On utilise souvent y aller pour signifier qu'on quitte l'endroit où on est, alors que s'en aller signifie qu'on se sépare des gens avec qui on est.
(Populaire) Le moment est venu d'agir, de partir.
Se mouvoir d'un lieu vers un autre, s'y rendre : Aller à pied chez soi. Aller à Brest. 2. Se déplacer pour accomplir une action, pour rendre visite à quelqu'un : Aller dîner en ville.
«aller la France», ou en un autre pays, ou un joueur, pour un encouragement, ne s'écrit pas comme ça. C'est «allez la France !» qui est juste (impératif).
aller bien signifie être en bonne santé. la réponse affirmative était , sans doute, une marque de bonne santé! Actuellement, on a bien d'autres critères de bonne santé, mais la formule "allez-vous bien "est restée. j'espère que vous allez bien!
vient du fait que, dans le temps, tout pouvait être analysé en observant les selles. Sous Louis XIV. certains nobles avaient le grand honneur de pouvoir observé les selles du roi-soleil dès le matin, et en prédire sa santé. Donc: Comment allez-vous (à la selle?) et ensuite, d'une manière plus familiale: Comment ça va?
Formule interrogative moins familière et plus polie que "ça va ?". Leur sens est pourtant le même puisqu'on s'enquiert de la santé physique ou morale d'une personne. On s'attend à la réponse "Bien" ou "Mal". Exemple : Comment vas-tu ce matin ?
aller n.m. Action d'aller quelque part. aller v.i. Se mouvoir d'un lieu vers un autre, s'y rendre.
On écrit « je suis allé » lorsque le contexte de la phrase exprime une idée de mouvement, de déplacement.
En effet, “bonne nuit” s'utilise exclusivement avant d'aller dormir. Si tu rencontres quelqu'un le soir, tu vas lui dire “bonsoir” et si tu quittes quelqu'un vers 21 heures par exemple, tu vas lui dire “bonne soirée“. Il faut utiliser “bonne nuit” seulement quand il est l'heure de dormir!
Venir est un verbe déictique (Fillmore 1967/1975 [1997]), à savoir que le déplacement est orienté vers une subjectivité dont l'actant se rapproche (afférence) ; aller est, quant à lui, un verbe non déictique.
ALLANT, adjectif
Faisant preuve d'entrain.
(Auxiliaire) Suivi d'un infinitif, il sert de semi-auxiliaire pour conjuguer un verbe au futur proche, indiquant que quelque chose est sur le point d'avoir lieu.
IL FAUT marque une nécessité, une obligation. Il peut être suivi d'un verbe à l'infinitif.
Dans l'interrogation indirecte, quand s'emploie sans inversion du sujet et de préférence sans la locution est-ce que : je me demande quand vous viendrez (plutôt que : je me demande quand est-ce que vous viendrez).
— Je vais bien, merci !
s'acheminer, approcher, s'approcher, cheminer, se diriger, faire route vers, se promener, se rendre, se transporter.
S'il y a une notion de mouvement, dites plutôt « je suis allé » que « j'ai été ». L'emploi de « être » pour « aller » lorsqu'on le fait suivre d'un verbe à l'infinitif ou d'un complément de lieu relève du langage familier. Ne dites donc pas : J'ai été au cinéma voir le dernier Spielberg.
« J'ai été » fait partie du langage familier et est utilisé pour décrire une situation statique ou bien un état. « Je suis allé » fait partie du langage soutenu et est utilisé pour exprimer une idée de mouvement.
Eh bien, la réponse est simple: puisqu'il y a une idée de mouvement, de déplacement, il vaut mieux employer le verbe ALLER et dire: Je suis allé à Paris. Bien sûr, il faudra accorder le participe passé au féminin si le sujet est une femme: Je suis allée à Paris.
"suis" ("être") est au présent et "allé" est le participe passé du verbe "aller".
– Ça va bien, merci et vous, Bertrand, vous allez bien? Comme on le voit, on peut répondre à la question “Comment ça va?” en disant “Je vais bien.” ou “Ça va bien.” En général, les Français utilisent ces deux expressions dans un contexte plutôt formel.
Si on tutoie la personne (c'est-à-dire si on lui dit TU), il faudra dire alors: Bonjour, comment vas-tu? “Comment allez-vous?” et “Comment vas-tu?” appartiennent au langage soutenu.