Le cinéma nous fait des cultes, nous enseigne l'histoire, nous laisse de grandes leçons d'intelligence émotionnelle, nous éduque aussi de l'amour, et même des techniques d'autodéfense contre les malfaiteurs ou les zombies.
Apaisement, sentiment de contrôle et madeleine de Proust sont donc les différents facteurs qui nous encouragent à regarder nos films préférés, et autres, sans s'arrêter. Il ne nous reste plus qu'à mater (encore) Dirty Dancing sur Netflix !
Confort et nostalgie
Un film peut aussi être associé à un souvenir particulier, ou une personne précise. Si ceux-ci nous sont agréables, alors nous pouvons avoir l'impression de revivre ce moment qui nous a fait du bien. Une sorte de nostalgie positive sans trop d'efforts.
Au cinéma, l'expérience esthétique d'une œuvre est magnifiée car l'œuvre existe dans toutes ses possibilités, sous tous ses angles et sous toutes ses coutures. Et grâce à ce dispositif, chacun voit le film à sa manière. Tout le monde peut aimer les films différemment.
Le cinéphile est un amateur de cinéma. Il s'agit d'un passionné de cinéma, quelle que soit son organisation et quelle que soit son expression. Nom relatif à la cinéphilie, qui signifie amour du cinéma.
cinéaste n. Auteur ou réalisateur de films.
Une scène post-générique est une courte séquence qui apparaît après la totalité de clôture d'un film.
Il nous apporte une pause dans notre quotidien, nous permet de nous regrouper et de faire marcher notre cerveau. Une thérapie grâce au cinéma, la filmothérapie, a d'ailleurs vu le jour pour réduire le stress et faciliter le rétablissement.
"Lorsqu'on aime la vie, on va au cinéma" alors que c'est le contraire : Quand la vie nous déçoit on regarde des films. Le titre est une citation paraphrasée de François Truffaut.
Cinq principales justifications expliquent leur désertion : tout d'abord « une perte d'habitude d'aller au cinéma » (pour 38 % des sondés), puis « la perception du prix du billet » (36 %), « le port du masque » (33 %), « la préférence pour regarder des films sur d'autres supports » (26 %) et enfin « le manque d'intérêt ...
Les gens vont privilégier les séries car elles sont chapitrées et normalement moins longues que les films. Chaque fin d'épisode est une voie de sortie. Il est donc plus facile d'arrêter de regarder une série qu'un film. Les voies de sorties sont plus aisées, c'est moins long que pour un film.
Regarder quelqu'un droit dans les yeux entraîne ce que l'on appelle une activation. Cette personne va augmenter son niveau d'excitation émotive. Elle se sent plus impliquée, comme si on allait lui poser une question ou lui demander quelque chose.
Notre sentiment de nostalgie nous pousse également à revoir les films ou séries qui nous ont marqué. Ces œuvres culturelles servent de "machine à remonter le temps". Elles font resurgir des souvenirs enfouis.
Selon notre expert, la raison pour laquelle il n'y a pas beaucoup de lieux différents est de développer une familiarisation avec ces personnages et ces lieux. « Répéter son visionnage, c'est entrer dans un processus de familiarisation ». Et lorsqu'on regarde la série à nouveau, forcément, on sait à quoi s'attendre.
En somme, c'est peut-être cela que nous apprécions, plus globalement, dans les films d'amour : parce qu'ils esthétisent une rencontre amoureuse, ils nous rappellent que désirer quelqu'un, c'est en quelque sorte voir cette personne comme dans un film.
On regarde les mêmes films pour sentir que nous avons le contrôle. C'est peut-être l'une des raisons les plus importantes qui nous poussent à revoir constamment le même film. En effet, savoir à l'avance tout ce qui va se passer nous donne un grand sentiment de contrôle.
« Le cinéma est mort, vive le cinéma ! », d'Antoine de Baecque : sauve qui peut (la mort)
Un film biographique, également connu dans le milieu du cinéma sous l'anglicisme biopic (contraction de « biographical motion picture »), est une œuvre cinématographique de fiction, centrée sur la description biographique d'un personnage principal qui a réellement existé.
Depuis son invention, le cinéma est devenu à la fois un art populaire, un divertissement, une industrie et un média. Il peut aussi être utilisé à des fins publicitaires, de propagande, de pédagogie ou de recherche scientifique ou relever d'une pratique artistique personnelle et singulière.
L'enjeu est ce qui anime le protagoniste. Il le motive tout au long du scénario et en fin de compte fait avancer l'histoire (c'est d'ailleurs ce que l'on attend d'un protagoniste).
En regardant un film en anglais, vous aurez l'occasion de découvrir une panoplie de variantes de mots et de phrases utilises au quotidien. Et selon le film que vous regarderez, vous serez probablement amenés à entendre du « slang », un langage familier que vous ne retrouverez pas dans un livre d'anglais.
D'un point de vue commercial, un échec cinématographique, couramment appelé bide, raté, fiasco, flop ou four, se dit d'un film dont le succès ne couvre pas suffisamment les dépenses engagées pour sa production, sa distribution et sa promotion.
Un pré-générique est une courte scène d'introduction durant environ cinq minutes qui précède le générique d'un film. Cette pratique plutôt courante dans le cinéma est la marque de fabrique de la série des James Bond.
Le terme « photogramme » peut aussi désigner, en termes de cinéma, la plus petite unité de prise de vue, l'une des photos élémentaires dont un film est constitué, à raison de 24 images par seconde à la cadence normale de prise de vues dans le cinéma dit argentique.
Le réalisateur est responsable de la réalisation d'un film ou d'une émission de télévision.