Le turban noir est un couvre-chef, accessoire traditionnel dans les pays chiites. C'est une partie de l'habit de tout théologien chiite descendant du prophète de l'islam Mahomet par l'un de ses deux petits-fils, Al-Hassan ibn Ali ou Al-Hussein ibn Ali, fils de Fatima Zahra.
1. Coiffure orientale faite d'une longue pièce d'étoffe, enroulée autour de la tête recouverte préalablement d'une calotte de drap. 2. Coiffure de femme en tissu souple et drapé dans le style des turbans orientaux.
Le turban permet de tenir les long cheveux du sikh, qu'il ne coupe jamais, selon la règle du Kesh, par respect pour la perfection de la création de Dieu. Il contient le Kangha, un peigne en bois symbolisant le fait que le sikh prend soin de ses cheveux.
Le turban est un symbole d'unité
La plus grande vocation des sikhs d'afficher le turban est qu'il représente leurs croyances. La justice pour tous, l'égalité et une notion radicale de compassion.
Il est porté par les Arabes, nomades ou sédentaires. Chez les Kurdes, le turban fut jadis surmonté d'une crinière.
Le keffieh est la coiffe des citadins, portée en Irak et au Levant ; La ghutra est la coiffe des nobles, portée dans le Golfe et dans la péninsule arabique ; La shemagh est la coiffe des Bédouins, portée dans la péninsule arabique ; Le muzzar est la coiffe portée par les habitants d'Oman et du Yémen.
Le tchador est une des façons de respecter la façon dont une femme doit s'habiller afin de suivre le code vestimentaire islamique, le hijab. Ce code vestimentaire islamique est une interprétation des versets du Coran, 24:31 et 33:59.
Le shemagh semble apparaître dans les années 1950, notamment dans la Jordanie et l'Irak voisins. Le couvre-chef est un élément essentiel du dress code masculin en Arabie saoudite. Et sur ce point, la ghutra et le shemag font office de références.
Porté depuis l'Antiquité et notamment par les Perses, le turban est présent dans toutes les cultures et traverse l'histoire. Marqueur religieux, il n'en est pas moins, un accessoire de mode.
Le kesh ou kes est la pratique du sikhisme qui consiste à ne pas couper ses cheveux (ni aucun poil du corps), à les laisser croître naturellement comme symbole de respect pour la perfection de la création de Dieu.
Les hommes ainsi initiés sont appelés « Singhs » (lions) et, au fil du temps, sont tenus, en tant que membres du Khalsa, de rester fidèles aux cinq kakas (les cinq K) : de ne jamais se couper ni les cheveux ni la barbe (kesh) et de porter un peigne (kangha) symbolisant la propreté, un bracelet de métal (kara), une ...
Les Sikhs croient en un seul Dieu éternel et créateur selon le principe "Ik-On-Kar" - que l'on peut traduire par "une seule conscience créatrice manifestée". La religion renonce aux jeux de hasard et à la consommation de viande, d'alcool et de tabac afin de parvenir à la "mukti", c'est-à-dire la "libération".
Singh est un nom de famille d'origine indienne souvent assimilé aux Sikhs. Issu du mot sanskrit sinha, Singh signifie « lion ». On retrouve ce terme dans le nom de la cité-État de Singapour, qui est « la ville du lion ».
La religion Sikh a vu le jour au XV e siècle dans la région du Pendjab et le pendjabi est la langue principale parlée par les Sikhs. La plupart des portions du Guru Granth Sahib utilise le pendjabi écrit en gurmukhi, bien que le pendjabi ne soit pas la seule langue utilisée dans l'écriture Sikh.
Le nom Singh
Beaucoup de Sikhs ont pour nom « Singh ». Ce mot qui signifie « lion » est rarement un nom de famille à proprement parler. Il s'agit plutôt d'un titre ou d'un surnom (« nom intermédiaire ») porté par les hommes sikhs. Les femmes se voient ajouter le nom « Kaur », qui signifie « lionne ».
Faites un nœud à 30 cm du bord, puis enfilez le chèche sur la tête avec le nœud à l'arrière et le reste du tissu devant. Vrillez ensuite le tissu qui se situe à l'avant de votre crâne, fermement pour que le chèche tienne bien sur votre tête.
Depuis quelque temps, une association organise un concours intitulé “Mister Singh International”, qui est réservé aux sikhs enturbannés. Les candidats doivent participer entre autres à une épreuve intitulée “Mon turban, ma fierté, mon identité”, où ils sont jugés sur leur façon de nouer le tissu sur leur tête.
Venez croiser le foulard sur le haut de la tête et faites les se croiser pour créer l'effet turban. Une fois le foulard croisé, faites revenir chaque pan du foulard sur le côté de la tête opposé. Aussi rabattez le foulard de manière parallèle en le collant sur la chevelure et venez le nouer dans la nuque.
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Le foulard se distingue de voile par sa taille, il est plus petit que le voile et il est plus épais. Le voile sera porté sur la tête et le foulard, il se porte noué autour du cou principalement. Il peut être rectangle ou carré alors que le voile, elle est toujours rectangle et jamais carré.
Première charte de la laïcité à l'école (septembre 2013)
Le port de signes ou tenues par lesquelles les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit ». Cette charte devra être visible dans les établissements d'enseignement public : écoles primaires, collèges, lycées.
Traditionnellement, les femmes portent un abaya (cape ou robe longue couvrant tout le corps) sur leurs vêtements de tous les jours. Quant aux hommes, ils peuvent porter toute sorte de vêtements, du thobe traditionnel (habit à manches longues semblable à une robe) jusqu'au jean et au T-shirt.
Le keffieh n'est autre que le fameux foulard porté par l'ancien leader palestinien Yasser Arafat. Avant de devenir un objet symbolique et tendance, le keffieh était et reste la coiffe traditionnelle des paysans arabes et des bédouins.
Le qamis saoudien appelé également thawb ou thobe, désigne cette robe blanche aux manches longues. Il est vraiment la pièce maîtresse du costume traditionnel saoudien, si bien que tous les habitants du pays le portent.