Un fort besoin de dominer dans une relation découle d'un manque d'assurance en soi et d'un manque de confiance dans l'autre personne impliquée dans la relation.
L'interdépendance dominant/dominé
Le dominé dépend de la domination et le dominant a besoin d'avoir une emprise sur l'autre pour se sentir en sécurité. Dans cette interdépendance, chacun des deux représente une part de la même angoisse qui est bien souvent la peur de l'abandon.
Dans le cerveau, un noyau – un groupe de neurones – bien précis entre en jeu lorsqu'on domine autrui ou lorsqu'on subit sa domination. Il s'agit de l'amygdale limbique, responsable selon le neuropsychologue américain Antonio Damasio de la « peur sociale », que nous subissons ou que nous infligeons.
1. Qui a la prépondérance par l'influence, le nombre, l'étendue ; prépondérant : L'idéologie dominante dans un pays. 2. Qui joue le principal rôle, qui domine parmi d'autres : Les traits dominants de son caractère.
Soyez factuel, technique sur des limites dont vous n'êtes pas responsable et qui ne peuvent être franchies. Rappelez la règle, appuyez-vous dessus, surtout si elle est écrite : règlement d'ordre intérieur ou autre. Toujours avec politesse, voire déférence, si cette personne a une autorité hiérarchique sur vous.
Définition du terme Caractère dominant : particularité transmise par un gène et se manifestant dans tous les cas, que le gène soit présent sur les deux chromosomes de la paire ou sur un seul.
Ce terme désigne l'action d'obéir à quelqu'un, d'accepter sa domination, son autorité ou ses ordres.
Dominant : Manipule consciemment les sentiments d'autrui en utilisant la culpabilisation et apitoiement. Dominé : Se montre docile et obéissant par rapport aux dominants et sensible vis à vis de leurs potentielles souffrances réelles ou supposées.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ». Avec elles, il est souvent difficile de garder patience au fil des ans.
Les contrôlants recherchent avant tout la sécurité. Ce sont des personnalités anxieuses, ils ont besoin que l'on pense comme elles, que l'on fasse comme elles le décident. Auquel cas cela les angoisses terriblement. Les personnes contrôlantes n'aiment pas les imprévus, et ne laissent rien au hasard.
Pareillement, si une chose à faire peut vous paraître facile, c'est peut-être une montagne pour un soumis. Inutile de lui dire : «mais si, tu en es capable…». Ce n'est pas un problème de compétences mais bien de vécu interne. À éviter également, dominer ou dramatiser, ce qui ne ferait que renforcer la soumission.
Vous pouvez par exemple prendre vos distances en pensant à quelque chose qui vous apaise, comme une plage déserte par exemple. Si vous devez réagir, exprimez-vous de façon vague afin de gagner du temps. Par exemple, vous pouvez lui dire « je ne suis pas sûr de moi. Laisse-moi y réfléchir un peu avant de te répondre ».
Lorsque vous commencez une conversation avec quelqu'un qui vous plait, la façon dont vous dites quelque chose est plus importante que ce que vous dites. Regardez votre interlocuteur dans les yeux et tournez votre corps vers lui, pour lui montrer que vous êtes attentif à ce qu'il dit.
Allèle dominant : qu'est-ce que c'est, caractéristiques ? "Un allèle est dit dominant lorsque la caractéristique qu'il code (physique ou maladie) va s'exprimer, même s'il n'est présent que sur un seul allèle du gène" explique la généticienne.
L'allèle dominant
Un allèle dominant est celui qui va laisser s'exprimer la caractéristique qu'il code. Il peut n'être présent que sur un seul allèle du gène. Par exemple, l'allèle codant la couleur marron des yeux est dominant.
Un caractère est dit dominant s'il s'exprime obligatoirement d'une génération à l'autre. C'est le cas si l'expression de ce caractère (maladie, élément transmissible, etc.) se fait même si ce caractère est porté par un seul chromosome.
Il se croit au-dessus des lois et n'éprouve ni culpabilité, n'a aucune morale, aucun sens des interdits et ment malgré l'évidence. Il est dans le déni de l'autre qui ne peut être qu'une partie de lui-même indifférenciée, dans le déni de sa propre souffrance comme de celle de l'autre.