Portrait de John J. Fitz Gerald en 1913. Le journaliste affirme avoir entendu ce surnom dans des écuries à la Nouvelle-Orléans : un employé parla de « Big Apple » pour désigner New York. La ville de New York possédait alors les plus grands champs de course des États-Unis et les prix, les Apples, les plus importants.
Une explication apocryphe dit que le terme vient de l'argot jazz : chez les musiciens de jazz, dont beaucoup, dans les années 1920 et 1930, vivaient souvent au jour le jour, les engagements occasionnels étaient parfois appelés des « pommes ». Jouer à New York était considéré comme un « grand moment ».
New York – Big Apple (La grosse pomme)
Son surnom “Big Apple” est apparu pour la première fois dans le livre de Edward Sandford Martin The Wayfarer of New York, de 1909, puis a par la suite été réutilisé dans des journaux américains et s'est ainsi répandu.
New York a de nombreux surnoms, parmi lesquels « la Grosse Pomme » (Big Apple), « Gotham », « La ville qui ne dort jamais », « La ville debout », etc.
Dénommée Venetiae en latin, elle est parfois surnommée la « Cité des Doges », la « Sérénissime », la « Reine de l'Adriatique », la « Cité des Eaux », la « Cité des Masques », la « Cité des Ponts » ou encore la « Cité flottante ».
La Ville blanche est également le surnom de la capitale portugaise Lisbonne, en raison de la luminosité qui empreint ses façades ocre.
Italie : la Péninsule, la Botte (à cause de sa forme géographique : les Pouilles en forment le talon…) ; l'adjectif transalpin (par rapport à la France) désigne une chose qui est italienne mais pour les Italiens, cela désigne la France car trans signifie en latin « de l'autre côté, au-delà » ; il bel paese.
L'arbre choisi, souvent un épicéa mesure en moyenne entre 23 et 27 mètres, et est devenu un véritable symbole de la ville en période de Noël depuis la première fois qu'il a été installé, en 1931. Le sapin de Noël du Rockefeller Center, avec à son pied la statue de Prométhée.
Il signifia la capitulation de la ville le 6 septembre 1664 et les Anglais prirent possesion de la ville deux jours plus tard. C'est ainsi que La Nouvelle-Amsterdam changea de nom pour devenir New York, en l'honneur du frère du roi Jacques, le duc d'York.
Le nom de « Manhattan » provient du lenape, une langue de la famille de l'algonquin. Tout d'abord écrit Manna-hata, le nom signifiait probablement « île aux nombreuses collines ».
New York, la Big Apple
Le terme était utilisé par le journaliste hippique des années 20 John J. Fitz Gerald dans le New York Morning Telegraph pour parler des récompenses offertes aux vainqueurs des grandes courses de cheveux. L'appellation deviendra en 1924 le nom de sa rubrique : "Around the Big Apple".
De La Nouvelle-Amsterdam à La Nouvelle-York
La naissance de New York se fait pacifiquement : en 1626, Peter Minuit, gouverneur de la colonie, achète l'île de Manhattan aux Indiens. Les premières relations avec les Indiens du coin sont commerciales et inégales.
Les États-Unis sont surnommés Oncle Sam. Rien à voir avec des liens de parenté, mais ce surnom remonterait à la guerre de 1812 entre les Anglais et les Américains. Les soldats Etatsuniens recevaient des caisses de vivres marquées "US", pour "United States", qu'ils ont appelés familièrement "Uncle Sam".
Nom propre. La Grosse Pomme, c'est à dire la ville de New York.
New York, "la ville qui ne dort jamais", veut baisser le son.
Origine. Cette métaphore désigne historiquement la ville de New York, aux États-Unis, mais pourrait désigner génériquement toute très grande ville. New York est réputée pour avoir une activité intense et permanente, dont les façades lumineuses illuminent la ville en continu.
Si New York, ses habitants et ses visiteurs se souviennent qu'elle portait, entre 1626 et 1664, le nom de Nouvelle Amsterdam, son premier patronyme est, lui, passé aux oubliettes.
Le 2 février 1625, les Hollandais construisent un fortin sur Manhattan, l'une des nombreuses îles et presqu'îles qui composent l'embouchure du fleuve Hudson. L'établissement est baptisé La Nouvelle Amsterdam (Nieuw Amsterdam en hollandais).
Le drapeau de la ville de New York est constitué de bandes verticales bleue, blanche et orange avec un blason au milieu centre. Ce blason comporte un aigle, symbole des États-Unis, et deux castors, emblèmes de la première société implantée ici.
L'arbre de la liberté s'inspire d'une ancienne coutume qui consistait à planter au printemps un arbre, synonyme de renouveau. À la fin d'une période de trouble, il fut aussi de tradition d'installer un « mai » pour marquer la fin des conflits.
L'Arbre de Vie (Etz haHa'yim עץ החיים en hébreu) représente symboliquement, dans la Kabbale, les lois de l'Univers (certains auteurs le rapprochent de l'arbre de la vie mentionné par la Genèse en 2:9). Sa description est considérée comme celle de la cosmogonie de la mystique kabbalistique.
La forme géographique de la France métropolitaine ressemble à un hexagone, ou peut s'inscrire dans un hexagone (3 côtés terrestres et 3 côtés maritimes). C'est la raison pour laquelle l'expression Hexagone est fréquemment utilisée pour désigner le territoire français ou, par extension, le pays proprement dit.
Les joueurs belges sont surnommés "les Diables Rouges". Ce surnom remonte à 1906 et on le doit à un journaliste : Pierre Walckiers de La Vie Sportive.
Le pays du cèdre
On le trouvait autrefois en abondance à partir de 1500 mètres d'altitude, en particulier sur le mont Liban qui a donné son nom au pays.