Propos que peuvent tenir les gens sur quelqu'un, quelque chose; opinion des autres. Craindre le qu'en-dira-t-on; se moquer du qu'en-dira-t-on. [L'auteur] s'effraie peu du qu'en-dira-t-on littéraire (Hugo, Préf.
Le mot est invariable et s'écrit avec des traits d'union : ne pas se soucier des qu'en-dira-t-on.
Définition "qu'en-dira-t-on"
n.m. L'opinion des autres, les ragots.
Solution Qui dure toujours 12 lettres :
INDEFECTIBLE.
Synonyme : cruel, exigeant, froid, impitoyable, implacable, inflexible, insensible, intraitable, intransigeant, mauvais, méchant, rigoriste, sévère, tranchant.
"Ou" (sans accent) est conjonction de coordination. Il ne faut pas le confondre avec "où" (avec accent) qui est adverbe ou pronom. On écrit toujours "ou" (sans accent) quand il peut être remplacé par "ou bien".
Pour être correct notent les sages, on ajoutera ce que l'on appelle un «t» euphonique, afin de permettre la liaison entre les deux voyelles: «a» et «i». La formule exacte est: «Y a-t-il».
Synonyme : bavardage, bruit, commentaire, commérage, indiscrétion, médisance, on-dit, rumeur. – Familier : cancan, potin, racontar. – Littéraire : clabaudage, clabauderie.
abominable, affreux, dégoûtant, détestable, fétide, grossier, hideux, horrible, immonde, infect, laid, malpropre, repoussant, répugnant, répulsif, vulgaire.
Ce juron apparaîtrait pour la première fois sous la plume... d'Arthur Rimbaud ! Le poète, âgé alors de 10 ans, écrit dans ses « Proses et vers de collège » en 1864 : « Ah ! saperlipotte de saperlipopette !
1. Action de médire, de dénigrer quelqu'un : Être victime de la médisance de ses adversaires. 2. Propos de quelqu'un qui médit : Ce ne sont là que médisances.
Y a-t-il, peu après le verbe devant lequel se trouve « ni », un terme renforçant la négation ? Oui : « pas ». Ce n'est donc pas « ni » qu'il faut écrire, mais « n'y ».
Dans les tournures impersonnelles
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Règle 1 : on ajoute un « t » euphonique dans les formules interrogatives pour faciliter la prononciation et éviter que deux voyelles se suivent. On écrira donc « a-t-il ». Toutefois, si le verbe conjugué se finit par un « t », alors il n'est pas nécessaire d'ajouter un « t » euphonique.
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
QUAND exprime une date, un moment. On peut généralement le remplacer par LORSQUE. QU'EN est la forme contractée de "QUE EN", qui n'existe pas (il y aurait alors un hiatus sinon). QUANT s'écrit ainsi si on peut le remplacer par EN CE QUI CONCERNE.
Les verbes toujours impersonnels
Lorsqu'on a un verbe qui est toujours impersonnel (c'est-à-dire un verbe qui ne s'utilise qu'à la troisième personne du singulier, comme falloir), on dira toujours ce qu'il.
La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » . Exemples : Renseigne-toi sur ce qu'il s'est passé.
Ce qui reste ou ce qu'il reste ? (sommaire)
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
ni : conjonction de coordination.
On peut le remplacer par ou, lorsqu'il n'y a qu'un seul ni, et par pas (de)… ou (de), lorsqu'il est répété.
existe-t-il ? existons-nous ? existez-vous ? existent-ils ?
Pour faire la négation de deux éléments ou plus , on utilise « ne…ni… ni ». À la place de « Je n'aime pas le pain et le fromage » on dira : » Je n'aime ni le pain ni le fromage. » 📌 Notez que les articles partitifs et indifinis disparaissent souvent lors de cette négation.
Personne qui calomnie, qui blesse une autre personne par des calomnies, en médisant sur son compte. Exemple : La seule façon qu'il avait trouvée pour se défendre était de se comporter en calomniateur, il attaquait systématiquement tous ses adversaires en colportant des mensonges à leur sujet.
Différence entre calomnie et médisance. Les noms calomnie et médisance partagent l'idée de « faire du tort », mais calomnie implique une accusation mensongère, alors que médisance implique plutôt des propos malveillants, mais véridiques.