Lorsqu'un avion s'apprête à atterrir, la poussée est réduite. La traînée augmente et permet à l'avion de ralentir. La portance baisse alors que la vélocité diminue. Lorsque l'avion touche au sol et perd encore plus de vélocité, la portance chute dramatiquement.
L'air s'écoule autour de l'avion. La géométrie de celui ci fait que l'air s'ecoule plus rapidement sur le dessus que sur le dessous. En gros l'extrados des ailes est en dépression ce qui créée une force de bas en haut qui permet à l'avion de vaincre la gravité (de haut en bas) et donc de voler.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
La défaillance technique, que ce soit une défaillance structurelle, d'un équipement ou d'un moteur, est la cause principale de 21% des accidents mortels.
Les ailes sont courbées sur le dessus et plates en dessous. Elles sont aussi un peu inclinées. Ce qui veut dire qu'elles ne sont pas droites comme une planche. C'est grâce à leur forme que l'air du ciel peut voyager autour des ailes et faire soulever l'avion.
En effet, 80 % des vols commerciaux sont équipés de batteries Saft. Grâce aux systèmes électriques d'un avion, la perte d'un moteur n'induit pas la perte de contrôle, et un pilote qui garde son sang-froid peut réussir à faire planer l'appareil en toute sécurité jusqu'au sol.
Les ailes sont fixées à l'avion à un angle de 5 à 10 degrés. Elles sont plates à la base et arrondies sur le dessus. Lorsque l'air frappe l'avion, il est dévié autour de l'aile, étirant les molécules d'air qui se précipitent sur le dessus.
Vol China Airlines 140
Cette catastrophe aérienne implique, comme la précédente, un Airbus A300.
En nombre de crashs, c'est le 707/720 de Boeing qui l'emporte avec 105 catastrophes, devant le DC9 et le DC8 (62 chacun), le Boeing 727 (57) et le Boeing 737- 1/200 (48).
L'écrasement du vol 123 de la Japan Airlines, le 12 août 1985, est considéré comme le pire accident aérien de l'histoire impliquant un seul appareil. L'événement, qui fait 520 morts, est d'autant plus tragique qu'il est le résultat d'un problème mécanique connu par l'entreprise.
Ces phases occupent environ 4 % du temps de vol moyen et durent deux fois plus longtemps que le décollage et la montée initiale. Mais 49 % des accidents mortels se produisent dans cette courte fenêtre, ce qui fait de la descente finale et de l'atterrissage les moments les plus mortels d'un vol classique.
Si vous vous trouvez juste avant ou juste derrière les ailes, vos chances de survie s'élèvent à 56%. Quelles langues parlez-vous? Enfin, les personnes assises à l'arrière ont environ 70% de chances de s'en sortir.
Le fait qu'il y ait du vent, des nuages ou de la pluie sur une région n'a aucune incidence sur la sécurité ou le confort d'un voyage, mais en plus, le fait d'avoir ce type de prévision est (presque) toujours inquiétant…
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Pour d'autres, c'est le pilote qui a mis le « frein à main ». Mais l'explication la plus plausible est sans doute celle-ci : l'avion vole à vitesse réduite et des vents violents vont dans sa direction, tout comme l'automobiliste. Ce serait donc en fait une illusion d'optique.
Bien sûr, un avion de ligne avec ses ailes peut planer comme tout oiseau. (Les plus gros avions ont les plus grandes ailes).
A ce jour, le crash en 1974 de l'appareil de la Turkish Airlines en forêt d'Ermenonville, dans l'Oise, reste l'accident d'avion le plus meurtrier en France - et le quatrième au monde - avec 346 victimes.
L'unique accident majeur du transport aérien en 2023 s'est produit le 15 janvier, quand l'ATR de Yeti Airlines s'est crashé près du nouvel aéroport de Pokhara au Népal, faisant 72 morts. Le vol YT691 venait de Katmandou.
Le 11 juin 1955, la plus célèbre course automobile du monde bascule dans la tragédie. Le conducteur de l'un des bolides de tête des 24 Heures du Mans, lancé à 240 km/h, freine trop tard pour éviter un concurrent. Son véhicule s'envole et se disloque dans les tribunes. Bilan : 82 morts, plus de 120 blessés.
Air New Zealand décroche la première place en 2024
Elle est à ce jour considérée comme la compagnie aérienne la plus sûre au monde. Disponible dans une cinquantaine de pays autour du monde, elle vient d'annoncer la commande de huit Boeing 787-10 pour une livraison prévue entre 2022 et 2027.
à Air New Zealand. La compagnie aérienne néo-zélandaise a décroché la première place grâce à sa «ferme concentration sur la sécurité». «Elle a excellé dans le large spectre de la sécurité, sans jamais perdre de vue le moindre détail», déclare Geoffrey Thomas, rédacteur en chef du site de notation.
Un accident aérien, un écrasement, un atterrissage forcé avec dégâts, une catastrophe aérienne ou l'anglicisme crash, définissent un événement lié à l'utilisation d'un aéronef et qui entraîne le décès ou des blessures à une ou plusieurs personnes ou des dommages irréparables à la structure de l'appareil.
Avoir le store relevé lors du décollage et de l'atterrissage permet aux passagers de s'habituer à la lumière du soleil, et de ne pas être éblouis s'ils doivent être évacués.
Le premier, c'est l'économie de carburant. Un avion, ça consomme beaucoup de kérosène. Un Airbus A320, c'est 3 000 litres par heure de vol. Voler très haut permet d'en dépenser moins car à ces altitudes élevées, l'air étant moins dense, il offre moins de résistance à l'avion.
Pour se diriger, le pilote utilise le manche à balais qui permet de faire pivoter les gouvernes de profondeur ainsi que les ailerons et les palonniers qui permettent de faire pivoter la gouverne de direction.