Arrivé avec Cacambo, Pangloss et le baron sur les bords de la Propontide, Candide retrouve et rachète la vieille et Cunégonde : il a d'abord un mouvement de recul en la voyant car elle est, comme le lui avait dit Cacambo, affreusement laide.
Cunégonde tombe sur le canapé. La vieille les accable d'eaux spiritueuses ; ils reprennent leurs sens, ils se parlent : ce sont d'abord des mots entrecoupés, des demandes et des réponses qui se croisent, des soupirs, des larmes, des cris. La vieille leur recommande de faire moins de bruit, et les laisse en liberté.
Candide et Cacambo décident pourtant d'en partir, parce que Cunégonde manque à l'un d'eux, et que la richesse leur ouvre des perspectives.. Une machine est spécialement construite pour les conduire de l'autre côté des montagnes, accompagnés de cent moutons chargés de vivres, de présents, d'or et de pierreries.
Chapitre 4 : Candide retrouve Pangloss que la vérole a défiguré. Pangloss lui raconte la destruction du château de Thunder-ten-tronckh, la mort de ses habitants et de Cunégonde. Candide et Pangloss sont recueillis par Jacques, qui les emmène au Portugal où il va commercer.
A la fin du conte, Candide décide d'écarter le frère de Cunégonde. En effet, le jeune baron de Thunder-Ten-Tronck refuse obstinément que Candide épouse Cunégonde, parce qu'il n'est pas assez noble pour elle.
« Cunégonde ne savait pas qu'elle était enlaidie, personne ne l'en avait avertie : elle fit souvenir Candide de ses promesses avec un ton si absolu que le bon Candide n'osa pas la refuser. Il signifia donc au baron qu'il allait se marier avec sa sœur.
Les métiers
La pâtissière : La pâtissière est représentée par le personnage de Cunégonde. À l'époque où Candide faisait encore partie du château de Thunder-ten-tronckh, il était charmé par les attraits de Cunégonde (ch.
Le même jour la terre tremble de nouveau dans un fracas épouvantable. Candide est recueilli par une vieille femme : celle-ci lui permet de retrouver Cunégonde qui a bien été violée et éventrée mais qui n'en est pas morte ; elle raconte alors son histoire à Candide.
Candide, dans le fond de son cœur, n'avait aucune envie d'épouser Cunégonde ; mais l'impertinence extrême du baron le déterminait à conclure le mariage ; et Cunégonde le pressait si vivement qu'il ne pouvait s'en dédire. Il consulta Pangloss, Martin, et le fidèle Cacambo.
Cunégonde est le nom d'un personnage important du Candide de Voltaire, fille du baron Thunder-ten-tronckh, amoureuse et aimée de Candide.
Le chapitre final nous transporte en Turquie, à Constantinople, à la porte de l'Orient , là où un bon vieillard leur enseigne la voie de la sagesse et peut être aussi celle du bonheur : ne pas se mêler des affaires politiques pour ne pas finir assassiné, vivre en autarcie pour ne dépendre de personne et cultiver son ...
Poursuivis, ils ne savent plus où se rendre : ils n'en peuvent plus et, épuisés, se laissent porter par le courant d'un fleuve à bord d'un canot. Ils arrivent par hasard à L'Eldorado : ils ont failli mourir dans les remous du fleuve. Voltaire force ici l'aspect merveilleux de ce pays : il annonce l'utopie.
Jamal le force à continuer en arguant que la fin du voyage et la traversée sont déjà à moitié payées. Se jurant de réussir, Soleiman continue son chemin jusqu'au moment où tout le groupe de migrants se fait dépouiller par les passeurs (après le passage de la ville d'Al-Zuwarah) et est abandonné sur le bord de la route.
Chapitre 4
Il le ramène chez Jacques pour écouter son histoire. Le château du baron a été détruit durant la guerre, le baron et son fils ont été tués, tout comme Cunégonde, également violée et éventrée. Il explique ensuite qu'il tient sa maladie de Paquette, la femme de chambre, avec qui il a couché.
La morale de Voltaire est que le travail (jardinage) évite l'ennui (occupe le temps), le besoin ( car il produit de la richesse) et le vice (car il n'est pas tenté de dérober les biens d'autrui ).
La belle Cunégonde, ayant entendu l'histoire de la vieille, lui fit toutes les politesses qu'on devait à une personne de son rang et de son mérite. Elle accepta la proposition ; elle engagea tous les passagers l'un après l'autre à lui conter leurs aventures. Candide et elle avouèrent que la vieille avait raison.
Voltaire adresse dans ce chapitre 3 de Candide une critique aux rois qui règlent leurs conflits au prix de sacrifices humains épouvantables. Il dénonce la récupération de la religion pour justifier des actes barbares. Ainsi, « les deux rois faisaient chanter des te deum chacun dans son camp ».
La leçon finale de Candide fait écho à la philosophie qui est invoquée pendant toute la durée du récit : "Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.". "Il faut cultiver notre jardin" est à la fin du conte et semble donc répondre à la première maxime énoncée.
Sur la galère appartenant au maître de Cacambo, Candide retrouve Pangloss et le Baron, frère de Cunégonde.
« Il faut cultiver notre jardin », dit Candide à Pangloss à la fin du célèbre conte philosophique Candide ou l'Optimiste ; Voltaire précise que le jardin d'Eden n'a pas été créé pour que l'homme trouve le repos mais pour qu'il y travaille, qu'il exerce son talent.
Il a pour espoir de franchir la frontière avec son frère Jamal en quête d'un Eldorado. Ils veulent entreprendre un voyage du Nord vers le Sud, plus particulièrement de Soudan vers l'Europe.
Chez les deux frères, Jamal, l'aîné ne pourra pas être du voyage car il est très malade (sida).
Le commandant : Salvatore Piracci
Il travaille dans la marine italienne depuis 20 ans, et est commandant dela frégate Zeffiro depuis trois ans. Avec son équipe de quelques hommes, il surveille les côtes à la recherche d'embarcations de migrants illégaux.
Eldorado, le mythe du « roi doré »
Le pays du roi doré, « el rey dorado », ou de l'homme doré « el dorado » allait susciter bien des convoitises. Les conquistadors identifient un lac, celui de Guatavita, dans la Colombie actuelle, qui pourrait bien être celui où se plonge le roi doré.
L'Eldorado (en espagnol : le doré) est un pays utopique ou les habitants ne se soucient guère de l'or. Ce que décrit Voltaire, dans Candide, c'est une société idéale : les problèmes sont inexistants parce que "la meilleure forme de gouvernement" a été installée la-bas.