- Si la quantité offerte évolue fort suite à une variation du prix → offre « élastique ». - Si quantité offerte est peu sensible à une variation du prix → offre « inélastique » ou « rigide ».
On dit que l'offre est élastique ou fortement réactive quand une variation de prix pour un produit donné entraîne une variation (dans le même sens que celle du prix) du volume de la production du produit.
L'élasticité prix de la demande
Si la quantité demandée diminue beaucoup avec l'augmentation du prix, on parle de demande très élastique ou très sensible au prix. Au contraire, si la demande varie peu, on dit qu'elle est inélastique ou rigide.
L'offre est dite inélastique si la quantité offerte réagit très peu aux variations du prix. L'élasticité-prix de l'offre dépend de la capacité des vendeurs à modifier la quantité offerte du bien. À titre d'exemple, l'offre des terrains en bord de mer est inélastique en raison de l'impossibilité d'en offrir davantage.
Déterminants de l'élasticité-prix de l'offre
Ce sont les suivants : La capacité de l'entreprise à modifier sa production, qui dépend de la technologie qu'elle applique. Coûts de production. Le facteur temps.
Lorsque la droite est verticale, cela signifie que le prix n'a pas d'impact sur la quantité demandée : le bien est inélastique. Lorsque la droite est horizontale, cela signifie que le prix reste le même quelles que soient les quantitées demandées : le bien est élastique.
Lorsque l'élasticité-prix est inférieure à 0, cela signifie que quand le prix augmente, la consommation baisse (exemple : les repas au restaurant). Lorsque l'élasticité-prix est supérieure à 0 : cela signifie que quand le prix augmente, la consommation augmente également (exemple : les biens de luxe).
A savoir : En règle générale, l'élasticité-prix de l'offre est positive : quand le prix augmente, les quantités offertes augmentent également (voir chapitre « A quoi sert la concurrence ? »).
L'élasticité-prix est normalement négative car la demande ou consommation baisse lorsqu'un prix augmente. ► Interprétation : – Lorsque l'élasticité-prix est supérieure à 1, en valeur absolue (e < -1) = une faible variation du prix d'un bien entraîne une forte variation de sa demande.
- Si la quantité offerte évolue fort suite à une variation du prix → offre « élastique ». - Si quantité offerte est peu sensible à une variation du prix → offre « inélastique » ou « rigide ».
L'élasticité prix mesure la sensibilité de la demande à la variation du prix et aide à anticiper la réaction de la demande en réponse aux fluctuations du prix. Partant du principe que la demande diminue lorsque le prix d'un bien augmente, ce ratio est généralement négatif.
Qu'est-ce que l'élasticité ? L'élasticité-prix de la demande mesure la sensibilité de la demande d'un produit à son prix. Par exemple, si l'élasticité de la de- mande des oranges est de 0,5, cela signifie qu'une augmentation du prix des oranges de 1 % diminue leur demande de 0,5 %.
L'élasticité prix est un indicateur qui mesure la réaction de la demande (par exemple des consommateurs) face à une variation du prix d'un service ou d'un produit. L'élasticité-prix est, en règle générale, de signe négatif, car la demande est une fonction décroissante du prix (loi de la demande).
Élasticité-prix de la demande = taux variation demande ÷ taux variation prix. Exemple : une augmentation du prix des chaussures vertes de 5 % a entraîné une baisse des ventes de 8 %, l'élasticité prix de la demande des chaussures vertes est de – 1,6 (soit – 8 % ÷ 5 %).
Elle revient à considérer la variation de la demande d'un bien X par rapport à la variation du prix d'un bien Y. A priori, elle est un indicateur particulièrement intéressant pour l'analyse des liens pouvant exister ou non entre deux marques concurrentes.
Ce sont essentiellement des biens de première nécessité dont la variation du prix n'a aucune incidence sur leur consommation. Quant aux biens de Veblen, ils ont une élasticité-prix positive, leur demande augmentant avec leur prix. Ce sont essentiellement les biens de luxe.
Définition : La demande pour un bien est dite élastique si la quantité demandée par le consommateur varie substan- tiellement lorsque les prix varient. Définition: La demande pour un bien est dite inélastique si au contraire la quantité demandée par le consommateur varie peu lorsque les prix varient.
L'élasticité prix est normalement négative car la demande ou la consommation baisse lorsqu'un prix augmente. Exceptionnellement, elle peut parfois être positive, notamment dans le domaine du luxe. Une élasticité < - 1 indique une forte sensibilité au prix.
Prenons le cas du développé couché : plus vous descendrez la barre vers votre poitrine, et plus le grand pectoral sera étiré ; meilleure sera donc sa sollicitation sur la phase concentrique du mouvement, et plus la force développée sera efficace (c'est un des concepts fondamentaux du travail pliométrique).
◗ L'élasticité prix répond à la question : « Comment évolue la consommation d'un produit lorsque son prix augmente ou lorsque son prix baisse ? » ◗ L'élasticité prix se calcule de la manière suivante : Élasticité prix (e) = variation de la consommation en %/variation du prix en %.
Les biens inférieurs se caractérisent par la relation suivante : leur demande baisse quand le revenu augmente. En fait, cela résulte du comportement de consommation du ménage. Lorsque son revenu augmente, le ménage augmente sa consommation et modifie la composition de son panier de biens.
L'effet Veblen est un phénomène mis en évidence par l'économiste et sociologue Thorstein Veblen. Ce phénomène consiste en une augmentation de la demande d'un bien en même temps que son prix. On parle d'élasticité du prix positive.
Le processus de vieillissement est le principal responsable de la perte d'élasticité des tissus cutanés. Mais d'autres phénomènes non liés à l'âge comme une perte de poids importante ou une grossesse peuvent également entraîner un relâchement cutané important.
Les biens complémentaires. Dans une économie comportant plusieurs biens, certains doivent être consommés ensemble pour couvrir un besoin. Si X et Y sont dans ce cas, ils sont dits complémentaires : la consommation de X entraîne celle de Y et réciproquement.