L'auto-entreprise permet également de tester un projet nouveau tout en le cumulant avec une activité salariée. Sa gestion simplifiée permet à tous de mettre un pied dans l'entrepreneuriat, de créer son propre emploi et de concrétiser un projet professionnel.
La micro-entreprise, qui ne se différencie plus de l'auto-entreprise depuis 2016, bénéficie du statut juridique le plus léger au niveau administratif, fiscal et social. C'est aussi la structure la plus simple à créer et à gérer.
Est-ce rentable d'être indépendant ? Le choix du régime de la micro-entreprise n'est pas bénéfique pour toutes les activités. En effet, il faut rappeler que le calcul simplifié des cotisations sociales (le « microsocial ») en pourcentage de votre chiffre d'affaires n'est pas toujours le plus rentable.
Le statut Auto-Entrepreneur fait qu'il n'y a pas de règles ou d'obligations dans le versement d'un salaire. Vous pouvez vous verser une somme fixe mensuellement ou recalculer cette somme tous les mois et l'ajuster en fonction du chiffre d'affaires de votre activité.
Le statut d'auto-entrepreneur présente des inconvénients de nature fiscale et sociale qui peuvent faire obstacle aux projets de croissance de l'entrepreneur : seuil du chiffre d'affaires limité, impossibilité de récupérer la TVA ou de déduire les charges, cotisations sociales calculées sur le chiffre d'affaires et non ...
Micro-entrepreneur et auto-entrepreneur : plus aucune différence depuis 2016.
S'il n'y a qu'un seul associé ou une seule personne pour créer une société, le statut de la société par actions simplifiée unipersonnelle sous le régime d'impôt sur le revenu permet de payer moins de charge. S'il y a plusieurs associés, les charges d'une SARL et SAS sont presque les mêmes.
90 jours : le délai minimum qui doit s'écouler entre la date de début d'activité et la première déclaration de chiffre d'affaires.
Les revenus issus de votre activité indépendante en 2020 seront pris en compte dans un seul cas : si le montant de vos IJ calculé sur ces revenus de 2020 est supérieur au montant des IJ calculé sur les revenus de 2019 et 2021 (selon les mêmes modalités).
Il peut s'agir de frais de déplacement, de frais de port, de communication, ou encore d'achat de fournitures et matériels… Le principe du régime de la micro entreprise est de ne pas pouvoir déduire ses frais professionnels. Il est alors tentant de les refacturer à vos clients afin de vous les faire rembourser.
Pour rappel, le micro-entrepreneur ne facture pas de TVA jusqu'à certains niveaux de chiffre d'affaires : 85 800 € (seuil limite) et 94 300 € (seuil majoré) de chiffre d'affaires pour les ventes de marchandises ; 34 400 € (seuil limite) et 36 500 € (seuil majoré) de chiffre d'affaires pour les prestations de services.
Pour gagner à peu prêt le minimum pour vivre en AE, il faut un minimum de 30 000 € de CA. Au final,nos modéré de gouvernants ,ont bien calculé que dans tous les cas,il ne vous restera après cotisations et frais d'achats entre 1 500 et 1 800 € /mois.
TAUX D'IMPOSITION
Si votre revenu net imposable en tant qu'auto-entrepreneur est de 15 000 € par exemple (après abattement), vous ne serez pas imposé pour vos revenus jusqu'à 10 225 € et vous serez imposé à 11 % sur 4 775 € (15 000 € - 10 225 €).
En principe, en relevant de la micro-entreprise, vous ne facturez pas la TVA puisque vous bénéficiez du dispositif de "franchise en base de TVA". Vous ne déduisez donc pas de TVA. Vous devez alors mentionner sur vos factures : "TVA non applicable, art. 293 B du CGI".
L'avantage de l'EIRL c'est qu'elle n'impose aucun plafond, elle est le prolongement du statut d'auto-entrepreneur et elle est facile à administrer (par le biais de son gérant). Ça peut être une solution qui allie protection du patrimoine personnel, sans passer par la forme sociale.
Les charges fiscales de l'auto entrepreneur. Outre les charges calculées sur le chiffre d'affaires de l'année 2021, l'auto entrepreneur est aussi redevable de ce qu'on appelle les charges fiscales. Il s'agit de l'impôt sur le revenu et de la Cotisation Foncière des Entreprises, ou CFE.
La seule condition pour démarrer une activité sans être immatriculé est que les statuts de la société soient signés. Si la société n'a pas encore de numéro RCS ou de kBis, elle peut commencer par exemple à émettre des factures en utilisant la mention « en cours d'immatriculation », ou « RCS en cours ».
Le statut d'auto-entrepreneur permet d'exercer une activité commerciale, artisanale ou libérale indépendante, à titre principal ou complémentaire, dans le respect de certains seuils de chiffre d'affaires.
Micro-entreprise : un régime unique et simplifié
Depuis la loi Pinel du 1er janvier 2016, il n'existe plus aucune différence entre auto-entrepreneur ou micro-entreprise. Les deux régimes ont été rassemblés pour former un seul statut : la micro-entreprise.