La mastication va donc permettre de découper, de broyer les aliments afin d'en obtenir de plus petits morceaux qui pourront être correctement déglutis ; ce qui permettra, entre autre, d'éviter les « fausses routes ». Les dents sont le premier relai de cette étape cruciale suivies de la salive.
Si vous mâchez 24 fois, toutes les informations concernant cette nourriture arrivent dans l'organisme et chaque cellule sera capable de juger ce qui est bon et pas bon pour vous, pas en terme de goûts mais ce qui est bon pour votre organisme.
Mastication et perte de poids
Vous ignorez sans doute que la mastication est une méthode très efficace pour perdre du poids, grâce à une meilleure digestion de la nourriture que l'on ingurgite et une meilleure assimilation des macronutriments qu'elle nous apporte (sucres, corps gras et protéines).
La mastication a lieu dans la bouche et se définit par une "trituration" des aliments entre les molaires, qui se fait grâce aux mouvements des mâchoires, de la langue et des joues. L'homme doit mastiquer les aliments pour constituer le bol alimentaire.
Ralentir la vitesse à laquelle on mange, et éviter de manger dans les deux heures précédant le coucher peut réellement aider à perdre du poids, selon une nouvelle étude scientifique, basée sur les données de près de 60.000 personnes.
Médecins et spécialistes de la santé s'accordent à dire que la marche est un excellent choix pour perdre du poids : elle permet à vos muscles de brûler des calories en puisant dans vos réserves de graisses.
Il faut mâcher entre 15 à 20 fois un aliment
Les diététiciens-nutritionnistes préconisent de mâcher entre 15 et 20 fois un aliment avant de l'avaler.
Mastiquer facilite la digestion
En prenant le temps de mastiquer, on anticipe et on facilite donc le travail de l'estomac. Une plus longue mastication aide notamment à diminuer certains troubles digestifs (les reflux gastriques, les ballonnements, les flatulences et les maux de ventre, etc).
On peut manger plus de six œufs par semaine sans risques. FAUX. On conseille en général aux adultes en bonne santé de consommer 5 à 6 œufs par semaine, pas plus, les œufs étant une source alimentaire importante de cholestérol (186 mg par œuf).
En mangeant, vous avalez de l'air et plus vous mangez vite, plus vous avalez de l'air. C'est cet afflux d'air qui provoque des désagréments : ballonnements, crampes abdominales ou gargouillis… Ces douleurs bénignes restent gênantes dans la vie quotidienne et peuvent vous stresser.
En ce sens, mâcher permet d'atteindre l'aliment dans ses profondeurs. La mastication masse l'espace interne de la tête et du cou. C'est une gymnastique pour maintenir en bon état votre crâne et votre visage. Pour une stimulation équilibrante, mâchez à droite mais aussi à gauche.
Cette action, qui consiste à broyer la nourriture, est souvent négligée. Pourtant, prendre le temps de bien mâcher les aliments peut être bénéfique pour la santé. Ce réflexe simple permet aux aliments d'être mieux assimilés et ainsi de bien digérer. Mastiquer correctement pourrait aussi favoriser la perte de poids.
La mastication s'arrête pour permettre la déglutition. Tout cela se fait de façon volontaire, mais l'activité de mâcher et sa coordination se font de façon inconsciente. Les problèmes de mastication sont généralement dus à des problèmes de dents ou de mauvaise congruence des mâchoires.
À quoi sert la mastication? Elle permet de couper, de déchirer et de broyer les aliments. Sans ces actions préalables, la salive ne peut réaliser sa tâche prioritaire, soit la dégradation initiale des aliments (notamment de l'amidon) qui va permettre une meilleure absorption des nutriments dans l'estomac et l'intestin.
Risques et inconvénients
Risque de foulures et d'entorses aux chevilles, principalement lorsqu'on ne prend pas le temps de s'échauffer avant l'effort, ou si on marche en terrain accidenté. Risque d'ampoules ou de douleurs aux pieds, surtout dans les premiers temps ou lorsqu'on est mal chaussé.
des céréales riches en fibres : avoine, pain complet, pain aux céréales, biscottes, céréales non sucrées ; des lipides de qualité : margarine, huile végétale, oléagineux, graines ; une boisson non sucrée pour réhydrater l'organisme : café, thé, tisane, eau citronnée, eau infusée, jus 100 % pur jus.
La raison est que l'organisme a un métabolisme plus lent et brûle donc moins de calories et de graisses. On remarque alors une accumulation de la graisse abdominale, donc l'augmentation du ventre.
Les recettes d'œufs mollets, brouillés, en omelette sont adaptées. Les légumes fibreux cuits peuvent être passés au moulin à légumes pour retenir la fibre. Les légumes cuits et fondants doivent être coupés en petits morceaux et être accompagnés ou enrobés d'une sauce ou d'une purée.
Ce phénomène a fait l'objet d'une étude scientifique en 2009, publiée dans The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism. Elle démontrait que les risques d'obésité augmentent chez les personnes qui prennent des repas trop rapides, car ont tendance à augmenter leurs apports énergétiques.
En mangeant vite, vous avalez de l'air, ce qui peut provoquer les désagréments suivants : ballonnements, douleurs abdominales, douleurs à l'estomac, maux de ventre, reflux des sucs gastriques...
Le temps que l'on prend pour manger est important : notre cerveau a besoin de temps pour recevoir des signaux de l'estomac qui l'informent que l'on est en train de manger. On dit qu'il lui faut environ 20 minutes pour nous faire ressentir que nous avons suffisamment mangé.