Si le cerveau est programmé pour se concentrer sur le négatif, c'est parce qu'il cherche avant tout à nous adapter à un environnement de plus en plus complexe. C'est un instinct qui nous vient de nos ancêtres lesquels, nous le savons bien, durent faire face à un grand nombre de stimuli aversifs.
En fait, il s'agit là aussi d'une forme de biais de négativité : étant donné que ce qui est négatif nous marque plus profondément, les chercheurs, qui ont besoin de publier des études intéressant le plus grand nombre de personnes possibles, tendent à étudier davantage ce qui nous pèse que ce qui nous réjouit.
Notre cerveau en réalité fonctionne ainsi depuis la nuit des temps. En effet cela fait partie de notre instinct de survie; le fait que notre cerveau enregistre en priorité les évènements négatifs lui permet d'activer tout un processus afin de mémoriser au mieux la situation et de pouvoir réagir au plus vite.
La rumination mentale, c'est quoi ? Il s'agit de pensées et sentiments négatifs au caractère répétitifs, prenant la forme d'un flot ininterrompu de pensées pessimistes et obsessionnelles. La rumination mentale se déclenche souvent au moment du coucher.
Faites preuve de patience, d'écoute et d'empathie, tout en essayant de démontrer que non, personne ne lui veut de mal. Apprenez également à couper court si la personne tourne en boucle.
Les personnes négatives n'ont de cesse d'analyser le comportement des autres depuis une posture très destructrice. Elles dévoilent des choses intimes, jugent les autres sur des échelles bipolaires (bien/mal, fou/normal, inutile/brillant) et n'affrontent jamais ces aspects en essayant d'y apporter des solutions.
Pour arrêter de ruminer, il faut les accueillir pleinement. On essaye d'abord de comprendre laquelle de ces émotions se cache derrière sa pensée négative. Dans un second temps, on s'efforce de ne pas culpabiliser mais plutôt de l'accepter telle qu'elle nous apparaît, de lâcher-prise.
L'ancrage, le secret pour faire taire le brouhaha du mental
Voici les principaux : Dire adieu aux pensées obsédantes, récurrentes, qui tirent vers le bas. Prise de recul, détachement face à des situations délicates. Augmentation du sentiment de sécurité dans la vie.
Les émotions négatives (comme la dépression ou anxiété) que ressent une personne sont souvent précédées de nombreuses déclarations et pensées négatives à son sujet. Habituellement, ces pensées prennent une forme particulière nommée les modes de pensées négatives.
L'optimisme est une grande qualité. Pourtant, cultivé à l'excès, il peut se révéler néfaste pour notre santé mentale. C'est ce qu'on appelle la positivité toxique, celle qui nous interdit d'aller mal.
Le pessimisme est un trait de la personnalité, ou un état d'esprit, qui désigne une vision négative de la vie en général. Le pessimiste a tendance à percevoir ce qui lui arrive de façon sombre. C'est le verre « à moitié vide ». Contrairement à l'optimiste, il a du mal à se projeter dans l'avenir de façon heureuse.
Il faut être conscient qu'une personne négative l'est tout d'abord envers elle-même, cette dernière a besoin d'une personne pour lui montrer la part positive cachée dans son for intérieur, il a besoin aussi d'être complimenté et encouragé, d'où le rôle du conjoint.
Qui est dépourvu d'éléments constructifs, se définit par le refus. Une attitude négative. (personnes) Qui ne fait que des critiques. Qui ne se définit que par l'absence de son contraire.
Laissez tomber les attentes.
La négativité commence souvent avec les attentes que vous avez des autres et de vous-même. Le fait de laisser tomber ces attentes négatives ou irréalistes vous aidera non seulement à changer d'attitude, mais aussi à créer une atmosphère viable. Admettez le fait que rien n'est parfait.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Trop penser et trop réfléchir est quelque chose de normal.
Ainsi, il n'y a pas d'inquiétude à avoir. Cela signifie que les connexions entre nos neurones dans notre cerveau fonctionnent bien. Le nombre de neurones chez un individu croît lors de la formation de son cerveau tout au long de l'enfance.
Peut-être êtes-vous un(e) "overthinker", autrement dit, une personne qui pense trop. Une pathologie décrite par la chercheuse Susan Nolen-Hoeksema, professeure de psychologie et auteure d'un best-seller sur le sujet.
L'expression «positivité toxique» fait référence au concept selon lequel rester positif, et ne rester que positif, est la bonne façon de vivre sa vie. Cela signifie se concentrer uniquement sur les choses positives et rejeter tout ce qui peut déclencher des émotions négatives.