* Son centre-ville, situé sur la Grande Île, est entièrement inscrit au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco depuis 1988 et regroupe les principaux lieux et monuments qui font la renommée de Strasbourg, tels que la Cathédrale, la Maison Kammerzell, la Petite France ou les Ponts Couverts.
Douceur de vivre d'une ville résolument attractive
Fière de cet environnement naturel préservé, Strasbourg est promise à un bel avenir. Sa position prisée à l'épicentre de l'Europe est valorisée par un réseau de transports de qualité : aéroport, gare TGV, port fluvial, 1er réseau de tramway de France (6 lignes), etc.
Strasbourg mérite son surnom de carrefour européen : reliée efficacement par son réseau autoroutier aussi bien à la France qu'à l'Allemagne, la ville joue sur les deux tableaux et est un paradis pour les frontaliers.
Strasbourg, capitale de l'Europe et de l'Alsace, possède un patrimoine historique et architectural qui en fait la ville la plus riche d'Alsace. Son centre ville fait partie du patrimoine mondial de L'UNESCO. De plus, les musées de la ville sont particulièrement riches et intéressants.
Pour résumer, j'ai bien aimé Strasbourg : le centre-ville est à taille humaine, ce qui rend les déplacements appréciables, les gens sont aidants, ce qui rend la vie agréable, et les grandes enseignes commerciales y sont assez bien représentées pour faire flamber son chéquier (je suis faible).
En général l'Alsacien est d'un caractère facile, égal et disposé à la gaieté, mais sans grande expansion extérieure, il est ordinairement grave et même froid. Studieux et réfléchi, il est plutôt profond que brillant, et, généralement parlant, il cultive avec plus de succès les sciences que les lettres.
Strasbourg: Parler alsacien, c'est «moderne et un atout pour la jeunesse» Les grandes collectivités alsaciennes, le rectorat et l'Olca ont signé trois conventions pour renforcer sa politique linguistique régionale…
Strasbourg est une ville pauvre et inégalitaire, où des quartiers possèdent un revenu de 666 € par mois, où le temps-partiel et l'intérim gagnent du terrain tandis que le salaire moyen stagne. Ce n'est pas forcément très drôle ou agréable à réaliser, mais c'est aussi ça, comprendre Strasbourg.
Une métropole facile à vivre
Si Strasbourg, avec 500 000 habitants, est bien une Eurométropole, elle n'en est pas moins un territoire à taille humaine et compact. Les déplacements y sont rapides et faciles : on est à 10 minutes de tout ! Que ce soit pour le travail ou la vie quotidienne, la mobilité est fluide.
Le saviez-vous ? Totalisant plus de 758 km² de superficie, Arles, dans les Bouches-du-Rhône, arrive en tête du classement des communes de France métropolitaine (de plus de 20 000 habitants) les plus étendues, devant Marseille (240 km²), Aix-en-Provence (186 km²), Toulouse (118 km²) ou encore Paris (105 km²)…
Venise : cité magique
Encore appelée la cité des amoureux, Venise est considérée à la fois comme une ville magique, irréelle et contemporaine.
Strasbourg, l'une des plus belles villes d'Europe, est un cadre propice à l'accueil d'événements. Du fait de ses atouts, Strasbourg est désormais considérée comme la ville la plus attractive de France d'après Le Point.
Ainsi, 75% des étudiants sont logés sur le campus central, situé au cœur de la ville, dans les quartiers de l'esplanade Croquenot, à 5 minutes à pied du centre ville et de la cathédrale ; 5000 lits sont mis à disposition par le Crous et les résidences étudiantes privées sont nombreuses.
L'Orangerie et le quartier Contades dans les vingt premiers
En tête de liste, à la cinquième place du classement national, le célèbre quartier de l'Orangerie, plus précisément, le secteur Est. Là-bas, les habitants les plus aisés y touchent environ 97 010 euros par an.
Le Haut-Rhin, parmi « les départements préférés des riches »
Par « super-riche », l'Observatoire des inégalités désigne les ménages situés parmi les 1 % les plus riches : le « club des 1 % » qui vit avec plus de 7 180 euros par mois après impôts.
Industrie agroalimentaire. l'activité brassicole : les quatre grandes brasseries alsaciennes assurent la production de 60 % du volume national de bière (soit près de 11 millions d'hectolitres) et emploient 1 400 salariés pour un chiffre d'affaires de 1,4 milliard d'euros.
L'origine des dialectes alsaciens remonte aux 4e et 5e siècles après J. -C. Ce sont les lointains descendants des parlers des Alamans et des Francs, tribus germaniques qui peuplaient l'Alsace à cette époque.
Le général romain Nero Claudius Drusus, frère de Tibère, y fait construire un camp militaire sur l'emplacement d'une forteresse gauloise. Le nom de la ville est romanisé en Argentoratum. C'était alors un camp militaire fortifié positionné sur le limes du Rhin faisant partie des castella Drusi, les forts de Drusus.