Nous consommons des aliments parce qu'ils fournissent l'énergie qui permet à notre corps de demeurer en vie. En plus de donner de l'énergie, les aliments apportent également tous les éléments nutritifs nécessaires au bon fonctionnement de notre corps.
Notre corps n'est pas assez autonome pour en produire seul, voilà pourquoi je lui en procure par le biais de mon alimentation. Sachez que les vitamines et minéraux contenus dans les fruits et les légumes sont des antioxydants stimulent le cerveau et qui favorisent la santé mentale.
Rechercher la satisfaction et le plaisir de manger
Dès la naissance, la nourriture est une source de réconfort, de bien-être et de sécurité pour le bébé. À l'âge adulte, manger continue de nous procurer du plaisir à plusieurs niveaux : physiologique, sensoriel, psychologique, culturel, etc.
Une alimentation saine aide à se protéger contre toutes les formes de malnutrition, ainsi que contre les maladies non transmissibles parmi lesquelles le diabète, les cardiopathies, les accidents vasculaires cérébraux et le cancer.
Le rôle d'une mauvaise alimentation est en effet prouvé pour de nombreuses pathologies : cancers, maladies cardiovasculaires, diabète (3,7 millions de diabétiques sont traités en France en 2015), surpoids et obésité (17 % des adultes en France sont obèses et un tiers sont en surpoids, chiffres qui, chez les enfants, ...
Qu'il soit un moment de gourmandise, de partage ou de détente, l'acte de manger permet de se faire plaisir tout en apportant à son organisme ce dont il a besoin. Dans cette recherche de plaisir, les consommateurs privilégient la qualité à la quantité. L'alimentation devient alors un vrai plaisir épicurien !
Si manger et surtout bien manger est un besoin vital pour le corps, c'est aussi un plaisir. Tout d'abord celui des sens : le goût, l'odorat, le toucher, la vue mais aussi l'ouïe peuvent être tous en éveil lorsque l'on s'alimente.
Prenez le temps de regarder, de humer puis de déguster doucement votre repas. Ralentissez au mieux votre rythme, mastiquez, posez vos couverts, buvez une gorgée… En cas d'envie de grignoter en dehors du repas, obligez-vous à vous asseoir et à le manger lentement en l'appréciant.
Lors d'une dépression, la perte d'appétit peut survenir en raison d'une absence de plaisir générale. Lors d'un état de stress ou d'anxiété, une poussée d'adrénaline peut avoir lieu et dirige le sang vers le cerveau, le cœur et les muscles en délaissant le système digestif ce qui peut provoquer un manque d'appétit.
En pratique, un stress très violent et très important coupe l'appétit parce qu'on n'arrive pas à mettre en route un mécanisme protecteur. Pour ce qui est des stress d'intensité moyenne ou faible, on arrive très bien à l'activer. En l'occurrence, on mange.
"La faim protège notre poids, elle annule l'effet grossissant des aliments, car elle signale un déficit énergétique du corps. De plus, on mange moins quand on respecte sa faim", insiste le Dr Jean-Philippe Zermati, nutritionniste. L'envie s'apparente à la gourmandise ou à une pulsion de compensation.
Choisissez une recette simple
Ne tentez pas d'impressionner vos invités avec des plats trop longs à préparer que vous n'aurez pas le temps de terminer. Commencez à votre rythme et surtout, ayez confiance en vos capacités! Vous pouvez ainsi cuisiner une soupe, une salade, des œufs, des pâtes ou même un sandwich.
Elle crée des échanges (bien souvent, de trucs et astuces !) et renforce le sentiment de proximité avec nos proches. Elle est aussi l'occasion de découvrir de nouvelles personnes (par exemple, lorsque l'on prend des cours de cuisine ou que l'on se porte volontaire lors d'événements associatifs).
On peut proposer un apport en toutes petites quantités sur la langue d'une crème au goût aimé, d'un fruit écrasé (framboise ou autre), d'une compote ou d'une mousse, afin de ne pas priver la personne en fin de vie de sensations potentiellement agréables.
La volonté de manger sain à tout prix, de contrôler le contenu de son assiette vire à l'obsession chez certaines personnes. Appelée « orthorexie », cette pathologie contemporaine, nourrie par les scandales alimentaires et les recommandations sanitaires, est l'expression d'un mal-être.
L'hyperphagie est un trouble du comportement alimentaire qui toucherait près de 600 000 personnes. Si l'hyperphagie est caractérisée par le besoin de manger de façon compulsive, elle se distingue de la boulimie par l'absence de comportements compensatoires, comme se faire vomir ou prendre des laxatifs.
On parle d'hyperphagie boulimique lorsque les épisodes récurrents de crises de boulimie ne sont pas associés à des comportements compensatoires (vomissements, utilisation de laxatifs...). En général l'hyperphagie boulimique occasionne un surpoids ou une obésité et génère une souffrance psychique.
Une mauvaise alimentation peut engendrer de la fatigue.
Du coup, il est obligé de faire des priorités. Par exemple, il privilégie l'oxygénation du cerveau à la force musculaire, ce qui explique que vous ayez moins d'énergie pour bouger ou faire de l'exercice.
Consommer viande, poisson et autres produits de la mer ou œufs 1 à 2 fois par jour, en favorisant les viandes maigres et la consommation de poisson. Limiter la consommation de pâtisseries, sucreries et boissons sucrées. Limitez le vin (s'il n'est pas formellement déconseillé) à un verre par jour.
Cuisiner est une forme d'expression et de communication productive. "Cuisiner permet de laisser les gens exprimer leur créativité", explique au HuffPost Donna Pincus, professeure de Psychologie et Sciences du Cerveau à l'Université de Boston.
Une alimentation équilibrée joue un rôle clé dans le maintien de son poids. Ainsi, cuisiner maison est bon pour la santé, permet de prendre soin de son corps et de maintenir un mode de vie sain pour soi et toute sa famille.