Les violences collectives semblent apparaître avec la sédentarisation des communautés qui débute à la fin du paléolithique, aux alentours de 13 000 avant notre ère au Proche-Orient, mais, là encore, seuls un ou quelques individus ont été tués.
Aujourd'hui, les tentatives d'explication à l'explosion des actes violents, guerre au Proche-Orient, attentats suicides, dégradations en tout genre, etc. viennent plutôt de la sociologie. La violence serait une réaction à l'humiliation, à l'exclusion, aux difficultés d'intégration, aux questions géopolitiques.
La violence est un véritable champ d'étude historique qui fait aujourd'hui de nombreux émules avec, sur le devant de la scène, le professeur Robert Muchembled. Difficile à appréhender, il est cependant à noter qu'elle fait partie de notre société bien qu'elle ait considérablement diminué depuis la fin du Moyen âge.
Les formes de violence réfèrent à la nature des actes. Les formes les plus souvent considérées sont la violence physique, la violence sexuelle, la violence psychologique et verbale, les privations et la négligence [1].
Les auteurs de violence sont des personnes délinquantes passibles d'une condamnation judiciaire. Selon le groupe de travail mené par le Docteur Roland Coutanceau, celui-ci repère 3 profils : Le premier profil est un sujet immature, dans la normalité, où la domination masculine est présente.
maltraitance sexuelle : 13,4 % pour les filles, et 5,7 % pour les garçons ; • maltraitance physique : 22,9 % pour les filles et les garçons ; • maltraitance psychologique : 29,1 %.
Si les violences conjugales sont fréquentes, elles peuvent être qualifiées de violences habituelles. La peine maximale est alors de : 5 ans de prison et 75 000 €d'amende, en cas d'ITT inférieure ou égale à 8 jours, 10 ans de prison et 150 000 d'amende en cas d'ITT supérieure à 8 jours.
C'est assez compliqué de bien comprendre ce phénomène dont on parle beaucoup à l'heure actuelle. On trouve de la violence partout où il y a des êtres humains : dans la rue, dans le couple, à l'école, dans les institutions, dans la famille, etc. Elle est souvent liée à des problèmes de communication.
La violence est toujours condamnable parce qu'elle est une négation de notre humanité. Si le but recherché est légitime, on ne peut pas utiliser des moyens injustes pour obtenir un résultat plus juste : il doit toujours y avoir une moralisation de l'acte par rapport au but recherché.
Physique ou symbolique, individuelle ou étatique, la violence est un concept protéiforme. Le point commun de ces formes de violence est le suivant : toute violence repose sur la volonté de soumettre quelqu'un, contre sa volonté, par le recours à la force. La violence est donc une suspension de la légalité.
Le roman peut nous transporter dans un environnement, une idée ou une époque qui sont nouveaux et profonds. Il peut aussi montrer la violence et la souffrance, et même en emmenant le lecteur dans la tête de l'auteur ou de la victime de la violence.
Dénoncer la guerre, c'est donc dénoncer la part animale, instinctive, qui mène l'homme à vouloir exterminer son prochain, c'est tenter de lui montrer qu'il se détruit lui-même, c'est l'amener à construire un monde plus juste, plus respectueux des libertés et des droits des peuples à diriger leur destin.
La violence physique
L'homme arrive à la violence physique lorsque ses cris, menaces ou sarcasmes ont échoué, que sa compagne manifeste encore trop d'indépendance et qu'il ne réussit donc pas à contrôler tous ses comportements. Il passe donc à la brutalité, aux coups, à la contrainte physique.
La violence n'a jamais été une solution pour régler les problèmes quels qu'ils soient. C'est pourquoi, il vous faut impérativement essayer de communiquer afin de trouver une solution idéale et pacifique. Cela permettra d'éviter de blesser quiconque. Aussi, tout un chacun doit apprendre à être tolérant.
Il a en tout cas sauvé une femme de 53 ans à Montpellier le vendredi 5 novembre. Frappée et étranglée par son ex-compagnon, elle a trouvé refuge dans une pharmacie du quartier des Beaux-Arts et prononcé "masque 19", un code d'alerte qui permet de signaler discrètement des actes de violences conjugales.
Les femmes victimes de violences peuvent contacter le 3919. Gratuit et anonyme, ce numéro de téléphone est désormais accessible 24h/24 et 7 jours sur 7. La plateforme d'écoute des victimes de violences conjugales, sexistes et sexuelles est donc joignable sans interruption depuis le 30 août 2021.
C'est vers 7 ans, le fameux âge de raison, qu'un enfant peut rester seul. Mais, quel que soit son comportement habituel, mieux vaut procéder par étapes.
3977. Le 3977 est le numéro national d'écoute dédié aux personnes âgées et aux adultes en situation de handicap victimes de maltraitance.
Cette volonté peut être liée à plusieurs facteurs : d'une part, dans notre société genrée, les femmes sont éduquées à prendre soin des autres – cette idée peut être intériorisée si profondément qu'elle apparaît même lorsque l'autre en question fait preuve de violence.
L'art engagé est traditionnellement perçu comme un art revendicateur issu du travail d'un artiste ou d'un collectif. En médiation culturelle, ce type de création passe par un processus de participation citoyenne servant à la fois la prise de position par rapport à une situation affectant la communauté.
Les représentations de l'horreur sont multiples, balisant un sujet tabou qui implique fatalement la transgression, sujet « chaud » pour celui qui le traite, qui ne peut faire autrement que de s'engager psychologiquement et émotionnellement, de courir le risque de sa subjectivité.
De nos jours, souvent dénoncée par les politiques, prônée par des groupes extrémistes, la violence est parfois un moyen de contrôler et d'haranguer les foules. De même,la mise en discours ou en image de la violence peut être à l'origine d'une quête de légitimité de la part d'un groupe social, d'une institution.