Afin que l'Église de Corinthe ne se laisse pas détourner par de faux apôtres du Christ (11,1-15); il leur rappelle les épreuves qu'il a endurées pour annoncer l'évangile, comme garantie de la véracité de son témoignage (11,16-33).
Paul a écrit aux membres de l'Église de Corinthe pour répondre à leurs questions et les aider à résoudre leurs problèmes ainsi que pour fortifier les convertis qui avaient des difficultés à abandonner leurs croyances et leurs pratiques antérieures.
2 Corinthiens 6-13.
Il parle de la « tristesse selon Dieu » (voir 2 Corinthiens 7:10). Paul remercie les saints de Corinthe de leurs contributions pour les pauvres de Jérusalem et leur recommande de continuer de donner généreusement. Il dénonce fermement les « faux apôtres » (2 Corinthiens 11:13).
Cette épître énonce le « fruit de l'esprit » à savoir les qualités (amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, fidélité) que le chrétien est en mesure de développer lorsqu'il a reçu le Saint-Esprit (Galates 5:22). Elle inscrit aussi la vie chrétienne comme une liberté vécue dans l'amour.
Qui a écrit cette épître ? La plupart des saints des derniers jours attribuent à Paul la rédaction d'Hébreux (voir Guide des Écritures, « Épîtres de Paul »).
Les Galates (appelés aussi Gallogræci, « Gallo-Grecs ») sont des peuples celtes qui, dans l'Antiquité, ont migré dans le Centre de l'Asie Mineure, région nommée d'après eux Galatie.
La Deuxième épître aux Corinthiens, généralement abrégée en 2 Corinthiens ou 2 Cor., est un livre du Nouveau Testament. Elle est envoyée par l'apôtre Paul à l'Église de Corinthe.
Selon les Actes des Apôtres, ch. 18, v. 1-17, l'apôtre Paul est le fondateur de l'église de Corinthe.
Plus tard, Paul reçoit d'autres nouvelles des membres de l'Église de Corinthe parlant de problèmes qui s'y posent (voir 1 Corinthiens 1:11). Il y répond en écrivant une autre lettre, connue sous le nom de1 Corinthiens. Ainsi, 1 Corinthiens est en fait la deuxième lettre de Paul aux membres de l'Église de Corinthe.
Corinthe (en grec ancien et en grec moderne Κόρινθος / Kórinthos) est une ville portuaire importante de la Grèce moderne, chef-lieu du district régional de Corinthie et du Dème des Corinthiens. La ville est située sur l'isthme de Corinthe, dans le golfe du même nom.
Les écrits les plus anciens du Nouveau Testament sont les lettres de Paul. La première serait la lettre aux Thessaloniciens écrite autour de 51 apr. J. -C.
Loutraki est le meilleur endroit proche de Corinthe où vous pourrez vous baigner et bronzer en toute quiétude le long de très belles plages de galets qu'entourent les montagnes. C'est un lieu de villégiature très prisé des Grecs et des touristes.
À ce moment, Sparte est la plus puissante cité de la région, seule l'Arcadie et Argos peuvent lui tenir tête. Dès le milieu du VI e siècle, Sparte soumet les cités arcadiennes, puis Argos. Des alliances (inégales) se concluent avec les cités voisines. Les réformes de Lycurgue au milieu su VII e siècle av.
C'est l'apôtre Paul qui a écrit l'épître aux Éphésiens (voir Éphésiens 1:1).
Lévitique. Article détaillé : Lévitique.
Il concerne le christianisme. Le mot « épître » veut dire « lettre ». Une relation épistolaire est une relation qui s'appuie sur l'échange de lettres. Les Épîtres sont des livres du Nouveau Testament, qui suivent les quatre évangiles et les Actes des Apôtres.
L'épître aux Romains est la plus longue que Paul ait écrite et elle est considérée par beaucoup de personnes comme étant la meilleure.
C'est pourquoi, dans sa lettre aux Thessaloniciens, Paul écrit afin de les encourager et de les fortifier et répond à leurs questions sur la seconde venue de Jésus-Christ.
Du fait de l'importance de ses prédications, Paul est souvent considéré comme le deuxième fondateur du christianisme après le Christ lui-même. Il a détaché la nouvelle religion de ses racines judaïques mais aussi contribué de façon décisive à sa diffusion dans les provinces de langue grecque.
ÉPÎTRE, subst. fém. A. − Lettre missive, en prose, écrite par un auteur ancien.
Le terme de monarchie pour Sparte est impropre, car il sous-entend le pouvoir d'un seul monarque, alors qu'à Sparte il n'y a pas un seul roi mais plusieurs en permanence. Il faut parler d'une double royauté. Avec ses deux dynasties parallèles, l'organisation de Sparte est un cas unique dans toute la Grèce.