« Toutes les mers ne gèlent pas. Cela dépend de la quantité de sel contenue dans l'eau. Les océans, par exemple, sont moins salés que les mers. C'est pour cette raison que la mer Méditerranée, mais aussi la mer Morte (située en Asie), par exemple, ne gèlent jamais : elles sont très salées. »
En revanche, la température de congélation de l'eau de mer est inférieure à 0°C; de plus, elle varie avec le degré de salinité. Plus le degré de salinité est élevé, plus la température de congélation est basse. Pour que l'eau gèle et forme de la glace, elle doit d'abord être refroidie jusqu'à son point de congélation.
Deux Américains proposent une nouvelle limite de température pour la surfusion de l'eau. Contrairement à une idée répandue, l'eau ne gèle pas forcément à 0°C. Si elle est assez pure, elle peut rester liquide à des températures négatives.
Réponse simple : En hiver, la plupart des lacs sont couverts d'une couche de glace plus ou moins épaisse sous laquelle l'eau reste à l'état liquide3. Ce phénomène est dû à une propriété particulière de l'eau ; contrairement à la plupart des substances, elle est plus légère sous forme solide que liquide1.
«En gros, c'est que l'eau distillée ou purifiée n'a pas de particules qui serviraient de germes pour partir la congélation. Elle ne gèle pas, elle est en surfusion.
Impossible de congeler avec de l'eau, du mercure, voire même de l'alcool car sous leur phase liquide la température est trop élevée. En revanche avec de l'azote liquide ou du co2 liquéfié, oui c'est possible car leur température est suffisamment basse.
Comme le processus de convection est élevé dans l'eau chaude, ce qui la conduit à perdre sa chaleur accumulée plus rapidement que l'eau froide, l'agitation qui la caractérise agit à l'encontre du processus de surfusion, ce qui lui permet de geler plus rapidement.
Se baigner dans l'eau fraîche d'un lac ou d'une rivière lorsqu'il fait très chaud peut être dangereux en raison des risques d'hydrocution et donc de noyade.
L'été fut rude et se baigner dans les lacs d'altitude, tentant. Dans la plupart des cas très règlementée, cette baignade a un impact indéniable sur la faune et la flore. Entre surfréquentation, régulation et protection, état des lieux des lacs et de leurs écosystèmes fragiles.
Une piscine gelée, c'est possible !
Ce phénomène a lieu lorsque la température de l'air passe d'une valeur positive à une valeur inférieure ou égale à 0 °C.
Le point de congélation de l'essence est de -60 °C. Il est donc peu probable de voir un réservoir d'essence geler même dans les plus grands froids. Le diesel, lui, est un peu plus frileux. Il résiste à des températures de -15 °C ou -20 °C.
Oui, comme tout alcools, la bière gèle. L'eau gèle à 0 C et le point de congélation de l'alcool éthylique pur est de -114 C.
C'est la densité de l'eau qui joue un rôle dans la formation de courants marins de profondeur. L'eau plus dense plonge en profondeur alors que l'eau moins dense remonte en surface. La salinité et la température influencent la densité de l'eau.
« À cause du sel, l'eau de mer ne gèle pas à 0 °C comme l'eau douce (non salée). Elle commence à geler à partir de – 2 °C. Par ailleurs, plus l'eau est profonde, plus il faut de temps pour que la glace se forme. Une mer ou un océan gèlera donc uniquement s'il fait – 2 °C ou moins pendant plusieurs semaines.
En substance, l'eau froide salée dans l'Atlantique Nord coule parce qu'elle est plus dense et l'eau chaude plus au sud se déplace vers le nord pour prendre sa place, transportant une énergie thermique considérable en chemin.
Les eaux de haute montagne cristallines sont généralement épargnées de risques de contamination en tout genre mais elles méritent précaution du fait qu'elles sont froides et très peu minéralisées, donc peu digestes. Il faut absolument éviter les eaux d'écoulement en alpages ou en aval, de manière générale.
Baignade interdite au Lac Blanc, on y vient pas pour cela…
Effectivement, ce lac sert à alimenter le lac noir où se trouve une centrale hydroélectrique, donc on ne s'y baigne pas c'est très dangereux.
En vertu de son pouvoir de police, le maire d'une commune peut limiter, voire interdire, la baignade dans un étang ou une rivière. Il peut le faire pour un motif de sécurité (sables mouvants, forts courants, roches…) ou de salubrité publique (présence d'algues vertes, bactéries, pollution aux hydrocarbures…).
Le risque majeur en rivière ou en fleuve est le risque d'infections. En effet, en milieu naturel, l'eau n'est pas traitée et peut être polluée par des algues, par des eaux usées ou des déchets toxiques rejetés par les industriels.
Dans les fleuves ou les rivières, les risques de pollution sont élevés. La contamination peut venir de la prolifération d'algues, du rejet d'eaux usées, de la présence de déchets toxiques ou de bactéries éventuelles. Cette pollution peut provoquer des problèmes de peau ainsi qu'aux yeux, aux oreilles et à la gorge.
La matière organique génère de l'acide humique à la suite de la décomposition des végétaux (Actu-Environnement, 2003). Ce sont ces acides humiques qui donnent une couleur marron à l'eau en région. Ils se retrouvent principalement dans les tourbières et les sols forestiers sur le territoire.
L'eau chaude gèle plus vite que l'eau froide. Enfin… Dans certaines conditions. Il s'agit d'un phénomène connu depuis très longtemps, mais qui n'est pris au sérieux par la communauté scientifique depuis les années 1960.
L'eau de surface initialement douce se retrouve remplacée par de l'eau située dans une couche immédiatement en dessous. Mais plus on descend en profondeur et plus l'eau est froide car les rayons du soleil sont absorbés par toutes les couches supérieures.
L'astuce du sel pour conserver la glace
Si vous souhaitez utiliser un récipient pour conserver vos glaçons sans congélateur, n'hésitez pas à tapisser celui-ci de gros sel et de le recouvrir de papier d'aluminium avant de verser vos glaçons.