Habituellement, ils sont censés envoyer un message de faim au cerveau quand l'organisme est en manque. Autrement dit, ce sont ces cellules nerveuses qui contrôlent notre appétit. Mais avec le cannabis, les neurones POMC sont troublés. Avec la marijuana, ils envoient un message de faim, même quand l'organisme est repu.
Lorsqu'on fume, le THC (le Tétra-Hydro-Cannabinol, la principale molécule active) présent dans le cannabis est transformé par notre organisme et produit des cannabinoïdes. Ils vont stimuler nos régulateurs d'appétit et faire dire à notre cerveau : « MANGER MANGER MANGER ! ! ! ».
L'explication serait que le THC, en se fixant notamment sur les récepteurs cannabinoïdes de l'hypothalamus, modifie les sensations de faim et de soif contrôlées par cette partie du cerveau.
Elle perturbe les perceptions sensorielles, en particulier la vue, et provoque des troubles psychiques variés et variables d'une prise à l'autre : euphorie, tristesse de l'humeur, anxiété (voire crise d'angoisse), dépersonnalisation, irritabilité, pouvant aller parfois jusqu'à un tableau délirant et, dans de très rares ...
Parfois, les comprimé d'ecstasy peuvent contenir d'autres drogues et substances. Effets: Sous l'influence de l'ecstasy, on peut se sentir plus alerte et plus en harmonie avec son environnement. On se sent heureux, calme et l'on éprouve des sentiments chaleureux envers les autres.
Effets du cannabis sur la santé: fumer un joint par jour pendant 20 ans n'endommagerait pas les poumons. SANTE - Fumer un joint par jour pendant 20 ans ne causerait rien de dommageable aux poumons, contrairement au tabac.
Sous l'influence du cannabis, au lieu de signaler la satiété, ces neurones envoient le message inverse en sécrétant des endorphines. Résultat: le cerveau croit que l'organisme a faim, même s'il est plein comme une huître.
D'autres aiment cette drogue parce qu'ils se sentent plus attirants lorsqu'ils en prennent. Et d'autres encore consomment de la méthamphétamine parce qu'elle agit comme coupe-faim.
- Les amphétamines sont des psychostimulants et des anorexigènes (coupe l'appétit) puissants. Très toxiques et entraînant une forte dépendance psychique, ils se présentent généralement sous la forme de poudre à sniffer ou de comprimés à avaler.
(Nom 2) (Années 1970) De l'anglais joint , emprunté au français et qui a pris, dans l'argot américain, sous la prohibition, le sens de « lieu de rencontre plus ou moins illégal » où boire de l'alcool, fumer de l'opium, etc., et, par métonymie, le lien pour se shooter, la cigarette de marijuana, etc.
La foncedalle, c'est le phénomène qui arrive après avoir fumé quelques joints de marijuana. En gros, même après une choucroute garnie et ses excellentes saucisses, on a faim. C'est mathématique. Ce phénomène est désormais explicable grâce à la science.
Sensation de faim insatiable souvent associée à la consommation de cannabis.
La Dre Zaleski-Zamenhof décrypte : « La nicotine accélère le métabolisme et brûle environ 200 calories par jour. Elle augmente également le taux de glycémie dans le sang, ce qui a un effet anorexigène : on a moins faim. » Il est donc exact que fumer « aide » à moins manger et « brûle » des calories.
Les différents types d'amphétamines et les drogues à base d'amphétamine, comme le méthylphénidate (p. ex., le Ritalin), sont des stimulants. Les stimulants accélèrent l'activité du système nerveux central. Ils agissent comme l'adrénaline, une hormone stimulante naturellement produite par l'organisme.
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
Allumez votre joint de la bonne façon
Cependant, allumer correctement votre joint est une étape extrêmement importante pour écarter le risque d'une combustion inégale. Il ne s'agit pas simplement d'allumer et d'inhaler.
Résultat: la plus dangereuse serait l'alcool. L'héroïne arrive en deuxième position, suivie de près par la cocaïne. Le cannabis est bon dernier, qualifié de drogue "à risque de mortalité faible".
La première utilisation documentée d'un joint remonte à environ 1850 au Mexique. Un pharmacien de l'Université de Guadalajara a découvert que les travailleurs agricoles mélangeaient de la weed avec du tabac dans leurs cigarettes.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
On dit que l'ecstasy est la drogue de l'amour car elle a pour effet d'induire un état d'euphorie et d'empathie pour les autres qui favorisent les relations (effet empathogène).