Assez vite, secundus a perdu sa finale en "us" et, peu à peu, on a commencé à le prononcer "seGond", sans doute tout simplement parce que c'est plus simple à articuler que "seCond".
La racine latine pour décider de l'orthographe
Pour faire leur choix, les lexicographes ont pris appui sur l'étymologie du mot. “Seconde” venant du latin “secundus”, qui veut dire “qui suit”, il a ainsi été décidé d'écrire le mot “seconde” pour le rendre plus en phase avec sa racine latine.
Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
Étymologie. (1370) Du latin secundus , de secundarius (« de second rang »).
Enfin, pour en revenir indirectement au mot «femme» et à son orthographe, on peut rappeler le fait connu que ledit mot dans un «remède de bonne femme», s'écrivait fame au Moyen Âge: il s'agissait en effet d'un remède de bonne réputation, de bonne «fame», qu'on retrouve dans l'adjectif«fameux», de grande renommée, et ...
« Lorsque qu'une femme dit non, elle veut dire peut-être ; lorsqu'elle dit peut-être, elle veut dire oui et lorsqu'elle dit oui, ce n'est plus une femme. » Cette phrase, je l'ai entendue au début des années 60, lorsque j'ai fait mon entrée sur le marché du travail, de la bouche de l'un de mes patrons.
Assez vite, secundus a perdu sa finale en "us" et, peu à peu, on a commencé à le prononcer "seGond", sans doute tout simplement parce que c'est plus simple à articuler que "seCond".
La seconde est la durée de 9 192 631 770 périodes de la radiation correspondant à la transition entre les deux niveaux hyperfins de l'état fondamental de l'atome de césium 133, la définition de la seconde, fondée sur une propriété de la matière, relève désormais du domaine de la physique.
La consonne t peut être prononcée [s] lorsqu'elle est suivie de la voyelle i dans les groupes tia, tie et tion. Souvent, les mots composés avec ces groupes appartiennent à une famille dans laquelle on trouve un t dans d'autres mots.
Le -s final de moins ne se fait jamais entendre devant un mot commençant par une consonne ni quand ce mot est en fin de phrase. Dans ces cas, moins se prononce toujours comme la deuxième syllabe de témoin.
La lettre c se prononce [s] devant les voyelles e, i et y. La lettre c se prononce [s] devant les voyelles a, o et u quand on lui ajoute une cédille : ç. La lettre c se prononcent [k] devant les voyelles a, o et u.
Le [r] latin était fortement roulé, prononcé avec la pointe (apex) de la langue rapprochée des alvéoles supérieurs, d'où son nom de r apical. Il émet un roulement d'autant plus fort que la consonne est sonore. Ce [r] est décrit par le maître de philosophie dans le Bourgeois gentilhomme.
Autre exemple : entendre, elle entend, entend-elle. C'est pour cette raison qu'on n'ajoute pas de t entre deux traits d'union comme dans y a-t-il, neige-t-il. Le d prononcé [t] suffit !
Se prononce \sə. ɡɔ̃\ plutôt que \sə. kɔ̃\, parce qu'un phénomène de voisement intervocalique s'est produit en ancien français : la consonne sourde [k], étant placée entre deux voyelles, s'est voisée en [ɡ].
Un dernier mot prononcé aujourd'hui avec le son [e] se disait autrefois avec [a] : hennir, le hennissement. On disait donc le cheval [ani]. Vous aurez surement remarqué que, dans tous les mots concernés, le e prononcé comme un a précède soit deux n, soit deux m, soit deux l. Et il y a une bonne raison à cela.
Si la seconde en tant qu'unité de mesure du temps s'appelle ainsi, c'est parce qu'elle est la seconde division de l'heure : la première est la minute, et la seconde division est donc la… seconde.
La seconde à la précision atomique
Un chercheur anglais, Louis Essen, a proposé de définir la seconde bien plus précisément en se basant sur les vibrations d'un atome de césium, qu'il savait pouvoir mesurer très exactement: la seconde est la durée de 9 192 631 770 périodes de vibration de cet atome.
La seconde est une unité de mesure du temps de symbole s (sans point abréviatif).
Seconde (lycée) — Wikipédia.
On part de 6 et on va jusqu'à la 1ere puis la terminale, l'équivalent de 0. Donc de façon décroissante. Pourquoi donc ? L'explication réside dans le fait que la Terminale est vue chez nous comme une classe préparatoire au baccalauréat, sorte de Graal, conclusion d'un long processus vers lequel tend toute la scolarité.
Il est également possible d'utiliser des formes abrégées comme première du secondaire, première secondaire ou encore 1re secondaire. Dans ces expressions elliptiques, si on utilise l'adjectif féminin première, c'est qu'il caractérise le nom année, qui demeure sous-entendu. Zoé adore ses élèves de troisième secondaire.
La tradition veut qu'on emploie « deuxième » lorsque l'énumération peut aller au-delà de deux, et « second » lorsque l'énumération s'arrête à deux. Cette distinction n'est pas toujours observée et certains écrivent indifféremment « deuxième » ou « second ».
C'est une règle que nous avons apprise très tôt : la plupart des substantifs forment leur pluriel en y adjoignant un « s ». Une marque la plus souvent muette à l'oral, ce qui explique la facilité avec laquelle on peut oublier de l'écrire.
La réponse simple. On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit.