Les causes de la
L'anxiété et le stress peuvent également jouer sur notre état physique après des rapports. « Qu'il s'agisse de déshydratation, de nervosité ou d'anxiété réelle, les nausées post-sexuelles pourraient être la façon dont votre corps vous dit que quelque chose ne va pas », explique l'experte au « Sun ».
Des chercheurs et des cliniciens évoquent le fait que l'expérience sexuelle plonge celle ou celui qui la vit dans un état de vulnérabilité et d'abandon (dans le sens de lâcher prise), ce qui peut provoquer de façon inconsciente des sentiments se rapprochant à la fois de la peur, mais également d'un trop-plein émotif.
Faire des « câlins gratuits », juste pour le plaisir d'être nus l'un contre l'autre et de redécouvrir le corps de l'autre, comme le conseille Philippe Arlin. Ces pistes peuvent aider à se retrouver. Mais il arrive qu'elles ne suffisent pas. Et il ne faut alors pas hésiter à se faire aider par un sexologue.
En effet, le rapport sexuel entraîne toujours une petite remontée de microbes dans l'urètre. Une fois présents, ces microbes ont tendance à remonter jusque dans la vessie, pouvant entraîner des infections urinaires récidivantes.
La dopamine : lorsque vous satisfaisez un besoin naturel de votre corps comme un désir sexuel, la dopamine vous apporte un sentiment de bien-être. La mélatonine : produite lors d'un rapport, cette hormone nous endort.
Ce symptôme est fréquemment rencontré dans l'endométriose. C'est dans la sphère de l'intimité que de nombreux symptômes pouvant orienter vers une endométriose peuvent être observés. C'est notamment le cas des douleurs, ressenties pendant et après les rapports sexuels avec pénétration, aussi appelées dyspareunies*.
Cela peut être dû à la déchirure de l'hymen, à la congestion de cette zone (gonflement qui persiste s'il n'y a pas eu d'orgasme), aux frottement dans le vagin, et au stress ! Ces douleurs peuvent aussi être d'origine digestive et n'avoir aucun rapport avec cette première fois.
La douleur ressentie pendant un rapport sexuel peut être causée par certaines maladies telles que l'endométriose, par des infections sexuellement transmissibles (IST) telles que la chlamydia ou encore par des troubles psychologiques à l'instar du vaginisme.
La dyspareunie profonde se manifeste plutôt par une douleur au niveau du col de l'utérus ou du bas-ventre, qui survient lors d'une pénétration vaginale profonde et est plus intense dans certaines positions sexuelles, et avec certains partenaires.
Le système immunitaire fragilisé
C'est normal, votre système immunitaire est affaibli. La production d'immunoglobulines, qui nous aide à lutter contre les virus et les bactéries qui traînent, est diminuée. Le corps est donc privé d'une ligne de défense importante.
Lorsqu'il y a une infection des voies génitales, une infection sexuellement transmissible, il peut y avoir des douleurs à l'éjaculation. À l'éjaculation, il y a une contraction de la prostate et comme la prostate se contracte, et qu'elle est enflammée, il peut y avoir des douleurs.
Si vous ressentez des brûlures dans le vagin après un rapport sexuel, il est probable qu'elles soient causées par un échauffement de la muqueuse à cause d'une sécheresse intime.
Lors de ces rapports sexuels, « de grandes quantités de gaz peuvent être insufflées sous pression dans le vagin. Le gaz peut se frayer un chemin à travers l'utérus et, après avoir dilaté les tubes, entraîner un pneumopéritoine », décrivent les médecins. Le saviez-vous ?
Appliquer de l'huile de coco localement, sur un ou deux jours, pour hydrater et calmer l'inflammation. En cas de douleur liée à une brûlure légère : vaporiser un spray d'eau florale de Camomille noble (ou Romaine) sur la zone concernée, 4 à 6 fois par jour. Espacer dès amélioration.
La dopamine, c'est l'hormone du désir.
Cette hormone provoque une forte stimulation et c'est ce que notre cerveau va rechercher. C'est un moteur à la motivation et à l'action.
Trop faire l'amour peut être néfaste pour la santé
Les femmes notamment peuvent être sujettes à des excoriations vaginales, à savoir des arrachements de la muqueuse de la vulve.
Il n'est pas dangereux de vivre sans relations sexuelles. En effet, la sexualité n'est pas un besoin vital. C'est un moyen d'expression du corps, de tout l'être, mais un individu qui n'a pas de vie sexuelle n'est pas en danger. Manger, boire, dormir sont nécessaires pour tout être humain.
"Certaines femmes ont de meilleurs orgasmes avec une vessie pleine", ajoute la gynécologue Sheryl Ross. Avant l'acte sexuel, elle conseille enfin aux femmes de boire un verre d'eau et ne pas se laver les parties intimes (afin de ne pas perturber l'équilibre de la muqueuse vaginale).
On la dit immunostimulante, mais aussi antivirale, antibactérienne et anti-inflammatoire. Le jus d'ananas est une vraie bombe de vitalité qui nous préserve des agressions extérieures. On peut donc boire plus souvent du jus d'ananas à l'approche de l'hiver, notamment.
Suivant ces conclusions scientifiques, commencer sa sexualité après 19 ans est l'âge idéal pour mieux se développer, être heureux en couple et atteindre plus de succès professionnel.
Autrement dit, si une personne est stressée lors de la dispute, elle cherchera à calmer ses émotions en faisant l'amour. Elle aura un sentiment de soulagement, de relâchement, de satisfaction, de puissance et même de sécurité.
Outre les bienfaits sur le psychique, le sexe a aussi des vertus sur notre santé. En effet, une activité sexuelle régulière permet de pratiquer une activité physique et de se maintenir en forme. Faire l'amour peut aussi être recommandé si l'on souhaite perdre du poids ou surveiller sa balance calorique.