergie fossile, il entre en contradiction avec la transition énergétique. C'est pourquoi la nouvelle réglementation énergétique RE2020 interdit l'usage du chauffage au gaz, dès son entrée en vigueur en janvier 2022.
Les chaudières au gaz interdites à partir de 2022 dans les nouvelles constructions. Afin d'accélérer la transition écologique et de mettre fin à l'utilisation d'énergies fossiles pour le chauffage, la RE 2020 a fixé l'interdiction d'installation de chaudières à gaz pour toutes les nouvelles constructions.
Pour réduire l'émission de gaz à effet de serre, l'installation d'équipements de chauffage ou de production d'eau chaude fonctionnant au fioul sera interdite à partir du 1er juillet 2022, sauf en cas d'impossibilité d'usage d'autres sources d'énergie.
Leur fort impact carbone participe à l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre. Pour cette raison, l'installation des chaudières à gaz dans les constructions neuves est interdite depuis le 1er janvier 2022, pour les permis de construire déposés à partir de cette date.
Le gaz n'est pour l'instant pas interdit en France. Seule la pose de chaudières fioul et charbon est interdite au sein des ménages en France, sauf dérogation spéciale. La RE 2020 interdit en revanche l'installation des chaudières au gaz dans les logements individuels neufs, et uniquement ceux-là, depuis janvier 2022.
L'installation de chauffage gaz reste autorisée
Seules les nouvelles chaudières au fioul domestique seront interdites à partir de juillet 2022. L'installation de chauffage gaz reste autorisé.
Les modèles les plus performants à l'heure actuelle sont les radiateurs électriques à inertie (sèche ou fluide). Ils délivrent un confort proche d'un chauffage central avec une chaleur douce et homogène diffusée par rayonnement dans les pièces.
Toutefois, l'électricité est plus chère que le gaz, et de nouvelles hausses des tarifs réglementés sont à prévoir. La valeur de référence pour calculer la consommation moyenne en chauffage électrique est de 110 kWh par mètre carré et par an.
Considérant leur consommation respective sur une surface équivalente, le chauffage au gaz demeure bien plus économique que l'électrique. Néanmoins, sur le coût de l'installation, l'électrique remporte le match haut la main, avec une facture résolument moins salée.
Chaudière ou poêle à bois
Le bois est l'énergie la plus abordable sur le marché des énergies, qu'il s'agisse de bûches de bois ou de granulés. Le poêle à bois est souvent considéré comme l'équipement de chauffage le plus économique et le plus rentable. Ce type d'installation allie performance, écologique et économies.
Il existe actuellement plusieurs modes de chauffage dit économiques sur le marché : Le poêle à bois : Que ce soit un poêle à bûches ou un poêle à granulés, cette méthode de chauffage est actuellement considérée comme la plus économique.
La durée de vie moyenne d'une chaudière à gaz
La durée de vie d'une chaudière à gaz correctement entretenue est comprise généralement entre 15 et 25 ans, en sachant que les modèles récents tendent à avoir une durée de vie légèrement plus courte (15/20 ans) que les anciens modèles (20/25 ans).
Voici les systèmes de chauffage du plus au moins économiques à privilégier d'ici 2025 : Pompe à Chaleur, Poêle à granulés, Poêle à pellets, chaudière biomasse, radiateurs électriques.
En conclusion, il existe plusieurs alternatives au chauffage au gaz, un équipement qui sera interdit dans les logements neufs à partir de l'été 2021. On cite entre autres les pompes à chaleur air/air et air /eau, la chaudière biomasse et le système solaire combiné.
Pour rappel, la Première ministre Elisabeth Borne a confirmé une hausse assez inédite de 15% du prix du gaz, à partir de janvier 2023. Autrement dit, chaque mois, un foyer verra sa facture augmenter de 25 euros.
Une énergie qui se verdit grâce au développement du gaz vert, 100% français et renouvelable. En 2030, le gaz vert pourrait représenter 20% de la consommation de gaz en France.
L'installation de chaudières à gaz est l'alternative la moins coûteuse aux autres types de chaudières (granulés de bois et fioul). Mais le prix du gaz est très volatile en ce moment et risque de l'être encore plus en 2023. Le prix du gaz était peu élevé grâce à des tarifs réglementés et un marché favorable.
Les chaudières les plus économiques du marché sont les chaudières à condensation. Elles sont toutefois supplantées par les pompes à chaleur en termes de rendement. La solution parfaite est de pouvoir combiner ces deux technologies.