La réponse par une question est un moyen de creuser, de repousser la réponse ou de botter en touche. Exemple de contre question : “Et vous même, qu'en pensez-vous?”, “”Pourquoi me posez-vous cette question ?”, “qu'attendez)-vous de moi en me posant cette question ?”
RÉPONDANT, -ANTE, subst. A. − Vieilli. Personne qui est sommée de fournir une réponse.
Dans un questionnaire, on appelle question dichotomique une question fermée à laquelle le répondant doit choisir entre deux possibilités, le plus souvent Oui/Non. Toutefois, on peut aussi trouver : Pour/Contre, D'accord/Pas d'accord, Vrai/Faux, Homme/Femme, etc.
Quand on répond à une question comportant le mot « pourquoi », il faut écrire les mots « parce que » à l'intérieur de la phrase de réponse et non au début. Exemple : Pourquoi le chien remue-t-il la queue ? Le chien remue la queue parce qu'il est content.
- "en quoi" (souvent suivi d'un groupe nominal) interpelle généralement le lien de causalité et renvoie donc aux raisons. On pourrait le remplacer par "pour quelles raisons". Le sujet peut également inclure une question ne comportant pas de terme interrogatif.
Autre technique, si quelqu'un est trop curieux, vous pouvez dire quelque chose comme « Ah la curiosité… un défaut difficile à corriger n'est-ce pas ? » ou bien « J'avais oublié combien il était difficile de combattre sa curiosité. ».
Pourquoi certaines personnes se posent plus de questions que d'autres ? Nous fonctionnons tous différemment. Il est donc naturel que certaines personnes se posent plus de questions que d'autres. "L'histoire de la personne, sa sensibilité et son fonctionnement cognitif peuvent jouer un rôle" souligne la psychologue.
À cet égard, six types sont recensés : informatif, descriptif, réflexif, métacognitif, affectif et, enfin, conceptuel1 (Lafortune, 2004a).
La question rhétorique (interrogation oratoire) est une "fausse question" qui n'attend pas de réponse et qui permet d'affirmer un point de vue et d'éveiller la curiosité. Elle sert à provoquer l'auditeur et a donc un effet immédiat... surtout si elle est drôle ou caustique.
Tu feras des phrases courtes et simples : n'utilise pas plus de trois verbes conjugués par phrase et emploie régulièrement le point. Pense à reprendre des éléments de la question ! Tu reprendras des éléments de la question dans ta réponse pour être bien clair.
Une personne qui remet tout au lendemain est appelée un procrastinateur. Au féminin, on peut utiliser le terme procrastinatrice.
Étymologie de « interrogateur »
interrogatorem, d'interrogare, interroger. (1530) Du latin interrogator .
Il ne répond pas tout de suite car il sait que cela va mener à une conversation et il n'a pas envie de commencer une discussion par texto. Il n'aime tout simplement pas les textos et préfère un échange réel, du temps passé avec vous en face à face, plutôt que de raconter sa journée en émoticones.
Vous pourriez dire par exemple : « cette robe est très jolie. Où l'avez-vous achetée ? » ou bien « j'aime beaucoup votre style. Où avez-vous trouvé ses vêtements ? » Utilisez des questions ouvertes autant que possible pour que la conversation ne se termine pas sur un « oui » ou sur un « non ».
Pour toujours avoir quelque chose à dire, c'est important de garder à l'esprit les deux dimensions d'une conversation. Soit vous pouvez parler d'un nouveau sujet avec votre interlocuteur. Soit vous approfondissez un sujet déjà mentionné. La difficulté est de trouver l'équilibre entre ces deux axes.
La curiosité est un phénomène naturel qui se manifeste chez tous les hommes. C'est en partie grâce à elle que s'intensifie en chacun la soif de vivre des aventures et découvrir de nouvelles choses. Cependant, il n'est pas rare d'entendre certaines personnes dire que la curiosité est un vilain défaut.
Il existe 5 grands types de questions : fermées, ouvertes, directives, de rappel ou de réflexion, et rhétoriques. Les questions fermées sont souvent simples. Le plus souvent, il suffit de répondre par oui ou par non selon la question.
L'interrogation, ou phrase interrogative, sert à exprimer l'interrogation, le questionnement. Elle est définie par plusieurs aspects (inversion du sujet, intonation ascendante, point d'interrogation, etc.) qui restent toutefois assez souples selon l'utilisation qui en est souhaitée.