La fonte accélérée des glaciers du mont Everest a des effets inattendus et macabres. Depuis quelques années, avec l'amincissement rapide de la glace, on voit apparaître peu à peu sur le plus haut sommet du monde les cadavres des alpinistes morts dans leur ascension qui avaient été enterrés par les éléments.
Des trous dans la neige comme toilettes
Car là-haut, les quatre camps qui les accueillent ne disposent pas de latrines. Résultat : « les alpinistes creusent des trous dans la neige et font leurs besoins dedans », explique Ang Tshering au journal britannique The Guardian.
Elle est née de la rencontre de deux plaques tectoniques et culmine à 8.848 mètres au-dessus du niveau de la mer. Ainsi son altitude est susceptible de varier, car les deux plaques en question sont toujours en mouvement. Mais pour l'heure, le mont Everest est réputé être le plus haut sommet du monde.
Altitude : une pression plus faible en montagne
Ainsi, sur le mont Everest, le sommet le plus élevé de la Terre, qui culmine à 8.848 m, la pression atmosphérique est le tiers de celle du niveau de la mer. Un même volume d'air (par exemple chaque respiration d'un montagnard) contient donc trois fois moins de molécules.
L'ascension de l'Everest n'est accessible qu'aux alpinistes aguerris, mais également aux alpinistes qui peuvent mettre le prix !
Les conditions climatiques sur l'Everest sont extrêmes. En janvier, mois le plus froid, la température au sommet est en moyenne de −36 °C et le ressenti peut être de −60 °C . En juillet, mois le plus chaud, la température moyenne est de −19 °C et il gèle en permanence. De juin à septembre, l'Everest subit la mousson.
Il faut compter en moyenne 50 000 à 60 000 dollars pour monter en haut de l'Everest. Car une expédition comprend le permis d'ascension, mais aussi toute une équipe avec des cuisiniers, des guides, des porteurs.
Le 8 mai 1978, l'Italien Reinhold Messner et l'Autrichien Peter Habeler atteignaient le sommet de l'Everest pour la première fois sans apport d'oxygène.
Il y fait très froid, l'oxygène est rare et le corps ne peut y tenir beaucoup plus de 24 heures. Le niveau d'oxygène équivaut à 30% de celui que l'on peut trouver au niveau de la mer. Déjà à 7 500 mètres, 99% des alpinistes prennent de l'oxygène.
Le terme hypoxie désigne une situation où la disponibilité en oxygène est réduite. Elle peut être rencontrée dans différentes situations pathologiques comme dans les maladies respiratoires ou cardiaques.
Il encadrait une équipe de sherpas en charge d'équiper la montagne de cordes fixes. Equipements indispensables pour que les clients des nombreuses expéditions en cours d'acclimatation puissent rejoindre le sommet. A 52 ans, Kami Rita Sherpa pulvérise ainsi son propre record. Il a désormais gravi l'Everest 26 fois.
Le sommet de l'Everest culmine à 8.848 mètres au-dessus du niveau de la mer, mais ce n'est pas le point de la surface de la Terre le plus éloigné de son centre.
Utilisez un urinoir pour femme.
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Penchez-vous vers l'avant et appuyez doucement sur votre bas-ventre avec vos 2 mains. N'appuyez par contre pas directement sur la vessie, car cela peut faire remonter l'urine dans les reins. Tapotez votre vessie. Tapotez légèrement sur votre vessie (juste en dessous du nombril) de façon répétitive.
Enfermée entre l'extrême sud-est du Tibet au Nord, et l'Inde, le Népal et le Bhoutan au Sud, l'Himalaya détonne par sa densité, ses altitudes et sa biodiversité. On y découvre neuf des dix plus hauts sommets au monde parmi lesquels le mont Everest.
L'altitude entraîne une fatigue importante lors d'efforts en raison du manque d'oxygène. L'adaptation au-delà de 2 000 mètres, ou moins selon les organismes de chacun, peut demander quelques jours.
Tout est question de pression atmosphérique. Plus on s'élève, plus la pression de l'air diminue. Si la pression est plus faible, alors l'air se dilate pour conserver le même volume, ce qui va lui coûter de la chaleur, donc il se refroidit. L'air perd en moyenne 1 degré tous les 100 mètres.
A mesure que l'on monte en altitude, la pression atmosphérique diminue et la concentration de l'air aussi. Un même volume d'air contient alors moins de molécules. Disons que l'air est de plus en plus dilué à mesure que l'attraction terrestre se fait moins forte sur ses différentes molécules.
Les alpinistes qui gravissent des sommets très élevés de plus de 6 000 mètres d'altitude ont souvent recours à des bouteilles d'oxygène pour faciliter leur ascension. La respiration permet d'acheminer de l'air et donc de l'oxygène dans tout le corps humain.
Commencer dans les Alpes à 3.000 puis 4.000 pour être à l'aise avec l'essoufflement dû au manque d'oxygène. Puis monter plus haut, 6.000, 7.000, notamment dans le cadre d'expéditions longues. Passer presque deux mois au camp de base de l'Everest est aussi un défi psychologique.
Deux hommes ont conquis ce sommet le 29 mai 1953 : le Néo-Zélandais Edmund Hillary et le Népalais Tensing Norgay. Ils étaient équipés d'appareil à oxygène, nécessaires pour respirer à cette altitude.
La zone au-dessus de 7.600 mètres est appelée la zone de la mort. La raison ? Rien ne vit à cette altitude ou au-dessus. Et aucun humain ne peut survivre longtemps à cause du manque d'oxygène du à l'air raréfié.
Près de 2 semaines avant votre trek, nous vous conseillons de randonner progressivement en altitude de plus en plus haute, à partir de 1500m jusqu'à 3000m. Idéalement, passez une nuit au-dessus de 3000m d'altitude de façon à ce que votre corps s'adapte doucement à l'altitude.
1. Everest. L'Everest est le plus haut sommet du globe, avec un pic à 8848 mètres d'altitude. Il est situé sur la frontière entre la zone de Sagarmatha, au Népal, et au Tibet en Chine, et fait partie de la chaîne de montagnes de l'Himalaya.