Il n'y a pas de règle en ce qui concerne le nombre de jours minimal qui peuvent être posés hors période estivale. Il est donc possible de poser un seul jour de congé payé ou même une demi-journée.
En premier lieu, il faut savoir que le salarié ne peut pas choisir seul ses jours de congés payés. L'employeur doit obligatoirement valider les dates et le nombre de jours souhaités et peut refuser d'accepter la demande de l'employé.
Dans le cas où votre salarié souhaite poser un congé payé qui prend en compte un jour férié, il est préférable de l'ajouter directement depuis le planning : Débutez par gérer le jour férié : Si le jour férié tombe sur un jour de repos habituel, vous pouvez poser une absence "Repos hebdomadaire".
Un salarié nouvellement embauché a le droit de prendre des congés dès son embauche. Il n'est pas nécessaire qu'il ait commencé à travailler. Le calcul de la durée des congés payés reste inchangé. Ainsi, il est toujours prévu l'octroi de 2,5 jours ouvrables de congés par mois travaillé.
Par définition, le congé sans solde est un congé pour convenance personnelle : le salarié est totalement libre de l'utiliser à des fins personnelles (faire du sport, un voyage, s'occuper de ses enfants, …) ou professionnelles (créer une entreprise, exercer une autre activité professionnelle,…).
Le congé sans solde est un congé non rémunéré. Vous pouvez prendre ce congé pour convenances personnelles. Vous pouvez également prendre ce congé pour des besoins professionnels (créer une entreprise, par exemple).
Selon la 1re méthode (dite du 1/10e), votre indemnité de congés payés est égale à 1/10e de votre rémunération brute totale perçue au cours de votre période de référence. Le point de départ de la période prise en compte pour le calcul du droit au congé est fixé au 1er juin de chaque année.
En fonction de la taille de l'entreprise, mais également des pratiques mises en place dans cette dernière, la demande de congé payé peut être adressée au service RH ou directement au supérieur hiérarchique. La demande de congé payé est le plus souvent validée directement par les managers.
Vous devez prendre un congé d'au moins 12 jours ouvrables: titleContent (soit 2 semaines) sur la période allant du 1er mai de l'année au 31 octobre de l'année en cours. Ce congé doit être pris en continu.
Que se passe-t-il si un jour férié tombe pendant les congés payés ? S'il s'agit d'un jour ouvrable et : Chômé dans l'entreprise : il n'est pas décompté sur les congés payés ; Travaillé dans l'entreprise : il est décompté au titre des congés payés.
Lorsqu'un salarié prend un congé, le premier jour comptabilisé est le premier jour ouvrable pendant lequel il aurait dû travailler. S'il ne travaille pas le samedi, et qu'il prend un congé d'une durée d'une semaine à partir de vendredi soir, on ne pourra pas comptabiliser son congé avant le lundi suivant.
Le repos hebdomadaire est d'au moins 24 heures consécutives, qui s'ajoute à l'obligation de repos quotidien de 11 heures consécutives. Par conséquent, la durée minimale du repos hebdomadaire est fixée à 35 heures consécutives. Le plus souvent, le salarié bénéficie de 2 jours de repos consécutifs.
Le refus de votre employeur ne doit pas être abusif. Le refus peut être justifié, par exemple, par la continuité du service ou une forte activité dans l'entreprise ou des circonstances exceptionnelles. En cas de refus des dates proposées, votre congé devra être pris à une autre date.
Si vous n'avez pas pris tous vos jours de congés avant la fin de la période prévue, il est possible de les reporter, uniquement avec l'accord de votre employeur. Sauf accord ou usage dans l'entreprise prévoyant un report de ces jours, l'employeur n'est pas obligé d'accepter la demande de report des congés.
est normal ? Oui. Car le décompte des congés payés s'effectue en jours ouvrable, on décompte non seulement le jour pris mais aussi les jours suivants qui sont considérés comme un jour ouvrable.
Le Code du travail ne précisant rien sur la question des samedis, il convient de rappeler simplement que 30 jours ouvrables correspondent à 5 semaines et que 5 semaines comprennent forcément 5 samedis. C'est pourquoi 5 samedis sont considérés comme des congés même lorsqu'un collaborateur ne travaille jamais le samedi.
Ainsi, dans une semaine classique, sans jours fériés, on compte 6 jours ouvrables dont le samedi. Un salarié qui prend un semaine de congés, du lundi au vendredi sans jours fériés, se verra donc décompter 6 jours même s'il ne travaille jamais le samedi.
Il prend deux semaines de congés payés (10 jours ouvrés) dans un mois qui compte 22 jours ouvrés. L'indemnité de congés payés est égale à : (2.000/7×22) x (7×10) = 909,09 euros. L'indemnité selon cette formule s'établit à : (24.000/10) x (10/30) = 800 euros.
Elle est de 4 semaines maximum (24 jours ouvrables ou 20 jours ouvrés) ; une seconde période, composée des jours acquis au-delà des 24 jours ouvrables, qui ne peut pas être accolée au congé principal.
Pour avoir un jour de congé supplémentaire pour fractionnement, le salarié doit avoir pris entre 3 et 5 jours hors de la période légale du 1er mai au 31 octobre. Pour bénéficier de deux jours de congés, il doit avoir pris plus de 6 jours hors de la période légale.
Comme le samedi est un jour ouvrable, si la période de congés comprend ce jour, il sera compté comme un jour de congés payés. Si le calcul est en jours ouvrables, le salarié a donc 30 jours de congés payés par an.
Le congé sans solde peut-il être refusé ? Étant donné que ce congé n'est pas réglementé par le Code du travail, l'employeur n'a aucune obligation d'accepter. Sauf si des dispositions sont prévues dans l'accord collectif ou dans la convention collective. Attention !
Pour demander un congé sans solde à votre employeur, vous devez le justifier. Plusieurs arguments valables peuvent être mis en avant. Exemple pour justifier un congé sans solde : Vous avez seulement besoin de quelques jours de congé en plus, accolé à des congés payés.
Comment faire une demande de congé sans solde ? Il n'existe pas de procédure de demande de congé sans solde. Le congé sans solde n'est pas un congé de droit. Il ne peut se prendre qu'avec accord entre l'employeur et le salarié.