Comme la Fatiha est courte et indispensable pour la salat (prière), elle est en général apprise dès l'enfance dans les madrasas (écoles coraniques) ou est simplement enseignée par les parents. Elle est récitée au début de chaque unité (rak'ah) de prière.
Selon Abû Salamah ibn `Abd ir-Rahmân : « L'imam fait deux pauses. Profitez-en pour réciter la Sourate al-Fâtiha : la première quand il commence la Salât (après le Takbîr) et la seconde après qu'il a dit (sens du verset) : “Ni celle des égarés” ».
Sourate I, Fâtihat al-kitâb : « Au nom de Dieu : celui qui fait miséricorde, le Miséricordieux. Louange à Dieu, Seigneur des mondes, celui qui fait miséricorde, le Miséricordieux, le Roi du Jour du Jugement. C'est toi que nous adorons, c'est toi dont nous implorons le secours.
Le caractère sacramentel des paroles prononcées à cette occasion, telle la prononciation de la fātiḥa ou d'autres versets coraniques n'est nullement exigé, tout comme la présence d'un imām, le mariage devant simplement être conclu en présence de deux témoins.
Ce qui veut dire que si l'imâm récite le Qor'ân, il est obligatoire pour celui qui prie derrière lui d'observer le silence et d'écouter attentivement. Ce verset prouve que celui qui prie derrière l'imâm n'a pas à réciter, car l'imâm récite pour lui-même et pour ceux qui le suivent.
En effet, la récitation du Coran après la Fâtiha est une Sunna à l'unanimité des savants comme l'a rapporté Ibn Qudâmah, qu'Allah lui fasse miséricorde, dans son livre « al-Mughnî ». Seule la récitation de la Fâtiha est obligatoire dans chaque Rak'âh de la prière.
Pour certaines, seuls les musulmans peuvent y entrer. Il y a des endroits, comme à Istanbul, où non seulement les touristes de toutes les religions peuvent entrer, mais aussi, ils mettent à disposition des foulards et veillent à ce que les femmes aient les épaules couvertes, par exemple.
Pour que le Hlel soit valide, il suffit que les témoins présents, entendent votre approbation et celle du futur mari que ce soit valable.
Le mariage « Hlal » consiste à se présenter devant un imam, sans que l'acte de mariage ne soit notifié auprès de l'autorité civile, en l'occurrence la mairie. Ce phénomène prend des proportions inquiétantes au vu des préjudices qu'il engendre, souvent alarmants, voire dramatiques.
La fatiha est utilisée comme talisman de guérison, comme défense contre le mal, comme bénédiction...
Le Coran est le livre sacré de l'islam et des musulmans. Il est composé des révélations faites par Dieu au prophète Mahomet, par l'intermédiaire de l'archange Gabriel, entre 612 et 632. Il est l'acte constitutif de l'islam et sa référence absolue.
Le verset 1 : Lis !
Le premier verset de cette sourate est l'un des plus célèbres du Coran : « Lis (ou « proclame ») au Nom de ton Seigneur ! » et évoquerait, selon la tradition musulmane, la mission prophétique de Mahomet, à savoir l'ordre de proclamer le Coran.
Durant la prière (salat) en islam, tous les deux rakat, et surtout à la dernière unité de prière, juste avant la salutation finale le musulman doit réciter le tashahhud (sens : de témoigner) en pointant l'index de sa main droite et fixant celui-ci du regard.
Cette sourate a été désignée par une dizaine de noms différents : Fâtihatu-l-Kitâb (l'ouverture du Livre), 'Ummu-l-Qurân, 'As-sab'u-l-mathânî (les sept répétitives)...
Il cite, par le truchement de ʿAṭiyya, ce que dit Abū Saʿīd, à savoir: 'Un verset descendu en dernier est: «Redoutez un jour durant lequel vous reviendrez …» (2, 281)'.
« Toute chose a son sommet et le sommet du Coran est la sourate al-Baqarah, qui contient un verset qui est le plus grand du Coran. », aurait dit le prophète Mahomet.
Questions fréquemment posées. Le contrat de mariage musulman est-il obligatoire ? Oui, le contrat de mariage musulman est une étape obligatoire dans le mariage selon la tradition musulmane.
Le mariage religieux est appelé Hlel, Nikah ou Fatiha suivant le pays d'origine. Il s'agit d'un contrat moral entre les futurs époux.
Le Coran. Selon la première source scripturaire qu'est le Coran, la sexualité n'est licite qu'au sein d'une union légale. En effet, toute relation sexuelle en dehors du mariage, appelée zina [7] , ou plus rarement sifah, est clairement décrite comme une turpitude (fahicha) et une mauvaise voie (sa'a sabila) [8]
oui tout est interdit haram avant le mariage légal .
Bonjour, C'est possible dans certains cas de figures. Si les parents s'opposent sans réel motif valable au mariage. Si le tuteur légal a des problèmes d'ordre psychologique, qu'il n'y a pas de grand frère ou oncle.
Ils privilégiaient plutôt les mariages en milieu de semaine, généralement le mardi ou le jeudi. Jours et mois saints des musulmanes : Pour la communauté musulmane, le vendredi est le jour saint de la prière, ce qui en faisait un choix populaire pour les mariages.
« Il est préférable qu'elles prient à la maison »
En temps normal, la mosquée Sunna de Roubaix peut accueillir 2 500 fidèles, dont environ 600 femmes, mais elle ne peut ouvrir qu'à 800 personnes à cause des restrictions sanitaires. « Pour les femmes, venir à la mosquée, c'est facultatif.
« Est-ce qu'on a le droit de rentrer dans une mosquée en temps normal ? » « Oui, on peut y rentrer même en temps de prière. C'est un lieu ouvert », répond t-il.
À la grande mosquée de Paris, les femmes sont reléguées au sous-sol (diplomatiquement nommé « entresol ») ; la grande mosquée de Lyon dispose pour elles d'une entrée spécifique, les femmes y sont tolérées mais elles doivent rester entre elles, invisibles pour les hommes afin d'éloigner la tentation.