Étymologie. De
Chleuh est un terme argotique notamment employé en France, autour de la Seconde Guerre mondiale, détournement du nom d'un peuple berbère du Maroc, les Chleuhs, pour désigner de manière péjorative les Allemands dont l'efficacité sur le champ de bataille était semblable à celle des Berbères qui composaient l'essentiel de ...
Les Chleuhs (chleuh : ⵉⵛⵍⵃⵉⵢⵏ Icelḥiyen) sont un groupe ethnique berbère de langue chleuhe, variante du berbère, et majoritairement de confession musulmane sunnite qui représentent 55% des berbères marocains (8 à 10 millions de personnes) et vivant surtout dans le centre et le sud du Maroc.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
Boche est un terme péjoratif pour désigner un soldat allemand ou une personne d'origine allemande, mot qui a été utilisé pendant la guerre franco-allemande de 1870 puis plus largement par les Français, les Belges et les Luxembourgeois de la Première Guerre mondiale jusque bien après la Seconde Guerre mondiale.
Le dérivé fridolin apparaît en 1917, mais il aurait été présent dès 1880 selon Chautard. Une variante frigolin aurait été plus fréquente entre les deux guerres selon Esnault. La construction de ce nom est complexe. Le nom frigolin peut se référer au froid, au frigo, et donc au caractère présumé des Allemands.
Les Auvergnats ou Bougnats étaient perçus péjorativement. "Bougnat", pour dénigrer quelqu'un, aurait donné Bougnoule. On dit que les Allemands (occupants en 40/45) en France auraient aussi utilisé "Bougnoule" pour les Français.
dérivé de allemand , avec le suffixe -boche ; la déformation de altdeutsch (« vieux allemand ») selon une enquête et un article de L'Est républicain datant de 1914 ; altdeutsch était entendu par les Français comme Alldoche devenu Alboche.
Mein Engel : mon ange ; Mein Herz : mon cœur, mon amour ; Meine Maus : ma souris ; Mein Liebling : mon amour.
fridolin
Familier, péjoratif, vieilli. Allemand, en particulier soldat allemand. (Surnom utilisé surtout pendant la Seconde Guerre mondiale.)
L'islam s'est installé au Moyen Âge et il constitue la religion majoritaire des Kabyles. Son influence sur la culture, la société est majeure ; et ce à travers diverses périodes historiques. Au début de la conquête musulmane du Maghreb, la population berbère se convertissait massivement.
Le tachelhit, ou chleuh (en berbère : ⵜⴰⵛⵍⵃⵉⵜ tacelḥit) est une langue berbère parlée par les Chleuhs au Maroc. Avec 8 à 10 millions de locuteurs, le tachelhit est la plus importante langue berbère du monde, par le nombre de locuteurs et par l'ampleur de son extension.
Dans la langue française, on usait, durant la Seconde Guerre mondiale, d'un terme particulier pour désigner l'occupant allemand : le Chleuh. Ce mot vient du Maroc où il est utilisé, par les arabophones, pour désigner les berbérophones.
un terme français argotique (au pluriel Les Fritz) plutôt péjoratif qui servait à désigner les Allemands durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, venant probablement du fait qu'il s'agissait d'un prénom allemand assez courant.
Au Moyen Âge, les Teutons inspirent le nom français des chevaliers Teutoniques (Deutscher Orden en allemand) et plus tard, le nom de Teutons désignera les Allemands avec des connotations ironiques ou péjoratives.
Mon ou ma chéri.e, mon amour, mon ange, mon cœur, mon ou ma Valentin.e... Toujours selon le sondage TNS Sofres pour Le Pèlerin, ce sont les surnoms classiques qui reviennent le plus souvent. D'après une étude réalisée en 2016 par le site de rencontres eDarling, le surnom le plus utilisé par les Français est "mon cœur".
"Mon amour, mon coeur, mon chéri" : des surnoms classiques
Mon amour, mon cœur, chéri(e) : ces petits noms sont le plus souvent donnés par les amoureux qui ont besoin de surnommer affectueusement leur moitié.
Pendant les huit premiers mois de la Seconde Guerre mondiale, il n'y a quasiment aucun combat. C'est la "drôle de guerre". La "guerre-éclair" ou "Blitzkrieg" prend le relais à partir du 10 mai 1940, date à laquelle les forces allemandes entrent en Belgique, au Luxembourg et aux Pays-Bas.
Le casque à pointe (en allemand : Pickelhaube) est un modèle de casque militaire utilisé par les armées prussiennes, puis allemandes au XIX e siècle et au début du XX e siècle. Sa pointe devait protéger les fantassins des coups de sabre de la cavalerie.
L'opération Barbarossa est la plus grande invasion de l'histoire militaire en termes d'effectifs engagés et de pertes : près de quatre millions de soldats de l'Axe pénètrent en Union soviétique. En plus des troupes, l'opération Barbarossa a mobilisé 600 000 véhicules et 600 000 chevaux.
- Les Allemands considèrent le Français comme arrogant mais ils nous prêtent une image de bon vivant. - Les Allemands estiment aussi que les Français ont un esprit de challengers, qu'ils sont souples et créatifs dans le cadre du travail mais qu'ils sont mal organisés et peu fiables.
Les Français sont vus comme des gens très raffinés, spécialistes de la mode et du maquillage (pour les femmes) et des arts (pour tous). Ils ont la réputation d'être très cultivés et très au fait des arts et de l'histoire de France . Le pendant négatif est l'impression de nationalisme, souvent doublé de chauvinisme.
La Bundeswehr (traduit en français par « Force de Défense fédérale » mais littéralement « Défense fédérale ») est l'armée nationale de la République fédérale d'Allemagne depuis 1955. Les forces armées de la République fédérale sont contrôlées en temps de paix par le ministère de la Défense (Verteidigungsministerium).