Dans l'ISS, il dormira à la verticale dans une sorte de sac de couchage accroché au plafond afin d'éviter que son corps ne flotte dans l'air. "C'est très confortable parce qu'on n'a pas le poids du corps et on dort extrêmement bien en impesanteur", a-t-il assuré dans une vidéo datant de 2016.
LE SOMMEIL DES ASTRONAUTES DANS L'ESPACE
Dans l'espace, il n'y a pas de « haut » ou de « bas », mais une microgravité. Cela signifie que les astronautes sont en apesanteur et peuvent dormir dans n'importe quelle position.
Dormir debout!
Mais comme les astronautes ont passé leur vie sur Terre à dormir sur un matelas, leur sac de couchage est doté d'un coussinet rigide à l'arrière, pour exercer une pression sur leur dos.
Pour dormir, on doit se faufiler dans un sac de couchage accroché au mur, ou au plafond. C'est tellement différent et ce n'est pas nécessaire d'avoir un lit parce qu'il n'y a pas de gravité. Aussi, un oreiller n'est pas nécessaire parce que la tête ne tombe pas.
Dans l'espace, il n'y a rien du tout, ni atmosphère ni oxygène. Personne ne peut donc y respirer. C'est pourquoi les astronautes qui travaillent à l'extérieur de la Station Spatiale Internationale doivent revêtir un scaphandre dans lequel ils reçoivent de l'air.
Côté ablutions, les bains n'existent pas dans l'espace : il n'y a pas assez d'eau à bord de l'ISS pour cela. La toilette se fait donc au gant, avec du savon sans rinçage, à la manière d'un lavage rapide au camping ou en road-trip.
À bord de la Station spatiale internationale (ISS), l'urine a un rôle important à jouer, celui d'approvisionner les astronautes en eau potable. L'eau contenue dans l'urine des astronautes est en effet récupérée grâce à un dispositif traitant ce type de déchets organiques.
Vous ne pouvez pas verser d'eau dans un verre, mais vous pouvez l'aspirer d'un sac à l'aide d'une paille. Et c'est délicieux : après tout, cette eau provient vraisemblablement de transpiration et d'urine des membres de l'équipage.
Tout le monde ronfle alors c'est normal
Bien que plusieurs gens ronflent, ce n'est pas normal. Un ronflement est excessif ou régulier doit être considéré comme une maladie car cela peut être une indication de la présence d'apnée du sommeil qui est un arrêt respiratoire pendant le sommeil.
Sur Mars, l'atmosphère est très hostile pour les organismes qui ont besoin de dioxygène pour pouvoir vivre : la pression est environ 170 fois plus faible que sur Terre, car il y a très peu de molécules gazeuses présentes.
En effet, la Lune est souvent considérée comme dépourvue d'atmosphère, car elle n'absorbe pas de quantité mesurable de radiations, elle ne se décompose pas en couches et ne circule pas à la surface de la Lune.
La Nasa accorde ainsi une échelle de rémunération allant de 5 099 euros et 11 160 euros par mois tandis que le Canada offre un salaire mensuel allant de 5 013 à 9 805 euros.
Habituellement dans l'espace, les astronautes mangent des plats lyophilisés. La lyophilisation est un principe de déshydratation d'un produit par le froid. Elle a d'ailleurs été développée par et pour la NASA.
Une mauvaise hygiène de vie est souvent responsable des ronflements chez la femme. Le surpoids, une mauvaise alimentation, ou encore la prise d'alcool contribuent au relâchement des muscles du pharynx. La consommation de tabac ou de drogue, quant à elle, peut provoquer une inflammation des tissus des voies aériennes.
Le mécanisme du ronflement
Le ronflement survient lorsque les muscles de l'arrière-gorge, du voile du palais, de la luette et de la langue se relâchent pendant le sommeil profond. Ces organes prennent davantage de place et obstruent les voies respiratoires.
Les ronflements
Le ronflement est accentué lorsque l'on dort sur le dos, que l'on soit fatigué, en surpoids, ou que l'on aie consommé de l'alcool avant de se coucher. Le ronflement peut être également la cause d' arrêts respiratoires quand les muscles s'affaissent complètement.
Contrairement à ce que vous pouvez penser, il y a bien de l'air dans l'espace! Mais cet air est extraordinairement dilué. Ainsi, dans l'air que nous respirons, il y a environ 30 milliards de milliards de molécules d'air (azote + oxygène) par centimètre cube.
L'air à bord de la SSI. Tout comme sur Terre, les personnes qui habitent sur la SSI inspirent de l'oxygène et expirent du dioxyde de carbone durant la respiration.
– l'urine est collectée dans un réservoir, – chauffée dans une chaudière grâce à l'énergie solaire, – puis filtrée par une membrane qui sépare l'eau des nutriments : potassium, azote et phosphore. Le système permet donc d'obtenir de l'eau potable, au goût parfaitement neutre, et un excellent fertilisant.
Le système russe de traitement de l'eau issue de la condensation (SRV-K) récupère la vapeur d'eau contenue dans l'air à bord de la SSI (humidité provenant de la transpiration), mais ne recycle pas l'urine comme. L'ECLSS récupère environ 90 % de l'eau utilisée par les astronautes et la transforme en eau potable.
Le système de recyclage de l'eau dans l'ISS est à la fois une station d'épuration des eaux et un réseau de distribution tels qu'on les conçoit sur Terre. La fonction essentielle de cet appareil est de convertir les eaux de déchet des astronautes, principalement constituées d'urine, en eau potable.
Les astronautes se font toujours soigner les dents avant de partir dans l'espace (astuce : elles sont alors recouvertes d'un vernis transparent et fluoré, protecteur contre les caries).
Grâce à l'exploration spatiale, nous pouvons tester et valider - ou invalider - des théories scientifiques élaborées sur Terre.
Pour devenir astronaute, posséder au minimum un master dans n'importe quel domaine scientifique (physique, biologie, médecine…) ou un master ingénieur est obligatoire. Parler couramment anglais est indispensable notamment pour communiquer avec les astronautes d'autres pays.
Et concernant le vieillissement, Libération précise que les artères sont également touchées puisqu'après six mois en microgravité les astronautes "ont vieilli l'équivalent de vingt à trente ans de vie terrestre". L'absence de gravité se répercute également sur les muscles et le squelette des astronautes.